Le Salon de Discussion des Cultivateurs | Cultivation chat group | 修真聊天群
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Chapitre 262 – Doudou kidnappa le petit moine et s’enfuit
Chapitre 261 – Le sac réducteur de taille Menu Chapitre 263 – Des bambous pour une Formation

Song Shuhang regarda Douce Plume, perplexe, ne comprenant pas ce qu’elle préparait.

Après avoir terminé de fouiller dans son sac, elle approcha la table du Vénérable Blanc sur le lit et y plaça le brûleur d’encens.

Elle en pinça l’extrémité, libérant du Vrai Qi pour l’allumer.

Puis elle tint fermement le bâton et s’inclina devant l’Aîné, lui rendant hommage. Elle semblait si sérieuse, comme si elle offrait des sacrifices à une divinité.

Après quoi, elle plaça respectueusement plusieurs bâtons d’encens dans le brûleur.

– « … » C’est q uel genre de blague ? C’est vraiment étrange… Le Vénérable Blanc est encore en vie, pourtant . E t il n’est pas une idole !

Par conséquent, il ne put s’empêcher de demander : « Douce Plume, qu’est-ce que tu fais ? »

– « Ne me dit pas que tu n’es pas au courant ! » Elle lui offrit une expression choquée. « Tu n’as jamais offert d’encens à l’Aîné ? »

– « Non. D’où ma question. Pourquoi le devrais-je ? »

– « Aîné Song, tes connaissances du monde de la cultivation sont vraiment lacunaires, » dit-elle avec une tristesse évidente.

En entendant cela, Song Shuhang eut l’air troublé. « Est-ce que, chaque fois que je rencontre un aîné, je dois installer une table et offrir de l’encens ? »

Les jeunes pratiquants doivent-ils toujours emporter avec eux un brûleur, peu importe où ils vont, pour être en mesure de rendre hommage à un cultivateur d’un rang supérieur avec de l’encens ? Non . I mpossible !

– « Mais non, ce n’est pas nécessaire lorsqu’on rencontre d’autres aînés. Mais l’Aîné Blanc est rare et spécial ! » affirma-t-elle d’un grand geste des deux mains. « La plupart des gens sont au courant. Si quelqu’un rencontre l’Aîné Blanc pendant qu’il médite, qu’il lui offre de l’encens et fait un voeu… Il y a de grandes chances qu’il se réalise ! »

– « Quoi ? » Song Shuhang utilisa toutes ses forces pour se frotter le visage.

La chance défiant les cieux du Vénérable était donc si incroyable ?

… Il pensa immédiatement à leur rencontre dans le Temple Sans Nom. A ce moment-là, beaucoup avaient pris l’Aîné pour une statue d’un sage, qui s’était vu honoré par de nombreux pèlerins.

Le Temple était plutôt célèbre. On disait que, tant que la personne était sincère, ses souhaits étaient exaucés.

C’était donc vrai… Même dans le monde de la cultivation, la réputation de l’Aîné s’ est largement répandue.

Mais n’était-ce pas dangereux ? Par exemple, si quelqu’un souhaitait découvrir une technique sans égale, il risquait de tomber d’une falaise. Avec de la chance, il atterrirait dans une grotte et y obtiendrait la technique espérée. Sinon, il pouvait tout à fait la “découvrir” quelques instants avant de percuter le sol et finir en un tas d’os brisés !

– « Douce Plume ? Je peux te poser une question ? Est-ce que quelqu’un est mort ou a été blessé en voyant son vœu se réaliser ? »

Elle réfléchit un moment avant de secouer la tête. « Je n’en ai aucune idée. Tout ce que je sais, c’est que dans le monde de la cultivation, la rumeur veut que si quelqu’un présente ses requêtes à l’Aîné Blanc alors qu’il est en pleine méditation, elles deviendront réalité. »

Alors, l’encens termina sa combustion.

– « Ah, saperlipopette ! Utiliser le Vrai Qi pour l’allumer est ennuyeux, il a brûlé beaucoup trop rapidement. »

Cependant, elle n’avait aucune intention de recommencer. Elle se contenta de ranger silencieusement ses affaires.

Song Shuhang la regarda utiliser le petit sac pour réduire le brûleur à la taille d’une bille, puis le placer à l’intérieur. Elle fit de même pour la table.

Cet objet est génial S i seulement j’avais la chance de trouver la mue d’un Serpent P etit D oigt, ce serait vraiment génial.

A h, stop !

Aîné Blanc , ce n’était pas un souhait ! ajouta-t-il rapidement en fixant le Vénérable qui cultivait encore les yeux fermés sur le lit.

❄️❄️❄️

Song Shuhang prépara une tasse de Thé Vert Spirituel et la donna à Douce Plume.

– « Hein ? Depuis quand as-tu du Thé Vert Spirituel ? » demanda-t-elle, curieuse. Celui qu’elle avait envoyé était toujours dans la caisse alors que ces feuilles venaient d’une boîte dans sa chambre.

– « Seize du Clan Su, un membre du Groupe des Neuf Provinces #1 m’en a envoyé un peu. La dernière fois, je lui ai rendu service, alors elle a voulu me remercier. »

– « Oooh ! La cadette de l’Aîné Sept, c’est ça ? J’ai lu quelques messages des aînés à son sujet. » Douce Plume, assise sur le côté du lit, secoua ses petits pieds et leva ses orteils d’un blanc immaculé, frisson des plus grands fétichistes.

Lorsqu’elle avait installé la table pour offrir de l’encens, elle n’avait même pas ses sandales.

Song Shuhang sortit une chaise de dessous la table de l’ordinateur et s’y assit. Il lui demanda avec inquiétude : « Douce Plume, quel vœu as-tu fait ? Si ce n’est pas indiscret, évidemment. »

C’était après tout un souhait personnel. S’il s’agissait de quelque chose de gênant, elle refuserait d’en parler.

– « Ah, ce n’est rien de spécial, ça ne me dérange pas. J’ai demandé sa bénédiction pour accomplir ma prochaine mission sans accroc. »

Une mission ? Il reçut une brusque révélation. « Tu parles de la carte au trésor ? Tu veux partir à l’aventure ? »

Elle lui en avait parlé en une occasion sur le salon de discussion. Elle l’avait trouvée dans les notes de son père et avait invité le jeune homme à l’accompagner.

– « Non, ce n’est pas cela. Même si j’ai apporté la carte au trésor. Mon but principal concerne quelque chose d’autre ! » Elle commença à lui expliquer sérieusement ce qui la préoccupait.

❄️❄️❄️

Douce Plume avait une excellente amie nommée Chu Chunying, une fille d’une petite famille aristocratique de cultivateurs. Quand elle était petite, elle accompagnait son père, le Vénérable Papillon Spirituel, pour s’amuser dans le monde entier. C’est ainsi qu’elle l’avait connue.

Par la suite, elles étaient restées en contact.

Mais peu de temps auparavant, Chu Chunying avait soudainement cessé de lui écrire. Par conséquent, Douce Plume, inquiète, avait envoyé des gens enquêter.

Elle avait alors découvert que cette famille aristocratique était confrontée à un certain problème.

Environ cent ans plus tôt, ils avaient obtenu une technique à l’épée vraiment puissante. Au départ, le secret avait été bien gardé des étrangers. La famille Chu la pratiquait à huis clos.

Mais la nouvelle finit par fuiter et l’attention d’une secte fut titillée. Même si cette dernière n’était pas grande, elle était bien plus forte que le petit groupe.

Par conséquent, la famille Chu avait commencé à avoir des difficultés… La secte voulant la forcer à lui remettre la technique.

La situation avait été intenable pendant plus de six mois.

– « N’y a-t-il personne pour arbitrer de telles affaires ? » demanda Song Shuhang. « N’y a-t-il pas un genre d’Organisation des Cultivateurs Unis pour taper du point sur la table ? »

– « En fait, je crois bien qu’il y a un homme qui joue ce rôle. Mais il me semble qu’il s’est isolé pour méditer depuis 600 ans et personne ne sait quand il reviendra. »

C’était l’aspect le plus frustrant du monde des pratiquants. Pour avoir de l’influence, il fallait être extrêmement fort. Sinon, que faire pour forcer d’autres cultivateurs à marcher au pas ?

Quant aux plus grands aînés, ils passaient au moins plusieurs centaines d’années en isolement, parfois même jusqu’à mille ans. Pendant ce temps, qui pouvait prendre la responsabilité de gérer le monde de la cultivation ?

Il était impossible de désigner quelqu’un !

Lorsque quelqu’un était choisi, il décidait rapidement de se lancer dans un festin méditatif de dix mille ans…

Par conséquent, ce problème ne pouvait être résolu de cette manière…

– « Sinon, quelques grandes sectes Daoïstes et Bouddhistes surveillent l’évolution du monde des cultivateurs dans l’ombre pour éviter le chaos. Si certaines choses vont trop loin, elles passent à l’action et personne ne peut se plaindre de ne pas avoir été prévenu, » expliqua Douce Plume.

C’était justement pour cela que cette secte n’osait pas arracher par la violence la technique à l’épée, mais rendait la vie impossible à cette petite famille aristocratique.

❄️❄️❄️

– « Alors, Douce Plume, tu veux aider ton ami, c’est ça ? Comment vas-tu t’y prendre ? » demanda Song Shuhang.

– « Pour être honnête, je n’ai pas encore réfléchi… Je voulais lui rendre visite pour voir s’il y a quelque chose que je peux faire. Et si leurs ennemis vont trop loin, je reviendrai avec une paire de cultivateurs pour aider Chu Chunying ! Si je ne peux pas résoudre ce problème par la logique, nous verrons bien qui est le plus fort ! » Elle serra les poings et sourit de toutes ses petites dents.

– « Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour t’aider ? » À bien y réfléchir, il trouvait enthousiasmant de participer à un conflit entre une secte et une famille aristocratique. Si possible, il voulait acquérir de nouvelles expériences.

Elle le regarda d’un air gêné et essaya de faire preuve de tact. « Non, Aîné Song. Ton niveau de cultivation est un peu bas. Même si tu viens, tu ne seras pas très utile. »

Il en eut les larmes aux yeux. Pardon si je suis un faible !

– « Attends-moi. Quand j’aurai aidé mon amie, et si papa n’a envoyé personne pour me ramener à la maison, je t’accompagnerai à la recherche du trésor ! » le consola-t-elle en tendit la main pour tapoter son épaule.

– « Ça marche. »

– « Au fait, j’ai entendu dire que Doudou, l’animal du Véritable Monarque Mont Jaune est chez toi lui-aussi. Comment se fait-il que je ne le voie pas ? Je n’ai jamais eu la chance de le rencontrer. Chaque fois que papa m’a emmenée chez lui, il était toujours en pleine fugue. »

– « Doudou accompagne actuellement un petit moine à l’hôpital, Guoguo, pour soigner ses hémorroïdes. Normalement, la dernière intervention chirurgicale est pour aujourd’hui. Doudou devrait rentrer bientôt. »

Coïncidence, son téléphone portable sonna. Il y jeta un coup d’œil : le pékinois l’appelait.

– « Quand on parle du chien… Je décroche. » Il sourit et accepta l’appel.

– « Bonjour, jeune ami Shuhang, c’est Zhou Li. » À l’autre bout du fil, son interlocuteur sembla terriblement sérieux et extrêmement impuissant.

Song Shuhang était perplexe. Comment pouvait-il sentir avec une telle précision ses émotions ?

Il demanda immédiatement : « Est-ce qu’il s’est passé quelque chose ? Vous avez l’air épuisé. »

– « Doudou s’est enfui. » Effectivement, il était complètement vidé. « Et pas seul. Il est parti en enlevant le petit moine. Pardonnez-moi, jeune ami Shuhang. Même si j’étais à côté d’eux, je n’ai rien pu faire ! »

– « … » Song Shuhang sentit une veine battant sur son front menacer d’éclater.

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