Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 371 : Une somme à six chiffres pour un sèche-cheveux
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Elle y avait longuement réfléchi, mais n’avait pas réussi à trouver une bonne raison.

De toute façon, elle ne pouvait pas s’en préoccuper. Elle changea de position assise et travailla sur le clavier pour effacer la notification qu’elle avait reçue précédemment.

La lumière de la pièce tombait directement sur sa tempe, ce qui la rendait encore plus cool qu’elle ne l’était déjà !

À ce moment-là, son téléphone portable posé sur la table sonna. C’était un appel de Su Mo.

Qiao Nian se pencha en arrière sur sa chaise et décrocha.

« Allô. »

Sa voix était plutôt rauque.

Su Mo s’était habitué à son ton et alla droit au but. « Mlle Qiao, à quel hôtel es-tu ? Je viendrai te chercher demain matin. Dis-moi à quelle heure tu seras debout. »

Qiao Nian regarda l’heure dans le coin inférieur de son ordinateur portable. Il était dix heures et demie. Elle plissa les yeux en réfléchissant, puis répondit nonchalamment : « Pas besoin, j’appellerai un taxi. »

« Si je me lève tôt, je serai là à neuf heures et demie. Sinon, à dix heures et demie. »

La Corporation Cheng Feng avait récemment financé des programmes technologiques, y compris la recherche pharmaceutique, le développement de produits biologiques… Yuan Yongqin était en voyage d’affaires depuis peu et ne serait pas de retour à temps. Elle se trouvait à Pékin à ce moment-là et avait décidé de lui demander de l’aider à surveiller certains de ces programmes. Elle pourrait aider à décider quels programmes doivent continuer à être financés et lesquels sont plutôt des escroqueries visant à soutirer de l’argent à la société.

Ses cheveux étaient encore mouillés et dégoulinaient d’eau. Deux gouttes avaient atterri sur son cou, ce qui agaça Qiao Nian. Elle fronça les sourcils et entra dans la salle de bains en tenant son téléphone portable. Elle demanda : « À quelle heure ces gens arriveront-ils demain ? »

« Je l’ai réglé sur neuf heures et demie. »

Su Mo n’hésita même pas à réfléchir. Il ajouta immédiatement : « Si tu ne peux pas te lever à temps, je leur demanderai de repousser l’heure à dix heures. »

Qiao Nian attrapa un sèche-cheveux dans le tiroir et jeta un coup d’œil à la marque. Il s’agissait d’un petit sèche-cheveux noir d’apparence modeste, mais qui était en fait un produit international de premier plan. Elle se souvint qu’il s’agissait d’une édition limitée et qu’il devait coûter une somme à six chiffres…

Elle regarda ensuite le nettoyant pour le visage, le masque pour le visage et les produits de toilette que Ye Wangchuan avait préparés pour elle sur le comptoir de la salle de bain. Ils étaient tous de la même qualité et de la même marque que le sèche-cheveux.

Qiao Nian se frotta la tempe et devint encore plus frustrée.

Les sièges de première classe, la boîte de vêtements dans l’armoire et tous ces objets divers… tout cela coûtait cher. Elle lui avait déjà offert un bouton de manchette en saphir la dernière fois. Et maintenant, qu’est-ce que c’est ?

Elle se souvint de ce qu’elle avait apporté dans son sac.

Cette fois-ci, elle était venue en vitesse. Étant donné sa nature paresseuse, elle avait décidé de ne choisir que son logement à Pékin. Tout le reste pouvait être acheté à son arrivée.

Elle n’avait donc même pas emporté ses vêtements. Son sac était pratiquement vide.

La seule chose qui pouvait être considérée comme un cadeau était son flacon de pilules.

Qiao Nian se pinça les lèvres en pensant à la possibilité d’offrir ce flacon de pilules. La personne à l’autre bout du fil commençait à s’inquiéter de son absence de réponse. « Mlle Qiao, dix heures du matin, c’est trop tôt ? Dois-je repousser le rendez-vous d’une demi-heure ? »

Qiao Nian sortit de sa torpeur cette fois-ci. Elle se sentait contrariée.

Les lumières de la chambre étaient encore sur sa tempe. Elle posa son téléphone portable et le mit en mode haut-parleur, puis brancha le sèche-cheveux. « J’y vais à neuf heures. »

« D’accord, je t’attendrai en bas. »

Qiao Nian regarda la personne dans le miroir avec des yeux fatigués. Elle refusa. « Pas besoin, j’irai toute seule. »

Su Mo savait qu’elle était une personne discrète et qu’elle ne voulait probablement pas se faire remarquer. Il sourit et dit, « Très bien, alors. Je t’attendrai dans le bureau à l’étage. »



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