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Chapitre 251 – Absolument interdit !
Chapitre 250 – Pourquoi tu te penches comme ça ? Menu Chapitre 252 – Une lame assez affûtée

– « Haha ! J’ai dû faire un faux mouvement, tout ira bien après un certain temps. » Song Shuhang laissa échapper un rire creux. Une fois correctement installé, il assura sa prise sur un oignon. Puis il plaça une pierre dans sa poche.

Zhao Yaya démarra, direction “chez Song Shuhang”. Elle lui demanda : « Au fait, tu disais que quelqu’un allait t’aider pour le tracteur. Tu as pu t’en occuper ? »

Elle n’était pas descendue de sa voiture. Par conséquent, elle n’avait pas vu les restes métalliques ni les quelques flammes sur le site, et encore moins les traces d’explosion.

– « Hahaha ! Le véhicule a eu un petit problème après ton départ. Mais c’est bon, je vais l’appeler plus tard. »

– « Oh. Shuhang, tu as récemment beaucoup changé, hein ? Quand je t’ai rencontré en juin, tu n’étais pas aussi grand. Et puis, dis-moi, où as-tu appris à bouger comme ça ? »

Elle avait trop de questions à lui poser. Non seulement il avait porté son père et les deux autres jusqu’à la route de montagne alors que la pente avait été plus que raide, mais en plus son tracteur avait été en mesure de dépasser sa voiture de sport…

Si elle devait établir une liste de priorité, elle était plus curieuse au sujet de sa force. D’où venait-elle ?

– « Hehe ! Quand on s’est vu en juin, je m’entraînais encore et encore ? Je suis devenu beaucoup plus costaud en un rien de temps. Sinon, un bon ami à moi m’a envoyé quelque chose de très efficace. Une fois rentrés, je te laisserai essayer. »

Ce à quoi il faisait référence était le “Thé Vert Spirituel”. Puisqu’elle était là, il voulait en profiter pour lui donner une portion.

– « Quelque chose de très efficace ? » Elle eut un sourire en coin. « Alors ? C’est quoi ce tracteur ? »

Song Shuhang savait que tous l’interrogeraient à ce sujet. Par conséquent, il avait déjà préparé sa réponse ! « Ce tracteur a subi des modifications ! Je dois rester silencieux sur les détails, car c’est le travail de mon ami. Sans son accord, je préfère ne rien dire. »

Elle hocha la tête, exprimant sa compréhension. « Oh ! Tatie m’a dit que tu es rentré avec un ami qui dormait. C’est lui ? »

– « Oui. » Quand il pensa au Vénérable Blanc en pleine méditation, il se sentit dépité.

Il avait très peur de découvrir qu’il avait fait accidentellement apparaître son monde illusoire. S’il tombait sur un désert en rentrant, que faire ? … Il espérait juste que ses proches n’étaient pas si malchanceux.

De plus, il devait rapidement se mettre à la recherche de Doudou et du petit moine.

Il pourrait ensuite demander au pékinois de préparer des contre-mesures pour ne pas laisser apparaître la mer de sable du Vénérable.

Arrivé à ce stade de sa réflexion, et puisqu’il était arrivé à Wenzhou, il décida de l’appeler et dégaina son téléphone.

Cette fois-ci, quelqu’un décrocha très rapidement !

– « Allô, jeune ami Shuhang ? »

– « Eh ? Frère Zhou Li, c’est vous ? Où est Doudou ? »

– « Il vient de partir avec le petit moine Guoguo pour son rendez-vous. Les hémorroïdes. Il m’a passé son téléphone le temps de s’en occuper. Là, je les attends à l’extérieur de l’hôpital. » Il soupira longuement.

Dans l’après-midi, alors qu’il venait de terminer de régler l’histoire de l’accident, Doudou l’avait convoqué.

Il avait cru qu’il s’agissait de quelque chose d’important, mais non. L’enfant était trop jeune, il fallait qu’un adulte l’accompagnât à l’hôpital.

Zhou Li ne savait vraiment pas s’il devait en rire ou pleurer sur son sort.

– « Frère Zhou Li, merci beaucoup pour vos efforts, » le consola Song Shuhang.

– « C’est gentil. » Nouveau soupir. « Doudou m’a dit que les hémorroïdes nécessiteront un troisième passage demain. Je les accompagnerai chez vous par la suite, dans l’après-midi. Cela vous convient-il ? »

– « Je compte sur vous ! Merci encore. »

Tant mieux. Il n’aurait pas à se déplacer pour retrouver les deux lascars.

– « Je ne fais que mon travail. » Zhou Li baissa alors la voix : « En fait, vous ai-je dit que je voulais moi aussi des vacances ? Juste une semaine suffira… »

– « Pas de problème. Quand je vous m’aurez renvoyé Doudou, je ferai en sorte qu’il se tienne tranquille pendant une semaine. »

– « Merci ! Shuhang, merci beaucoup ! »

– « Avec plaisir. Au fait… Il y a eu un petit souci de mon côté. Le véhicule de Song Bai a fait une sortie de route et est tombé un peu plus bas dans la pente. Je ne peux compter que sur vous pour vous en occuper… » dit Song Shuhang, embarrassé. Il ne faisait que lui donner encore et encore davantage de travail.

– « Song Bai ? Oh ! L’Aîné Blanc. Pas de problème, quand je passerai, nous nous en occuperons. »

– « Super. À bientôt, Frère Zhou Li. » Il poussa un discret soupir de soulagement.

Une fois son appel terminé, Zhao Yaya lui demanda : « Est-ce que c’était l’ami dont tu parlais ? Il va régler le problème du tracteur, alors ? »

– « Ouais, c’est bien lui. Il va sans doute même nettoyer les lieux. » Son cousin sourit, embarrassé.

❄️❄️❄️

Pendant ce temps.

Centre de Formation de l’Aviation Civile de Jiangshui.

Petit Li se réveilla enfin. Il sauta brusquement hors de son lit, tous ses muscles tendus à l’extrême !

Hein ? Pourquoi ai- je sursauté comme ça ? Il nageait dans la confusion.

Il vit alors un groupe de personnes assises à côté de son lit. Caselli et cinq ou six autres collègues.

Tous s’étaient serrés dans le petit salon, le regardant avec un grand intérêt.

Caselli lui offrit un sourire des plus lumineux. « Monsieur Li, vous vous êtes enfin réveillé. »

L’instructeur Li se sentit rougir. La jeune occidentale était une sacrée beauté, la déesse du Centre. Elle faisait fantasmer de nombreux employés, et il n’était pas une exception.

– « Dis quelque chose, Petit Li ! Que s’est-il passé pendant les deux jours que tu as passés avec ces deux riches ? C’était marrant ? » demanda l’un de ses collègues.

– « Ces deux riches ? » Perplexe, il fronça les sourcils et essaya de se souvenir de quelque chose. Étrangement, sa mémoire était morcelée.

La dernière chose dont il se rappelait était la montée dans l’hélicoptère avec deux hommes. Puis, plus rien.

En voyant leurs yeux brillants, il sentit que quelque chose n’allait pas : « Il s’est passé un truc ? »

– « Tu es sérieux ? » Troublé, quelqu’un lui montra une vidéo qu’il avait préparée pour l’occasion. « Ça parle d’un vaisseau spatial américain qui est revenu de l’espace. »

Il regarda. Il y avait deux astronautes en combinaison spatiale, assis sur une chaise.

Bien que faibles, les acclamations du public tonnaient. « Aguero, Aguero ! »

L’un des astronautes enlevait son casque, révélant sa grosse tête chauve, puis faisait un geste de la main pour saluer la foule.

Après, le public continuait ses applaudissements : « Anthony, Anthony ! »

Anthony ? Ce nom me dit quelque chose. Li Xihua fronça davantage les sourcils. Pourquoi son corps lui faisait-il mal en pensant à ce nom ? Comme s’il avait subi une torture des plus cruelles ?

Le deuxième astronaute n’enlevait pas son casque.

Au bout d’un moment, le personnel le lui retira.

Alors, il vit le visage d’un asiatique stupéfait !

L’instructeur Li était sous le choc. Mais c’est ma tête, putain !

– « C’est moi, n’est-ce pas ? »

– « C’est nous qui devrions te poser cette question, pas l’inverse ! »

– « Pourquoi n’en ai-je aucun souvenir ? » Il se frotta les tempes de toutes ses forces.

Les autres échangèrent un regard.

Il n’avait pas l’air de faire semblant… Avait-il vraiment perdu la mémoire ?

– « Bon sang ! Anthony, Anthony, Anthony… Merde, mais c’est qui ? » Il serra les dents. Puis il lâcha la suite, inconsciemment : « Et qui est Petit Blanc ? »

– « Petit Blanc ? Est-ce que c’est Song Bai, l’un de ces deux riches ? Je crois que l’autre l’a appelé Blanc… »

– « Song Bai ? » Il se creusa la tête. « Anthony, Anthony… Petit Blanc, Petit Blanc… Song Bai, Song Bai… ? » Dans son esprit, des morceaux de souvenirs étaient déterrés, mais ceux-ci étaient bien trop fragmentés pour en tirer quelque chose. Il ne parvenait pas à les assembler logiquement.

Un c heval blanc… et… Oui , il y avait aussi un désert… un jeune homme en vert… et une technique de poing ? Et je me suis fait tabasser !

Soudain, des larmes jaillirent.

– « Eh ? Je pleure ? » Déconcerté, il les essuya. Mais elles ne se tarissaient pas. Elles coulaient continuellement et il n’arrêtait pas, même s’il voulait se reprendre. « Bizarre. Pourquoi ai-je autant envie de crier ? »

Quant à Caselli et aux autres, ils le fixaient d’un air absent. Ils avaient le sentiment qu’il avait dû vivre une expérience plutôt douloureuse.

❄️❄️❄️

La voiture de sport s’arrêta à l’entrée de la maison de Song Shuhang.

– « Vas-y, dépêche ! Tonton attend que tu ailles à sa rescousse. » Zhao Yaya éclata alors de rire.

– « J’y vais ! » Il secoua le petit oignon dans sa main et le menaça à voix basse : « Et vous, souvenez-vous-en. Nous sommes chez moi, alors pas de vagues : personne ne doit savoir que vous êtes un monstre. Sinon… je devrais sévir ! »

Le petit esprit d’oignon frémit, effrayé…

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