Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 26 : Devoir une énorme faveur à la mère de Qiao Nian
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Une fois la blessure de Qiao Nian nettoyée, le groupe quitta Nanyuan.

La voiture de la famille Jiang était garée devant l’hôpital.

Le vieux maître Jiang n’était pas en bonne santé. Ayant couru d’un endroit à l’autre toute la journée, il avait l’air extrêmement fatigué. Le père Jiang poussa le fauteuil roulant et dit à Qiao Nian : « Nian Nian, je vais d’abord envoyer ton grand-père se reposer à la maison. Tu pourras aller à l’école toute seule demain ? »

Qiao Nian acquiesça. « Pas de problème. »

Jiang Li prit l’initiative et dit : « Ne t’inquiète pas, premier oncle. Je l’enverrai à l’école plus tard ! »

Jiang Zongnan lui donna un coup de pied taquin : « Tu dois bien t’occuper de ta petite cousine, tu entends ? Ne sois pas aussi maladroit que d’habitude. Si elle perd ne serait-ce qu’une mèche de cheveux, c’est à moi que tu auras affaire ! »

Jiang Li ne s’embarrassa pas de lui. Sa boucle d’oreille scintillante, il dit nonchalamment : « Je comprends. »

Jiang Zongnan sortit une carte bancaire de son portefeuille et la lui tendit. Ses yeux s’adoucirent, il regarda Qiao Nian et dit : « Prends ça avec toi. Plus tard, tu lui achèteras des vêtements au centre commercial. »

Jiang Li ne l’accepta pas. Il leva légèrement les yeux et dit un peu brutalement : « Je n’en veux pas, garde-le pour toi ! Je peux me permettre d’acheter de nouveaux vêtements à Nian Nian, je n’ai pas besoin de ton argent ! »

Jiang Zongnan marcha vers Qiao Nian à la place et fourra la carte dans sa main, l’air extrêmement désolé. « Nian Nian, le second oncle ne t’a pas apporté de cadeau de bienvenue. Garde ceci avec toi et prends ce que tu veux avec. S’il n’y en a pas assez, fais-le savoir à ton Second Frère, je mettrai plus d’argent. »

Qiao Nian manquait de tout, sauf d’argent !

Elle regarda la carte bancaire que lui tendait Jiang Zongnan. C’était une carte CitiBank – elle avait aussi une carte noire de cette banque, sur laquelle Wei Lou et les autres déposaient de l’argent. La carte que Jiang Zongnan lui avait tendue n’était pas une carte noire, mais une carte d’or. Elle se souvint que le directeur de la banque lui avait dit que le montant minimum pour une carte d’or était de cinq millions de yuans. Il y avait beaucoup d’argent sur cette carte…

« Garde-la sur toi ! Ta deuxième tante et ta sœur ne sont même pas là quand elles devraient l’être. Si tu ne la prends pas, je me sentirai mal. »

Le vieux maître Jiang se sentit réconforté lorsqu’il vit qu’elle ne l’acceptait pas immédiatement. Il dit tendrement, « Puisque ton Second Oncle te le donne, prends-la. Il aurait dû te donner un énorme cadeau de bienvenue en premier lieu. Cela compte à peine. »

Jiang Zongnan sourit avec classe, dégageant l’aura d’un homme prospère. « Nian Nian, garde d’abord ceci avec toi. Considère que le deuxième oncle te donne un peu d’argent de poche. Ton grand-père a raison, ce cadeau de bienvenue est trop mesquin ! »

Une carte CitiBank Or de cinq millions de yuans, c’était trop mesquin.

Qiao Nian voulait vraiment savoir qui étaient ces parents maintenant !

Elle ne pouvait pas refuser davantage. « Merci, deuxième oncle. »

Jiang Li avait l’air aigri. « Tsk, je veux entendre Nian Nian m’appeler Deuxième Frère aussi. »

Son père était si gentil avec Qiao Nian qu’il en devenait un peu envieux en tant que fils biologique.

Mais il savait qu’il n’y avait rien à faire. Son premier oncle n’avait qu’une fille, et elle avait disparu depuis des années. De plus, son père avait mentionné que la famille Jiang devait une énorme faveur à la mère de Nian Nian. C’est à sa première tante qu’ils devaient leur succès actuel.

Bien qu’il n’ait aucune idée de ce qui s’était passé dans le passé, étant donné l’attitude actuelle des adultes, il devait simplement bien la traiter !

Jiang Li posa sa main sur l’épaule de Qiao Nian et dit au vieux maître Jiang et aux autres anciens : « Grand-père, papa, vous pouvez partir en premier. Je prendrai bien soin de Nian Nian. Je vous appellerai s’il y a quoi que ce soit. »



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