Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 42 : Finir à la station de police
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Qiao Nian ne se soucie pas des voyous. Elle montra les légumes qui avaient été piétinés et demanda : « C’est vous qui avez fait ça ? ».

L’un des voyous resta un instant stupéfait, puis se moqua d’elle. « Et si c’était nous qui avions fait ça ? »

« Ce n’est pas grand-chose, mais vous devez compenser ! »

Elle était directe.

Le voyou fut amusé par ses paroles et la regarda avec envie. « Bien sûr. Dis-moi ton école et ta classe. J’irai à ton école et je te paierai la prochaine fois. »

La sauvagerie dans les yeux de Qiao Nian s’enflamma. Elle rit et dit, « Je ne suis pas libre. Pourquoi pas aujourd’hui ? »

« Hahaha, aujourd’hui ? Bien sûr. Il y a un hôtel à proximité. Tu dors avec moi et je te paierai la somme que tu veux. Je peux même payer de ma vie ! »

« Nian Nian ! »

Tante Chen devint pâle. Elle tira sur le bras de Qiao Nian et secoua la tête de peur qu’elle ne révèle son école.

« Ce n’est pas grave. Je n’ai pas besoin de compensation. Ne t’inquiète pas, tante va bien. »

Même si son fils n’en valait pas la peine, elle ne pouvait pas impliquer Qiao Nian, sinon elle ne se sentirait pas à l’aise toute sa vie !

Qiao Nian l’emmena dans un endroit sûr et lui dit : « Tante Chen, reste ici. Je vais t’aider à récupérer ton argent ! »

« Je n’en veux pas. Nian Nian, ne pars pas. »

Le voyou vit ce qu’ils faisaient et s’approcha malencontreusement, tendant la main pour attraper l’épaule de Qiao Nian.

Qiao Nian plissa les yeux et s’apprêta à esquiver.

Une grande main saisit alors la main du gangster et la tordit, le faisant hurler de douleur.

« Tu vas bien ? » Ye Wangchuan demanda en s’approchant. Ses yeux injectés de sang étaient froids.

Qiao Nian avait presque oublié qu’il était encore là. Elle acquiesça.

À ce moment, le voyou devint soudainement violent et s’empara d’un tabouret au sol. Alors qu’il s’apprêtait à les frapper, il dit : « Espèce de salope. Comment oses-tu être aussi impudique, tu dois avoir envie de mourir ! »

Ye Wangchuan la tira derrière lui et parla à voix basse.

« Les femmes ne doivent pas se battre. Va te mettre sur le côté. »

Au moment où le voyou se précipitait vers eux avec le tabouret, le grand et bel homme leva la jambe. D’un mouvement sec, le voyou fut projeté dans les airs. Le tabouret en plastique s’était écrasé sur le sol en morceaux. Le combat ressemblait plus à de la violence…

Qiao Nian haussa les sourcils et l’observa.

Tsk. Je ne m’attendais pas à ce qu’il sache se battre étant donné son apparence mince et pâle !

Il y avait beaucoup de gens qui mangeaient dans le magasin, et beaucoup de gens commençaient à regarder de côté.

Il n’avait pas fallu longtemps pour que le carrefour soit extrêmement fréquenté.

Quelqu’un avait déjà appelé la police parce que les voyous causait des problèmes.

Les policiers s’étaient précipités, mais le combat était déjà terminé.

Sept à huit voyous étaient étendus sur le sol. Un homme fort d’une vingtaine d’années se tenait à côté d’une jeune femme qui semblait être l’autre partie impliquée.

Ils n’avaient pas compris la situation et avaient donc emmené les deux parties au poste de police, conformément à la loi.

Le fils de tante Chen avait été gravement blessé et envoyé à l’hôpital.

Avant que Qiao Nian ne monte dans la voiture, elle lui avait donné l’argent qu’elle avait reçu du voyou et l’avait consolée. « Je rendrai visite à l’oncle Chen à l’hôpital dans quelques jours et je t’apporterai quelque chose. C’est de la soupe. Donne-la à l’oncle Chen, c’est bon pour son rétablissement. »

La dame d’âge moyen hocha la tête sans discontinuer, les larmes aux yeux. Elle lui serra la main et s’excusa : « Nian Nian. Je suis désolée. »

Le cœur de Qiao Nian se serra et elle lui tapota la main. « Ce n’est rien. Tante Chen, ne t’inquiète pas. »

L’infirmière de l’ambulance l’encouragea. Elle leva les yeux pour regarder le jeune homme et lui dit sincèrement : « Monsieur, merci pour aujourd’hui. »

Sans Nian Nian et son ami, elle ne pouvait imaginer comment Chen Yuan aurait fini aujourd’hui….

Cependant, Qiao Nian avait dû se rendre au poste de police à cause d’elle. Elle était extrêmement désolée.

Alors que la porte de l’ambulance se refermait, elle sortit son téléphone portable et composa un numéro qu’elle n’avait pas appelé depuis longtemps. « Bonjour. Président Qiao…. »



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