Les adversaires de Blackhawk dans les tours suivants n’étaient pas des équipes fortes, ce qui leur donnait plus d’opportunités de s’entraîner.

Avec leur confiance nouvellement acquise et les incroyables flèches d’Han Sen, Blackhawk devint le champion du tournoi de tir à l’arc de cette année.

Tous les médias étaient fous de la nouvelle équipe de champion et utilisaient toutes sortes de mots tels que « miracle de Blackhawk », « nouvel Empereur » et « dieu du tir à l’arc », faisant d’Han Sen la nouvelle star parmi tous les élèves des écoles militaires.

À présent, toutes les écoles militaires savaient que Blackhawk avait un archer aussi bon que Jing Jiwu.

Lorsque l’équipe de l’école de tir à l’arc fut de retour, elle reçut le meilleur accueil et l’école les récompensa généreusement. Leur performance était également consignée dans les annales de l’école. C’était la première fois que Blackhawk remportait un championnat dans la Ligue des Académies Militaires.

Si les règles actuelles permettaient à un joueur de participer à plusieurs catégories, le Président de Blackhawk pourrait demander à Han Sen de s’inscrire pour chacune d’elles.

L’épreuve individuel dans le tournoi de tir à l’arc n’était pas une vraie compétition, mais un match d’exhibition parmi les 10 archers les plus populaires.

Avec la renommée d’Han Sen et ses flèches tournantes, il avait gagné la première place sans aucun doute. Bien que cette gloire soit bien inférieure à celle de gagner en équipe, cela donnait à Han Sen des crédits académiques supplémentaires.

La flèche tournante était une création de Han Sen utilisant la référence de la lance du chevalier et la théorie du Yin Yang Blast.

Pendant les trois mois où Han Sen a combattu le chevalier, il n’a rien appris d’autre que cette compétence, ce qui a mené à sa victoire dans le duel contre Jing Jiwu.

Malgré cela, il avait eu beaucoup de chance de gagner. S’il devait recommencer, Han Sen n’était pas sûr de pouvoir battre Jing Jiwu.

La victoire de Black Hawk était un unique miracle.

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Le ciel était bleu et la plage était chaude.

Une beauté à la peau aussi claire que du lait, de longues jambes et de belles courbes plongeaient dans l’eau sans rien porter d’autre qu’un maillot de bain.

Allongé sous le parasol, Han Sen ne pouvait pas détourner son regard de Ji Yanran.

« La vie est belle ! » En voyant la silhouette séduisante de Ji Yanran, Han Sen sentit que Dieu l’aimait.

Ji Yanran avait vraiment tenu sa promesse et l’avait emmené en vacances, ce qui était au-delà des attentes d’Han Sen. Ji Yanran avait même pris soin de demander un congé de l’école.

« Je suis tellement charmant. » Han Sen enleva ses lunettes de soleil et regarda son propre reflet dans le miroir, appréciant son beau regard.

« Pourquoi ne nages-tu pas ? » Ji Yanran retourna à la plage et demanda à Han Sen.

Han la prit dans ses bras, lui tint sa petite taille et lui chuchota à l’oreille : « Nous avons quatre jours et trois nuits, pour lesquelles je dois économiser de l’énergie. »

Ji Yanran rougit soudainement et pinça la taille de Han Sen. Pendant que Han Sen se plaignait, elle s’était enfuie vers une autre chaise.

« Pourquoi n’y a-t-il personne ici ? Tu n’as pas loué toute la plage, n’est-ce pas ? » Il regarda autour de lui et se demanda pourquoi il n’avait jamais vu d’autres touristes.

« Quand as-tu entendu parler d’une location de plage ? » Ji Yanran leva les yeux au ciel et dit : « C’est une plage privée, donc il n’y a personne ici »

« Vous êtes propriétaire de la plage ? » Han Sen fut surpris.

« Non » répondit Ji Yanran en souriant : « Mais cette planète appartient à mon oncle. »

Han Sen s’étouffa dans l’eau qu’il venait de boire.

Il savait que Ji Yanran venait d’une famille riche, mais il n’imaginait pas qu’ils seraient aussi riches.

« Merveilleux, tant que je suis avec toi, je n’aurais pas besoin de travailler » répondit Han Sen en souriant.

« Dans ma famille, seuls les fils peuvent hériter des entreprises familiales. Maintenant, je peux toujours utiliser les ressources de la famille, mais quand je serai marié, tout dépendra de toi » dit Ji Yanran en plissant les lèvres.

« Tu as tellement envie de m’épouser ! Je n’ai même pas encore décidé si je voulais le faire. » Han Sen fit semblant d’être surpris par elle.

« Hah ! » Ji Yanran s’énerva soudainement et se jeta sur Han Sen.

Avec un sourire sournois sur le visage, Han Sen attrapa sa main et la tira vers ses bras, embrassant ses lèvres séduisantes.

Ji Yanran se débattit un peu et abandonna, appréciant également le baiser.

La main de Han Sen se déplaça entre la taille et les fesses de Ji Yanran, alors qu’il hésitait s’il devait avoir cette fille magnifique ici sur la plage. (J ’ai voulu mettre “prendre” à la place d’”avoir” mais j’ai pas osé … Oups, je viens de le faire)

Soudain, Han Sen aperçut un ancien voilier. Han Sen n’avait vu qu’une telle chose dans les films.

Ji Yanran se leva immédiatement des bras de Han Sen. Tandis que le bateau entrait dans la jetée, un jeune homme d’environ 25 ans descendit avec quelques gardes du corps et se dirigea vers le couple.

En souriant, le jeune homme fit un signe de la main à Ji Yanran : « Ji Yanran, ça fait longtemps que tu ne nous as pas rendu visite. »

« Frère, je suis une étudiante d’école militaire maintenant et je n’ai pas beaucoup de temps. » Ji Yanran présenta Han Sen au jeune homme : « Voici mon camarade d’école Han Sen. Han Sen, voici mon frère Ji Lingfeng. »

« Frère » Han Sen appela Ji Lingfeng directement.

Ji Yanran rougit. Ji Lingfeng s’arrêta et sourit : « Han Sen, es-tu celui qui a battu Jing Jiwu au tournoi de tir à l’arc ? »

« Oui, c’est moi » dit Han Sen avec désinvolture.

« C’est impressionnant, pas étonnant que Ji Yanran vous ramène. » Ji Lingfeng jeta un regard à sa sœur.

Ji Yanran rougit et fit la moue. « Frère, es-tu venu me chercher des embrouilles ou es-tu venu discuter ? »

« Nous parlerons sur le navire alors. » Ji Lingfeng prit le couple à bord, puis le voilier s’éloigna dans l’océan.

« Han Sen, connaissez-vous des jeux à boire ? » Ji Lingfeng s’assit dans le salon et posa deux bouteilles de vin devant Han Sen.

« Un peu » dit Han Sen avec un sourire.