Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 392 : Premier aperçu de la copie d’examen de Qiao Nian
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Cheng Wu ne s’attendait pas à ce qu’elle ait également une copie d’examen à lire, il était donc plutôt surpris. « Le professeur Liang a un étudiant qui vous intéresse ? »

Intéresse ? Liang Lu renifla, mais ne nia pas. « Oui, d’une certaine manière. Je veux juste voir ses résultats, mais le département clinique ne l’accepte pas. »

En disant cela, Cheng Wu se souvint immédiatement de ce qu’un professeur du département clinique avait dit. Liang Lu s’était personnellement rendu à la ville de Rao pour voir une étudiante et lui avait offert une place à l’Université de Qing. L’étudiante n’avait pas été émue et l’avait même rejetée.

Par coïncidence, elle était même intéressée par la faculté de médecine chinoise, la rivale du département clinique.

Cette étudiante semblait s’appeler… Qiao Nian ?

Ayant entendu que ses notes locales n’étaient pas bonnes, Liang Lu avait suggéré de voir les notes de l’étudiante à l’avance, probablement parce qu’elle voulait l’humilier.

Cheng Wu ne dit rien. Il pensait seulement qu’en tant qu’experte domestique bien connue et enseignante, elle était trop mesquine.

Bientôt, l’heure de la fin de l’examen arriva.

Les copies étaient continuellement envoyées au bureau des affaires académiques.

Cheng Wu cherchait la copie de Qiao Chen et Liang Lu celle de Qiao Nian.

Tout le monde avait cherché, et il s’est avéré que les deux séries de copies se trouvaient dans la même salle d’examen. Ils avaient pris les copies qu’ils voulaient lire.

Cheng Wu dit très gentiment : « Professeur Liang, pourquoi ne lis-tu pas d’abord le document que tu tiens dans ta main ? »

Ayant un autre plan, Liang Lu refusa catégoriquement. « Non, regardons d’abord ta copie ! »

Les notes de la copie que Cheng Wu voulait regarder ne seraient jamais mauvaises. Ce qui serait le plus embarrassant, c’est que le premier devoir obtienne de bons résultats, mais que le suivant soit nul !

Elle n’aimait vraiment pas Qiao Nian, et puisqu’elle voulait évacuer sa frustration, elle devait faire de Qiao Nian et de la faculté de médecine chinoise la plus grande risée de l’année !

« D’accord, je vais d’abord regarder ma copie. » Ne refusant pas, Cheng Wu demanda à quelques professeurs de l’aider à corriger sa copie en premier.

La division du travail et la correction par plusieurs professeurs avaient été très rapides. Il ne fallut que cinq minutes à une personne pour vérifier les réponses standard, et moins de 20 minutes pour vérifier la copie de Qiao Chen.

Bientôt, les notes furent publiées.

Tout le monde se montra satisfait.

Le professeur qui avait noté ses questions d’anglais ne pouvait s’empêcher de dire : « Les notes de Qiao Chen sont plutôt bonnes, sa compréhension de l’anglais a été bien écrite. Je pense qu’elle peut réussir l’examen cette année. »

Liang Lu observa l’excitation à côté de lui et demanda : « Combien de points a-t-elle obtenu ? »

« Le score total ? »

Tout le monde avait compté.

« 588, presque 600. »

Ce résultat n’était pas mauvais, c’était au moins un résultat de premier ordre.

Cheng Wu et Liang Lu sourirent tous deux de satisfaction.

Maintenant que les résultats de Qiao Chen étaient connus, elle sortit rapidement la feuille de Qiao Nian. Jetant un coup d’œil à la feuille entièrement rédigée, elle dit sans attendre : « Aidez-moi à corriger cette feuille. »

« Oui. »

Plusieurs professeurs regardèrent le nom sur la feuille : Qiao Nian.

Quelle coïncidence !

La première était Qiao Chen.

Maintenant, c’était Qiao Nian.

Mais il y avait trop de personnes portant le même nom de famille dans le pays. Ils ne réfléchirent pas beaucoup et commencèrent à se concentrer sur la correction de la copie.

Plus ils notaient, plus leurs expressions devenaient sérieuses et rigoureuses.

L’atmosphère dans la salle était devenue sérieuse.

Liang Lu attendait de voir la plaisanterie, mais lorsque tout le monde devint silencieux, elle ne put s’empêcher de froncer les sourcils. Elle s’approcha pour observer les notes de chacun.

L’atmosphère était la même dans le bureau du principal.

Le principal regarda l’homme assis sur le canapé de son bureau qui jouait avec son téléphone portable. Une tête était aussi grosse que deux, et il ne comprenait pas pourquoi le grand Bouddha de la Famille Ye venait dans son bureau.



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