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Super Gène | Super God Gene | 超级神基因
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Chapitre 769 – Tu es à moi
Chapitre 768 – La mystérieuse porte de métal Menu à suivre...

L’homme dit d’un ton froid en regardant le rhinocéros : « Veux-tu me suivre sur le chemin de l’évolution ? »

« Rugissement » répondit le rhinocéros à l’homme. Puis, il se mit à voler vers la porte métallique. Planant à côté de l’homme, il se retourna pour regarder le désert, comme si l’endroit allait lui manquer.

L’homme sourit, puis il fit passer le rhinocéros par la porte. Il regarda négligemment autour de lui et sembla surpris. Alors qu’il s’apprêtait à faire passer la porte au rhinocéros, il scruta les créatures au sol.

Han Sen sen sentit soudainement que les yeux de l’homme le visaient, et il n’y avait aucune chance qu’il se trompe.

« Oh, non ! Pourquoi devrais-je prendre la peine de le regarder ? Cet homme amène qui il veut. Même les super créatures n’oseraient pas le regarder. On dirait que tout ce que je fais, c’est chercher les ennuis ! » Han Sen avait envie de se gifler.

Tout à l’heure, les choses semblaient se dérouler sans problème pour lui. Mais Han Sen réalisa qu’il avait été stupide de regarder dans la direction de l’homme, et maintenant, l’homme mystérieux l’avait dans sa ligne de mire.

Han Sen se sentait incroyablement nerveux. S’il avait pu s’enfuir, il l’aurait fait sans hésiter. Mais il n’était pas le seul à être cloué au sol, la fée, le phénix de flamme noire et le kirin vert l’étaient également. Les chances d’Han Sen de s’échapper étaient plus minces que jamais.

Après avoir vu Han Sen étendu, l’homme le regarda avec intérêt. Il le pointa du doigt.

Un rayon laser noir tomba sur la tête de Han Sen.

« Oh, non ! Qu’est-ce que c’est ça ? Vais-je mourir ? » Han Sen utilisa toutes ses forces pour essayer d’esquiver, mais il ne put bouger d’un pouce.

Boum !

Le faisceau de lumière frappa la tête de Han Sen, et son cœur se glaça pendant une seconde.

« C’est le karma. J’ai frappé les gens à la tête toute ma vie. Maintenant, c’est à mon tour d’être frappé à la tête. Peut-être que je le mérite, mais si je n’ai pas de tête, est-ce que quelqu’un pourra me reconnaître quand on découvrira mon corps ? En supposant que mon corps reste intact, avec toutes ces créatures autour de moi, je serai vite transformé en chair à pâté. Je doute que même mes os soient conservés. Ne pourrais-je même pas dire au revoir à ma famille ? » Han Sen se sentait si triste dans son cœur.

Mais c’était comme si rien ne s’était passé. Le rayon de lumière ne lui écrasa pas le crâne, comme prévu. Il ne ressentit aucune douleur. C’était comme si le faisceau de lumière n’était qu’une illusion.

« Tu es à moi. » L’homme leva les lèvres en parlant, puis se retourna et s’éloigna au-delà de la porte métallique.

Le rhinocéros sacré le suivit à l’intérieur, puis la porte se referma. Aussi lentement qu’elle était apparue, elle disparut dans le néant.

Han Sen put enfin bouger, et la première chose qu’il fit fut de se toucher la tête. À son grand soulagement, sa tête était ferme, chaude et entière. Il était très content, et pensa : « Ma tête est toujours là. Je ne suis pas mort ! Je ne suis pas mort. »

Mais une seconde plus tard, il n’eut pas le temps de se réjouir. Il invoqua son chevalier d’or et, accompagné de la fée, se dirigea vers le cratère de sable.

Han Sen ne fut pas le seul à s’y rendre. Toutes les créatures, y compris le phénix de flamme noire et le kirin vert, se précipitèrent. Le rhinocéros avait laissé des os et de la chair derrière lui. C’était la viande d’une super créature de haut niveau, et c’était clairement le but recherché par tout le monde.

Le phénix de flamme noire et le kirin vert s’élancèrent, lançant flammes et tonnerre sur leur passage. Toute créature qui tentait de les voler était tuée sans pitié.

Han Sen avait cependant le petit ange et la fée pour le protéger. Il bondit rapidement vers le monticule de chair. Il invoqua son Glas et le lança dans le sang.

Une idée vint alors à l’esprit de Han Sen, et il y jeta également la gourde. Bien qu’il ne sache pas si cela aurait un effet ou non, il s’agissait d’une occasion unique, et il ne voulait pas la laisser passer.

Le phénix de flamme noire et le kirin vert sautèrent vers la viande et commencèrent à la dévorer du mieux qu’ils pouvaient. Même s’ils mangeaient comme des fous, ils parvenaient à incinérer tout ce qui s’approchait d’eux.

La fée prit également le temps de manger un morceau. Sa petite bouche travaillait incroyablement vite pour engloutir de bons morceaux de viande.

Le petit ange eut lui aussi sa part. Han Sen convoqua alors Meowth et le laissa se régaler.

Han Sen regrettait actuellement sa décision de laisser le renard argenté derrière lui. Si ce petit trou noir argenté était ici, il serait en extase à la perspective de toute cette nourriture.

Le rhinocéros était incroyablement grand. Même si ces deux monstres massacraient des créatures, d’autres pouvaient se joindre à eux et manger de loin.

Han Sen s’allongea sur le sol pour boire une gorgée de sang, mais après l’avoir goûté, il le recracha rapidement. Le sang était comme de l’acide, et il avait presque fait fondre sa bouche et sa langue.

« Qu’est-ce que c’est ? Seules les créatures peuvent-elles consommer ça ? » Han Sen était découragé, voyant toutes les autres créatures manger jovialement à leur guise.

Le petit ange n’avait pas de problème non plus. Seul Han Sen ne pouvait pas participer à la consommation des restes du rhinocéros. Han Sen ne voulait cependant pas abandonner si facilement. Au lieu d’essayer de boire le sang, il attrapa un morceau de viande et mordit dedans. Elle avait un goût de citron vert et lui brûlait férocement la bouche. Rapidement, il recracha le tout.

« Bon sang de bonsoir ! Qu’est-ce qui se passe ? » Le cœur de Han Sen était incroyablement triste, et son incapacité à manger la viande le rendait fou.

Soudain, Han Sen se souvint qu’une larme était tombée du rhinocéros. La larme semblait s’être solidifiée, et il se demanda si elle était toujours là.

D’après les souvenirs de Han Sen, elle était tombée dans la mare de sang. Il se faufila jusqu’à l’endroit où il l’avait vue tomber et fouilla pour la retrouver. Si elle n’avait pas fondu, elle devait être encore là.

Au bout d’un moment, ses mains touchèrent quelque chose de circulaire. Dans un élan de joie et d’excitation, il le souleva.

C’était bien la larme du rhinocéros. Elle était transparente et avait la taille d’un poing. Bien qu’elle soit sortie du sang, elle n’en était pas tachée. C’était étrange, étant donné que la main de Han Sen était toute boueuse du sang dans lequel elle avait été submergée. C’était une chance qu’il porte une armure d’âme de bête. S’il ne l’avait pas porté, il imaginait que sa peau aurait déjà fondu.

Han Sen tint la larme et sentit une grande quantité d’énergie circuler à l’intérieur. L’objet lui-même semblait incroyablement saint. Le simple fait de le tenir apaisait son être, comme si le fait d’être à proximité le purifiait.

« Ça, c’est pas mal ! » Han Sen était fou de joie, et il empocha soigneusement la larme.

Han Sen sortit un sac et y plaça de la viande, afin de pouvoir l’offrir au renard argenté à son retour. Il ne pouvait pas laisser le renard argenté – la créature qui aimait tant manger – se passer de ce genre de nourriture.

Bien sûr, Han Sen souhaitait également voir le renard argenté grandir un peu plus vite. Un renard argenté adulte devait être incroyablement puissant, et s’il ne grandissait jamais, son investissement dans la petite créature aurait été un gâchis.



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