Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
A+ a-
Chapitre 142 : Tant que je l’aime
Chapitre 141 : Je vis pour moi-même ! Menu Chapitre 143 : Une excuse tirée par les cheveux

***

Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

 ***

Comme elle avait dû se rendre chez la famille Chen pour voir la vieille dame, Yun Xi s’était facilement éclipsée de la maison, sans que personne ne prenne la peine de lui demander si elle rentrait tard.

Yun Yuanfeng voulait qu’elle ait une bonne relation avec la famille Chen pour faciliter son ascension sociale à l’avenir.

Liang Xiuqin espérait, elle, qu’elle ne rentrerait pas chez elle mais qu’elle causerait des problèmes à l’extérieur, afin d’avoir une excuse pour la reconduire à la campagne.

Yun Xi ne se souciait pas de ce qu’ils voulaient de toute façon. Elle était indépendante et se débrouillait sans leur aide depuis de nombreuses années maintenant.

Dans sa vie précédente, elle était passée de la tentative de gagner l’amour de ses parents au désespoir.

Ainsi, dans cette vie, elle ne s’attendait pas à recevoir quoi que ce soit de ses parents.

Après avoir gravi la montagne, Mu Feichi la conduisit directement à la zone d’entraînement où se trouvait temporairement Li Zilan.

Disant qu’elle allait enseigner à Yun Xi quelques techniques de survie et de combat, Li Zilan avait choisi un couteau de poche pour commencer.

Yun Xi devait admettre que Li Zilan était vraiment excentrique.

Elle avait prétendu qu’elle lui enseignerait des choses, mais elle ne lui avait en fait rien appris.

Par exemple, maintenant, elle faisait installer par des gens une table de couteaux pour elle, où plusieurs types de couteaux et de cordes de différentes épaisseurs étaient disposés par type.

« Il y a des couteaux, des cordes de parapluie, et quelques fournitures pour l’extérieur. Tu peux te  familiariser lentement avec eux, et tu peux venir me voir après t’être familiarisé avec eux. »

Jetant un coup d’œil au tas chaotique d’objets sur la table, Yun Xi demanda d’un air sérieux : « Boss Zilan, quel degré de familiarité serait suffisant ? »

Li Zilan ne s’attendait pas à ce qu’elle réponde si rapidement. Balayant sa frange sur son front, elle pinça ses lèvres rouges.

« Si je démontais toutes les pièces, tu serais toujours capable de les remettre en place. C’est le degré de familiarité dont je parle. Est-ce que tu comprends ? »

« Compris… »

Cela allait être un processus ardu. Même si elle avait appris quelques techniques de combat rapproché et de boxe dans sa vie précédente, elle n’avait jamais été entraînée de la sorte.

Parmi tant de couteaux, de cordes de parapluie et de divers autres ustensiles, elle ne pouvait en reconnaître qu’une dizaine.

Face à un grand nombre d’armes diverses, Yun Xi s’était soudainement sentie désemparée.

Elle devait non seulement se familiariser avec elles, mais aussi savoir ce qu’elles étaient, ainsi que la façon de les utiliser et de les assembler.

Ne pas savoir comment utiliser autant d’outils de sauvetage pourrait vraiment être un gros problème pour elle.

Non loin de là, sous un grand arbre, Mu Feichi était assis sur une chaise longue et fixait la silhouette debout à la table à travers ses lunettes noires, les sourcils froncés.

Li Zilan s’était avancée et s’était placée en face de Mu Feichi.

À travers ses lunettes de soleil, elle avait essayé de jauger son humeur du moment.

« Oh, notre jeune maréchal Mu semble si calme aujourd’hui. Je ne peux pas croire que tu n’aies pas compris que ces objets sont tous réels et dangereux. Si l’un d’entre eux se décharge accidentellement, que pourrait-il arriver à ton petit renard mineur… »

Li Zilan s’était tailladé le cou dans un geste visant à provoquer, apparemment nonchalamment mais plutôt intentionnellement, l’homme protecteur en face d’elle.

Il était si occupé tous les jours et pourtant, il trouvait le temps de venir la surveiller, il était donc évident qu’il ne se sentait pas à l’aise de la laisser sous la garde de Li Zilan.

Puisqu’il se sentait si mal à l’aise et qu’il n’était pas prêt à laisser sa précieuse chérie hors de sa vue, bien sûr, elle devait le tourmenter un peu.

Sinon, elle ne serait pas à la hauteur de sa réputation de démon.

Mu Feichi leva légèrement les yeux et, à travers les lunettes de soleil, son regard boudeur se posa sur la silhouette qui démontait les armes.

« Si elle était vraiment aussi stupide, alors pourquoi avoir des espoirs ? N’oublie pas que ce que je veux, c’est une femme qualifiée pour être l’épouse de l’héritier de la famille Mu. »

« Hmph ! Comme si c’était ta femme. »

« Pas pour le moment, mais elle le sera dans le futur. »

Mu Feichi s’adossa paresseusement à sa chaise et ferma les yeux comme s’il n’avait pas l’intention de répondre à d’autres provocations de Li Zilan.

La provocation sans aucun sens du défi n’était que du bluff pour lui.

« Toutes les femmes de Jingdu sont en compétition pour le poste. En fait, j’ai hâte de voir ce qu’elle compte utiliser pour rivaliser avec ces salopes aux mœurs légères. »

« Tant que je l’aime, elle n’a rien à faire, et ces autres femmes n’auront aucune chance de gagner. »

« … » Li Zilan se tourna pour regarder le jeune maréchal Mu, qui était assis sur la chaise devant elle.

Elle trouvait ses manières égoïstes vraiment insupportables.

____

N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

____



Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 141 : Je vis pour moi-même ! Menu Chapitre 143 : Une excuse tirée par les cheveux