Le Restaurant d'un Père dans un Univers Extraordinaire | A Stay-at-home Dad's Restaurant In An Alternate World | 奶爸的异界餐厅
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Chapitre 44 – Ou je te rôtis tout de suite
Chapitre 43 – La Zhi Roujiamo Menu Chapitre 45 – Amy en veut un de plus

En montant les escaliers, Mag entendit à nouveau l’œuf s’agiter. Il le regarda, hilare, se demandant s’il était effrayé par les mots d’Amy.

Il alla dormir et fut tiré de son sommeil par le réveil sous son oreiller à 5 heures du matin. Il l’éteignit rapidement, puis il se changea tranquillement. Il se lava et alla dans la cuisine pour cuire la viande.

Celle-ci devait être cuite pendant deux heures, raison pour laquelle il devait se réveiller si tôt. De plus, son habileté au pétrissage s’était peut-être améliorée, mais il lui fallait du temps pour pétrir à fond deux gros morceaux de pâte.

Il avait pratiqué de nombreuses fois sur le champ de test et avait créé un La Zhi Roujiamo si parfait que même lui, très pointilleux dans sa vie passée, trouvait très satisfaisant. Mag était très consciencieux.

Le porc marbré n’était pas tout à fait prêt après une seule nuit, mais il ne laisserait que ses habitués comme Mobai l’essayer ce matin-là, avec Amy et lui-même.

Il ne l’ajouterait pas à son menu tant que tout ne serait pas prêt.

Garder le goût des plats inchangés était l’une des règles de base des restaurants du guide Michelin, et maintenant c’était devenu un des principes de Mag.

Il devait le leur facturer, bien sûr. Il les laissait essayer le nouveau plat en premier parce que c’était l’un des termes dont ils avaient convenu lors du financement participatif.

Le visage du cuisinier devint sérieux quand il mit son tablier. Il mit la viande dans le pot et suivit strictement les étapes en appliquant les meilleurs gestes et temps déterminés pendant son apprentissage. Après avoir ajouté les épices et les assaisonnements et éteint le brûleur, il commença à pétrir la pâte.

Pétrir la pâte était vraiment une tâche exténuante. Heureusement pour Mag, dans le champ de test, il avait trouvé un moyen de pétrir la pâte plus rapidement et plus facilement. Cependant, il lui fallut une heure pour bien pétrir deux morceaux de pâte, pendant laquelle il dut se reposer deux fois.

Il transforma la pâte en pain, la mit de côté et ne se précipita pas pour la cuire. Il regarda l’heure. Il était déjà sept heures cinq.

La viande avait encore besoin de 15 minutes avant d’être prête, et Amy n’était pas debout comme d’habitude. Il se lava donc les mains, enleva son tablier et monta les escaliers.

Il entra dans la chambre. Les yeux de la petite fille étaient fermés, celle-ci semblant endormie.

Pourtant, ses cils légèrement en mouvement et son sourire à peine étouffé disaient le contraire.

« Eh bien ! Il semble qu’il y ait une petite fée qui dort encore. Comment la réveiller ? » dit-il assis au bord du lit, retenant un léger rire. Il feignit d’être un peu troublé.

Amy ouvrit légèrement les yeux, lui jeta un rapide coup d’œil et les ferma aussi sec. Puis, elle tourna lentement la tête sur le côté. « La petite fée a dit que le bisou de Père la réveillerait. »

Ce dernier fit semblant d’être soudain éclairé. « Je vois ! Alors réveillons-la. » Il s’approcha d’elle, se baissa et l’embrassa sur la joue.

Elle ouvrit immédiatement les yeux. « La petite fée s’est réveillée ! » Elle passa ses bras autour du cou de Mag et se leva en riant. Puis elle le regarda, ravie et pleine d’anticipation. « Père, est-ce que le pain qui est cent fois meilleur que les crêpes est prêt ? »

Il hocha la tête en souriant. « Presque, mais il est meilleur directement sorti du four. Il sera prêt une fois que tu te seras lavée et changée. » Il se sentait vraiment heureux. Puis il jeta un coup d’œil à la robe noire de sa fille et déclara dans sa tête : « Système, je veux acheter une robe violette. Une mignonne. Je vais payer en liquide. »

Le système ne dit pas un mot cette fois-ci, et des centaines de petites robes, dont le prix allait d’une à 500 pièces d’or, apparurent dans son esprit.

« Je vais prendre celle qui est à 10 pièces d’or. » Mag regarda rapidement la robe incrustée de nombreuses améthystes, la plus chère, mais n’appréciait pas vraiment son style. Il acheta donc celle avec un gainier de Chine doré et rouge brodé sur le devant et avec du tulle sur le vêtement.

Le visage d’Amy s’illumina et elle hocha rapidement la tête. « D’accord. Amy va s’habiller alors. »

Après que le système l’informa que la robe était prête, Mag se dirigea vers l’armoire et se retourna avec un sourire. « J’ai une nouvelle robe pour toi. Dis-moi si tu l’aimes » déclara-t-il.

« Vraiment ? » Son petit visage était plein d’espoir.

Il ouvrit le placard et sortit la petite robe. Puis il retourna à son chevet et la tint devant lui. « Alors ? »

Amy la regarda, ses yeux reflétant une agréable surprise. « C’est si beau et c’est violet. J’adore ça ! » Elle sauta sur le lit, ravie. Puis elle se tint sur la pointe des pieds et embrassa Mag sur la joue. « Père, Amy t’aime. »

« Je t’aime aussi. Allez, essaie-la. » Il était très heureux lui aussi. Il l’aida à enfiler son nouvel habit.

Le haut avait de jolis motifs, le gainier de Chine attirait vraiment l’oeil, et il y avait une couche de tulle violet sur la jupe plissée.

Amy se retourna et baissa la tête pour regarder danser le tissu léger avec surprise. Elle joua avec quelques instants.

Mag regarda son enfant ressemblant maintenant à un ange dans la petite robe, et sourit. « Mets tes chaussures et va te laver. Père te fera du pain » dit-il en caressant la tête argentée.

Amy acquiesça docilement. « Ok. » Elle descendit les petits escaliers, enfila ses chaussures blanches et alla se laver.

Il lui jeta un coup d’œil. Elle pressait elle-même le dentifrice, et il comprit qu’elle n’avait plus besoin de son aide. Puis il descendit.

Ainsi, la viande était prête. Mag éteignit le brûleur et commença à mettre le pain dans le four préchauffé. Il y réfléchit et mit 16 pains à l’intérieur. Le four était plein.

Après un moment, Amy finit sa toilette et descendit. Elle passa la tête par la porte de la cuisine et regarda à l’intérieur. Elle avait senti l’arôme fort et appétissant de la viande cuite. Elle inspira profondément et demanda : « Ça sent si bon. Père, qu’est-ce que c’est ? Son odeur est très différente de celle du riz arc-en-ciel. »

Il se retourna et sourit. « Prends un siège et tu verras dans peu de temps » répondit-il, gardant le suspense.

Elle hocha la tête. « Je vais aller voir le vilain petit canard. » Elle se dirigea vers le comptoir et s’accroupit à côté de l’oeuf. Elle se pencha et écouta un moment. « Réveille-toi, vilain petit canard. Sors aujourd’hui, ou je te rôtis tout de suite. »

Soudain l’œuf, jusque-là silencieux, se mit à faire du bruit, semblant un peu mal à l’aise.

Amy hocha la tête. « C’est ça l’esprit ! Casse-la ! »

Le craquement devint plus rapide, comme s’il faisait de son mieux pour éviter d’être rôti vivant.

Mag secoua la tête en souriant dans la cuisine. Ma petite fille est vraiment mignonne, mais je me sens désolé pour la petite créature dans l’œuf.

Il ouvrit une miche de pain bai ji, prit un morceau de viande du pot, le coupa en petits morceaux et les fourra dans le pain. Puis il ajouta de la sauce. Un authentique La Zhi roujiamo était prêt.

Mag sortit de la cuisine avec un roujiamo dans une main et une assiette dans l’autre. « Amy, le pain qui est cent fois meilleur que les crêpes est prêt. Viens ici et essaie-le. »

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