Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
A+ a-
Chapitre 66 : Pourquoi, tu veux te mesurer à moi ?
Chapitre 65 : Ce n’est que lorsqu’elle sera assez forte qu’elle pourra être sans peur Menu Chapitre 67 : Je le ferai pour toi par des moyens justes ou injustes

***

Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

 ***

Mu Feichi tendit la main et frotta sa tête avec dédain, comme s’il venait de retrouver son animal perdu.

Il n’y avait aucune sympathie ou pitié dans ses yeux profonds, seulement un soupçon de son adoration impuissante.

Son attitude arrogante semblait exprimer le sentiment suivant : « Je suis le seul à pouvoir m’occuper de quelqu’un d’aussi stupide que toi ! ».

La lumière du soleil matinal tombait sur le visage de Yun Xi. Ses yeux clairs et brillants étaient fixés sur lui, et son reflet s’y reflétait.

Sa peau claire et douce était sans défaut. Absolument aucune tache n’était visible sur son visage et, sous la lumière du soleil, sa peau brillait d’un éclat perlé.

Par pure chance, elle avait battu les 40 élites avec sa petite ruse. L’expression mécontente sur son visage la faisait paraître quelque peu pitoyable, mais il devait admettre qu’elle était extrêmement compétente.

« Tu as déjà franchi cinq postes de sentinelle. Pour quelqu’un d’aussi petit que toi, c’est déjà un exploit très impressionnant. Je ne pense pas que les autres vont t’embêter davantage. »

« C’est tout ? » Elle le fixa d’un air incrédule.

Bien qu’elle ait réalisé que si un autre groupe de personnes arrivait, elle ne serait peut-être pas capable de se battre contre eux, passer le niveau comme ça ne serait-il pas considéré comme une tricherie quelque peu sans scrupules ?

« Pourquoi, tu veux te mesurer à moi ? »

« … » Yun Xi avait roulé les yeux vers lui. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle devait lui répondre alors qu’elle utilisait sa main pour se lever.

Elle ne serait peut-être pas capable de battre l’équipe d’élite de sous la montagne. Et quant à cet impitoyable jeune maréchal Mu, ne creuserait-elle pas sa propre tombe si elle essayait de l’affronter ?

Le véhicule tout-terrain avait fait un demi-tour rapide et s’était dirigé vers le sommet de la montagne.

Se retournant pour jeter un coup d’œil à la vue par la fenêtre, Yun Xi commença à identifier soigneusement les sentinelles et le terrain tout autour de la zone.

Mu Feichi semblait pouvoir lire dans ses pensées. Il lui avait demandé sans détour : « Tu as observé la montagne pendant tout le temps où nous avons roulé. As-tu vu quelque chose de remarquable ? »

« Non. » Déplaçant son regard pour le regarder maintenant, Yun Xi avait répondu faiblement.

Elle comprenait que même si elle voyait quelque chose, elle devait être déterminée à le cacher.

« Vraiment ? » Mu Feichi gloussa et cessa de la harceler de questions.

La voiture avait roulé jusqu’au sommet de la montagne. L’équipement de surveillance en plein air au sommet de la montagne avait été retiré. Un groupe d’hommes se tenait autour en attendant que Mu y amène la formidable petite fille.

Cette petite fille, qui n’était encore qu’une adolescente, mais qui avait réussi à passer cinq postes de garde d’affilée et à tenir tête à 40 élites, faisait grimper leur esprit combatif !

Mu Feichi jeta un coup d’œil à ses subordonnés qui restaient là sans rien faire, fronça les sourcils et baissa la vitre de sa voiture en poussant un rugissement autoritaire : « Qu’est-ce que vous faites tous à rester là sans rien faire ? Vous tous, descendez de la montagne ! »

J’espère qu’ils ne pensaient pas qu’il allait les laisser regarder sa femme ?!

« Boss… » Le groupe d’hommes avait gémi de manière audible et avait reculé à contrecœur. Cependant, leurs yeux restaient fixés droit sur l’occupant du siège passager.

Yun Xi avait jeté un coup d’œil au groupe de personnes qui se retiraient en poussant la porte pour sortir de la voiture. Le visage de Mu Feichi devint instantanément aussi glacial que le froid perçant de décembre.

Yun Xi vénérait des combattants comme eux du plus profond de son cœur.

Après l’avoir enfin vue en chair et en os, le groupe d’hommes se dirigea vers l’hélicoptère, tout en continuant à fixer la silhouette debout à côté de la voiture.

Puis Mu Feichi avait ouvert la porte de sa voiture pour en sortir et, comme s’ils avaient vu un fantôme, le groupe d’hommes s’était élancé vers l’hélicoptère comme des oiseaux effrayés qui venaient de voir une bête redoutable.

Feng Rui voulut s’avancer, mais Qi Yuan l’entraîna vers l’hélicoptère.

« Qu’est-ce que tu fais ! Je veux toujours… »

« Quoi, tu es fou ? Tu ne vois pas l’expression intimidante sur le visage du boss ? Tu veux aller là-bas pour être son punching-ball ? »

« Oh, d’accord… »

L’hélicoptère décolla bientôt. Ce n’est qu’à ce moment-là que Yun Xi avait cessé de le fixer et s’était retournée pour regarder le magnifique manoir Mu en face d’elle.

Le manoir était construit dans un design chinois moderne composé de murs blancs et de tuiles noires, d’arcs en godets et de corniches, de poutres et de colonnes sculptées qui semblaient à la fois rétro et modernes.

Elle réalisa que seuls ceux qui se trouvaient au sommet de la pyramide sociale avaient le goût et l’esthétique nécessaires pour choisir un tel style : la complexité dans la simplicité, le plus haut niveau de goût en matière d’esthétique.

Dans ce manoir, la magnifique combinaison d’architecture palatiale et de modernisme mettait en évidence l’ingéniosité du concepteur.

Il y avait une énorme aire de stationnement qui constituait environ un tiers de l’approche de la maison. Il y avait de magnifiques jardins, et les roses grimpantes jaune vif qui fleurissaient sur les murs donnaient une impression ensoleillée et magnifique à la maison.

Il y avait un parfum d’herbe et de fleurs qui flottait dans l’air frais du sommet de la montagne.

____

N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

____



Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 65 : Ce n’est que lorsqu’elle sera assez forte qu’elle pourra être sans peur Menu Chapitre 67 : Je le ferai pour toi par des moyens justes ou injustes