Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 143 : Une excuse tirée par les cheveux
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Le dimanche matin, alors que Yun Xi était en train de courir, elle avait vu une silhouette appuyée contre une voiture au loin, avant même d’arriver à un poste de garde.

D’après sa posture, il était évident qu’il l’attendait.

Dès qu’elle s’était approchée, Mu Feichi avait ouvert la porte de sa voiture et avait dit : « Monte ! ».

« Où allons-nous ? » Yun Xi avait regardé Mu Feichi avec perplexité.

« Je t’emmène à la maison de la famille Chen. »

« Si tôt ? » Yun Xi y avait réfléchi un moment, puis avait légèrement froncé les sourcils.

« À cette heure-ci, la vieille Madame ne s’est probablement pas encore levée. Jeune Maréchal Mu, si vous avez quelque chose à faire maintenant, vous devriez d’abord vous occuper de vous. Vous n’avez pas besoin de venir me chercher spécifiquement. Le fils aîné viendra me chercher plus tard. »

À la mention de Chen Yichen, le visage de Mu Feichi s’était soudainement affaissé.

« Tu veux qu’il vienne te chercher si désespérément ? Mais tu ne veux pas me laisser t’emmener ? »

« Hein ? » Yun Xi fut prise au dépourvu et ne réalisa qu’ensuite qu’il semblait être en colère, alors elle secoua rapidement la tête.

« Ce n’est pas que je ne veuille pas. C’est juste que vous êtes occupé par vos affaires, et que je vous dérange toujours. Je suis vraiment gênée de vous déranger. »

Les choses dont rêvaient les autres femmes, quand il s’agissait d’elle, elle pesait d’abord les gains et les pertes.

Elle avait été si stupide dans sa vie précédente qu’elle s’était fait escroquer à maintes reprises parce qu’elle ne savait pas comment se protéger.

Dans cette vie, après des expériences antérieures aussi profondes, comment pouvait-elle ne pas être calculatrice ?

Les yeux sombres de Mu Feichi se posèrent sur l’expression sérieuse et terre-à-terre de son visage.

Bien qu’elle paraisse innocente et enfantine, elle était piquante envers tout le monde.

Il était sage de savoir comment se protéger, mais il ne voulait pas qu’elle s’éloigne trop de lui.

« Pour ce qui est de savoir si je suis occupé ou non, c’est moi qui aurai le dernier mot. Pars tôt et reviens tôt. As-tu oublié les résultats de ton entraînement d’hier ? »

En pensant au visage aigre de Li Zilan lorsque son entraînement s’était terminé hier, Yun Xi n’avait pu s’empêcher d’aspirer son souffle.

Elle savait que ses résultats avaient rendu Li Zilan, le diable, très mécontent.

Il lui avait fallu tout un après-midi pour apprendre à se libérer de la corde et à faire le nœud, mais elle n’avait pu que se sauver elle-même et n’avait pas atteint les normes du démon.

Par conséquent, Li Zilan avait été très mécontente.

Pour devenir plus forte, elle devait y consacrer plus de temps et d’énergie.

« Je comprends. Je vais rentrer à la maison et changer de vêtements. »

« Non, vas-y comme ça. »

« …Mais je n’ai pas encore pris mon petit-déjeuner ! »

« Prends ton petit-déjeuner dans la voiture. »

« D’accord. »

Après être montée dans la voiture, Mu Feichi lui avait tendu une boîte à bento et une tasse de lait de soja.

En regardant le petit-déjeuner qui était plusieurs fois meilleur que ce que le sien aurait été et qui était si bien préparé, Yun Xi savait qu’il ne voulait clairement pas que Chen Yichen vienne la chercher.

Tout en prenant son petit-déjeuner, Yun Xi avait regardé le visage de l’homme à côté d’elle.

Elle était en fait très curieuse de savoir à quel point les compétences en boxe de Mu Feichi étaient puissantes.

Il avait mené tant de personnes de la naissance à la mort à son jeune âge, et il avait établi une position formidable que personne en Chine ne pouvait ébranler ou défier.

Ses capacités avaient toujours été un mystère.

« Suis-je vraiment si irrésistible ? »

Peut-être mal à l’aise après avoir été dévisagé pendant si longtemps, Mu Feichi avait tourné la tête paresseusement, et ses yeux s’étaient verrouillés avec les siens.

« Ahem… »

Se faisant surprendre, Yun Xi détourna maladroitement la tête et faillit s’étouffer avec la brioche qu’elle avait dans la bouche.

Mu Feichi avait souri légèrement, puis avait tendu la main et lui avait tapé dans le dos.

Rougissant, Yun Xi avait eu l’air embarrassée.

Quel embarras pour elle de se pâmer devant lui de façon si flagrante à un tel âge.

« Qu’as-tu découvert en me regardant comme ça ? »

« Euh… rien… » Après avoir pris une gorgée de lait de soja, elle avait finalement avalé ce qu’elle avait dans la bouche.

« Petite fille, ce n’est pas si facile de voir à travers moi. »

Ayant l’impression qu’il avait lu dans ses pensées, Yun Xi a détourné maladroitement la tête et s’est efforcée de trouver une excuse pour couvrir ses actions. “Je suis juste curieux de savoir à quel point tes compétences en combat rapproché sont puissantes.”

Mu Feichi n’a naturellement pas cru à son excuse farfelue, et il a souri en lui tapant sur le bras.

“Quand tu pourras vraiment voir à travers moi, je te laisserai voir à quel point je suis bon. Avant cela, tu dois d’abord battre Li Zilan.”

“…” Yun Xi a baissé la tête, alors que les doigts fins de l’homme ont touché sa poitrine.

Le fait qu’il touche une zone aussi délicate lui a immédiatement donné l’impression que son visage brûlait !

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