Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 67 : Je le ferai pour toi par des moyens justes ou injustes
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Dans sa vie précédente, Yun Xi n’était jamais allée dans ce magnifique manoir. Elle avait seulement entendu les diverses légendes sur Mu Feichi à la télévision et dans les journaux.

Son statut particulier de responsable de la famille Mu, l’une des trois familles les plus distinguées, lui conférait non seulement une position élevée à Jingdu, mais faisait également en sorte que les gens le vénéraient, quels que soient les actes impitoyables qu’il avait commis.

Dans sa vie précédente, elle avait fait l’expérience de sa puissance. Maintenant, dans cette vie, elle allait faire l’expérience de sa richesse.

C’est un homme qui avait vécu une vie légendaire, et elle n’avait jamais imaginé qu’elle pourrait avoir quelque chose à faire avec lui : C’était arrivé comme ça.

« Allons-y, après avoir fini le petit déjeuner, je te renverrai. »

« Je peux descendre de la montagne maintenant ? »

Son objectif d’aujourd’hui avait été atteint de toute façon. Peu importe qu’elle gagne ou perde sur la montagne, le Jeune Maréchal Mu avait le dernier mot. Elle ne se souciait pas vraiment de cet objectif particulier de toute façon.

La raison pour laquelle elle avait accepté de monter sur la montagne avec lui était qu’elle ne voulait pas qu’il aille chez la famille Yun. Parce que, si cela arrivait, elle ne serait vraiment qu’un pion de la famille Yun.

Les sourcils gras de Mu Feichi se froncèrent légèrement et il se moqua : « Si tu veux descendre de la montagne maintenant, tu devras le faire toi-même. J’ai faim et je veux manger. Je n’ai pas le temps de t’emmener maintenant. »

« … » Yun Xi jeta silencieusement un coup d’œil à sa silhouette marchant vers le manoir, serra les dents et prit une profonde inspiration avant de le suivre.

Puisque le haut et puissant Jeune Maréchal Mu était prêt à jouer les sales types à ce point, si elle essayait vraiment de partir, il lui casserait probablement la jambe !

Le majordome attendait déjà à l’entrée du manoir et, bien qu’il l’ait déjà vue sur l’écran, en voyant le Jeune Maréchal Mu diriger cette petite fille en personne, il fut encore surpris par la jeunesse de son visage.

Il ne fallait pas sous-estimer la capacité de combat de quelqu’un qui pouvait contourner cinq postes de sentinelles dans une situation de 1 contre 40.

S’il n’avait pas entendu dire qu’elle venait de la campagne, il n’aurait certainement pas cru qu’une fille de la campagne puisse avoir une telle endurance.

Il n’était pas étonnant que le Maréchal Mu, qui ne s’était jamais intéressé aux femmes auparavant, soit si intéressé par elle.

En traversant l’immense cour, Yun Xi avait regardé tout autour d’elle. La cour était plantée de multitudes de fleurs. Sur le côté gauche, il y avait une magnifique rocaille, et sur le côté droit, un énorme jardin de fleurs qui était extrêmement vivant.

À l’approche du manoir, il y avait une cour, au milieu de laquelle se trouvait un petit pont avec de l’eau qui coulait dans un ruisseau sinueux dans lequel nageaient plusieurs sortes de petits poissons colorés.

Les galets arrondis et les carreaux bleus rétro se complétaient les uns les autres, et couplés à tous les embellissements modernes en verre transparent, le style simple mais complexe révélait le goût extraordinaire du propriétaire dans chaque coin de l’établissement.

Il était certain que cet homme serait capable de se faire vénérer par tous les habitants du pays, même à un si jeune âge. En plus du pouvoir hégémonique, il possédait également une richesse incommensurable.

Contournant le passage couvert qui faisait le tour de la cour, Mu Feichi avait conduit Yun Xi directement au restaurant qui se trouvait sur le côté gauche du bâtiment. Le grand restaurant était décoré dans un style simple, et ses fenêtres modernes à deux étages offraient une vue panoramique sur toute la base de la montagne.

Les décorations noires, grises, beiges et blanches du restaurant semblaient douces sous la lumière jaune vive.

Avec de simples lustres à lanterne, de longues tables et des chaises Taishi à dossier haut, le thème rétro se poursuivait dans le restaurant.

La salle à manger de la famille Yun était bien pâle en comparaison de cette énorme salle à manger.

Elle ne s’attendait certainement pas à ce qu’un homme formidable qui avait passé la majeure partie de sa vie sur le champ de bataille ait un si bon goût.

Les serviteurs avaient déjà préparé leur petit-déjeuner, et la longue table était garnie d’assiettes exquises.

Leur petit-déjeuner était aux saveurs du sud et se composait de boulettes de crevettes, de brioches frites et de porridge. Il avait l’air absolument délicieux.

Mu Feichi avait tiré une chaise pour elle et avait fait un geste de gentleman. Cela semblait étrange, car il y a quelques instants, il avait été exaspéré par sa maladresse et l’avait menacée.

Cependant, la façon dont il traitait son invitée montrait clairement qu’il avait reçu une éducation de sang bleu* et qu’il connaissait toutes les manières de se comporter avec élégance.

(NDT : De noble naissance.)

Il s’était assis à la table d’honneur et avait fait un signe de la main, renvoyant rapidement tous les serviteurs.

Yun Xi avait en fait très faim, alors elle ne s’était pas souciée de ses manières et avait commencé à manger son petit-déjeuner tout de suite et à boire le lait qui était sur la table devant elle.

« Tu as gagné cette fois, alors quel que soit ton souhait, dis-le ! Tant que tu le désires, je peux le faire pour toi. Si c’est quelque chose que je ne peux pas faire… »

Yun Xi avait levé la tête et l’avait regardé avec ses yeux brillants. Puis elle demanda : « Et si vous ne pouvez pas le faire ? »

« Si tu trouves quelque chose que je ne peux pas faire, je le ferai pour toi par tous les moyens ! »

Comme il avait l’air si confiant, Yun Xi y avait réfléchi un moment, puis elle avait posé ses baguettes et l’avait regardé avec une expression sérieuse.

« Très bien alors, j’ai un souhait, et vous pouvez certainement le réaliser ! »

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