Sous le Chêne | Under the Oak Tree
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Max pressa son visage contre son épaule et attendit que la sensation intense passe. Ses hanches frémissaient, quelque chose de chaud coulait entre ses jambes…

“Shh, bon travail. Tu t’es très bien débrouillée.” Il lui a murmuré, comme s’il apaisait un enfant.

Elle se sentait molle sur les draps du lit, incapable de s’extraire des nuages qui semblaient flottait dans sa tête. Il jeta rapidement ses vêtements par dessus sa tête et se leva du lit. Elle était certaine que ce n’était pas la première fois qu’elle voyait cela, mais au moment où elle vit son corps briller dans l’obscurité de façon si sensible, un mince frisson se détacha de sa poitrine.

La beauté de l’homme devant elle a pénétré son cœur.

“Tiens-moi.”

Il est rapidement retourné sur le lit et s’est prosterné sur son corps. Quelque chose a commencé à effleurer lentement ses cuisses et à se rapprocher de sa fleur. Elle serra ses bras autour de son cou, son corps chaud et battant pesant lourdement sur le sien. Un sentiment si étrange régnait.

Est-ce vraiment la même chose qu’avant ? pensa-t-elle. La longueur chaude qui pénétrait en elle était toujours aussi inconfortable que la première fois, mais elle n’était pas aussi douloureuse que dans son souvenir.

“Juste un peu plus…” marmonna-t-il en lui caressant le dos.

La lumière vacillante au chevet du lit jetait une ombre sur son visage, où des perles de sueur sur le front de l’homme coulaient sur ses joues comme des perles et sur la pointe de son menton. Les perles scintillaient sur sa peau lisse et dorée de façon éthérée. Elle a involontairement tendu le bras et l’a touché, et les yeux de l’homme ont tremblé.

“Putain !” ( Alala, elle a activé le super méga Riri )

Il s’enfonça lourdement dans un mouvement fluide, le claquement audible de son corps contre le sien prenant Max par surprise. Essoufflée par la pression soudaine, elle se tordit et se serra autour de lui.

Un gémissement douloureux sortit de sa bouche. “S’il te plaît… ne m’excite pas plus.”

“Je, je suis désolée…” Elle leva vers lui des yeux au point de se déchirer.

Elle se sentait comme une pâte d’argile que l’on moule pour lui, que l’on adapte à sa forme alors qu’elle essayait de se tortiller. Était-il seulement acceptable de sentir quelqu’un si proche ? Leur respiration rauque, les battements lourds de leur coeur, les températures brûlantes de leur peau humide… elle ne pouvait pas dire ce qui était à lui et ce qui était à elle.

La seule chose que Max a ressentie à ce moment-là, c’est que son corps et le sien étaient en train de se fondre comme un seul.

“Je me sens si bien…” gémit Riftan en se rapprochant, en s’enfonçant plus profondément dans ses parois humides, les gouttes de sueur sur ses épaules dégoulinant sur sa poitrine et sur son corps.

Max a levé des yeux tremblants vers son visage effrayant et durci. Au premier regard, elle a vu les plis de ses sourcils comme s’il avait mal et elle ne pouvait que penser : Est-ce vraiment bon ?

“Cela te fait du bien ?”

Lorsque la question est sortie de ses lèvres, la bouche de l’homme s’est tordue en rires.

“Pourquoi pense-tu que je m’accroche à une femme en faisant ça jusqu’à ce que je m’évanouisse aujourd’hui ?”

Il a attrapé sa hanche, étirant ses jambes pour un meilleur accès et s’est avancé avec force. Alors que la sensation d’une masse de chair chaude et palpitante se glissait à nouveau à l’intérieur, elle a émis un son douloureux, la bouche grande ouverte. Chaque fois que son corps sortait du sien, elle respirait, et quand il poussait à nouveau, elle essayait de rester calme.

Riftan murmura d’une voix tendue, expirant un court souffle.

“Je suis comme un fou… Je ne voulais pas faire ça. Je voulais juste te laisser te reposer. Mais toi en sous-vêtements… oh !” ( Ben voyons, c’est sa faute en plus )

Son ventre musclé pesait lourdement sur elle, tandis que leurs corps trouvaient un contact intime l’un avec l’autre. Chair chaude contre chair chaude. Les ongles de Max avaient depuis longtemps trouvé le chemin de son dos pour gratter sa peau dans un effort inconscient pour étouffer le plaisir intérieur.

“Moi aussi, j’essaie de supporter… J’ai fait…” Ce qu’il disait ne passait plus dans ses oreilles.

Son corps était le capitaine de ses sentiments. Ses gestes, comme les vagues rugueuses, s’effilochaient, devenaient plus durs, la poussaient sur le côté.

Il lui était devenu impossible de savoir quand elle devait se détendre et reprendre des forces. Son corps s’est raidi à cause de son incapacité à suivre ses mouvements. Il a pris de la vitesse, la conduisant au point de non-retour, et a fait trembler les jambes de Max qui se trouvait en dessous.

“Maxi…” il a ronronné, ses yeux étaient à peine ouverts qu’elle le regardait.

Alors qu’elle sentait sa grande main se poser sur sa joue, elle pensa : Pourquoi m’appelles-tu comme ça ? Son cœur a fait un bond en avant en voyant la solennité de son visage.

Pendant un instant, elle s’est sentie comme si elle était sa femme depuis des années. L’homme enroula ses mains autour de son visage et l’embrassa frénétiquement tandis que leurs corps se moulaient l’un dans l’autre. Elle a senti son énorme corps trembler comme un étalon, se raidir. Un homme qui n’en pouvait plus, mais qui persistait à en vouloir toujours plus.

Alors qu’il atteignait son apogée, sa prise sur ses jambes devenant plus forte avec ses poussées voraces, une chaleur délicieuse remplit soudainement sa région inférieure.

Des picotements parcoururent tout son corps, une sensation qu’elle avait éprouvée pour la deuxième fois mais qui ne lui était toujours pas familière. Noyée dans un état d’extase, ses poings s’affaiblirent involontairement, se transformant en une étreinte sur son dos moite alors qu’il se laissait tomber sur elle avec son souffle rauque. Elle pouvait sentir son cœur battre aussi vite que le sien contre sa peau.

“J’ai essayé de ne pas être brutal cette fois…”

Il haletait et marmonnait, mais elle pouvait à peine soulever ses paupières pour le regarder. Ses yeux noirs brillaient comme une bête curieuse dans l’obscurité tandis qu’il déposait de petits baisers sur ses épaules et son cou. Il s’attardait en elle, ne voulant pas séparer leurs corps qui ne faisaient plus qu’un.



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