Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 68 : Obéis à ta femme inconditionnellement
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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D’après le ton de défi qu’elle lui lançait, il savait que rien de bon allait en sortir.

Mu Feichi avait levé les sourcils. Ses cils épais cachaient les émotions profondes de ses yeux pleins de mélancolie alors qu’il la regardait avec un peu d’impatience.

« Vas-y et dis ! » Il avait mis de côté sa tasse de café et avait attendu distraitement.

« Voilà. Peu importe ce que je dis ou fais à l’avenir, vous ne pouvez pas interférer ou chercher à me faire changer d’avis. Vous devez m’écouter, que j’aie raison ou tort. En bref, vous devez m’écouter à propos de tout ! Si je ne suis pas d’accord avec vous, vous ne devez pas vous mettre en colère. Sinon, ne me reprochez pas de vous tourner le dos. »

Il était impossible de le tenir éloigné d’elle.

Avec son tempérament, plus elle disait quelque chose, plus il faisait exactement le contraire, et cela ruinait ses plans.

Si elle avait la capacité de faire quelque chose, elle ne pouvait pas déléguer la tâche à quelqu’un d’autre.

Tant qu’il ne s’en mêlait pas, il n’y aurait pas trop de surprises inattendues qu’elle ne saurait pas comment gérer, et elle pourrait contrôler la situation.

En entendant ces conditions, Mu Feichi n’était pas seulement ennuyé, mais aussi quelque peu intrigué.

Il y a quelque temps, il avait entendu le Grand Aîné dire : « On doit obéir à la première dame ».

Bien que les épouses de ce pays ne soient pas exactement des femmes formidables, en privé, même le Grand Aîné obéissait aux demandes de sa femme.

Si la femme avait raison, on devait l’écouter.

Si la femme avait tort, il fallait suivre aveuglément.

En voyant cette fille exprimer solennellement ses exigences aujourd’hui, il s’était rappelé, pour une raison inexplicable, à quel point une épouse était censée être déterminée dans son mariage et sa vie amoureuse. N’était-ce pas un exemple d’obéissance à ses exigences ?

Toute sa vie, sa femme avait été la seule à oser le faire obéir inconditionnellement, lui, le Jeune Maréchal Mu.

Même son père n’avait pas osé exiger des choses de lui de cette manière, et pourtant elle les avait exprimées sans détour.

Maintenant, Yun Xi avait présenté les mêmes demandes, et d’une manière pleine de confiance. Eh bien, ses manières étaient tout à fait semblables à celles de la femme du responsable de la famille Mu.

Cette petite coquine commençait à lui plaire de plus en plus.

« … » En le voyant la fixer droit dans les yeux, Yun Xi trouvait qu’il avait l’air mécontent et se sentait quelque peu anxieuse.

C’était la seule condition à laquelle elle pouvait penser qui serait la plus bénéfique pour elle-même.

Quant aux autres, elle pouvait se débrouiller seule sans compter sur lui.

« Jeune Maréchal Mu, cette condition est très simple, vous pouvez le faire ! »

Elle leva la main pour lui caresser le front et mit fin directement à la discussion en montrant qu’elle n’accepterait pas son refus.

« Bon garçon, vous vous décidez si facilement ! »

« … » Le jeune maréchal Mu n’avait même pas décidé d’accepter ou non, avant d’être troublé par le fait qu’elle le caressait comme si elle caressait son chien.

Le majordome qui apportait le journal du matin se tenait près du moniteur et fixait le jeune Maréchal Mu, qui avait toujours été distant et hautain. En voyant qu’il avait été cajolé pour être aussi obéissant envers cette jeune fille, il était abasourdi.

Bien sûr, cela prouvait la légende qui disait que tout avait son vainqueur.

Yun Xi ne s’était pas souciée de savoir s’il était d’accord ou non. Elle avait décidé de faire comme s’il avait accepté de toute façon.

Le visage de Mu Feichi semblait joyeux. Son regard s’était posé sur son visage jeune, lisse, mais intelligent.

Tout au long de sa carrière professionnelle, il avait l’habitude d’être un excellent chasseur.

Que ce soit dans le monde des affaires ou pour équilibrer la situation à Kyoto, il s’assurait toujours tranquillement que tout était à sa portée.

Maintenant, il avait soudainement l’envie de devenir un jardinier.

Il voulait bien l’arroser et la voir grandir en faisant l’expérience des difficultés. Et attendre que la fleur s’épanouisse.

Avec ces pensées, il la regarda à nouveau dans les yeux avec une émotion intense et complexe, puis sa voix profonde résonna, sonnant plus joyeuse : « Je n’ai même pas encore accepté, mais il semble que tu aies décidé pour moi. »

Yun Xi avait levé la tête et s’était mordu les lèvres en le fixant.

Elle savait qu’elle n’avait aucune chance de gagner si elle devait négocier avec lui.

Tout ce qui en résulterait serait un épuisement ennuyeux.

Voyant l’air découragé sur son visage, Mu Feichi avait utilisé sa fourchette pour prendre une boulette de crevette à la vapeur, puis l’avait approchée de sa bouche avec une adoration affectueuse dans les yeux.

« ….. » Elle avait pincé les lèvres. S’il n’était pas d’accord, alors elle n’accepterait pas sa bonne volonté.

« Bien, j’accepte ! »

Il avait vraiment un faible pour les petites colères de cette fille.

Yun Xi avait légèrement plissé les yeux, ouvert la bouche pour mordre, puis avait tourné la tête pour lui adresser un sourire éblouissant.

D’une manière calme et posée, elle lui fit un geste qui signifiait qu’elle était d’accord.

Pour la première partie, elle avait gagné !

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