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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1777 : Il va bien, sa vie n’est pas en danger
Chapitre 1776 : Trop arrogants ! Menu Chapitre 1778 : Comment osent-ils toucher le vieux maître Jiang ?

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

L’atmosphère dans le couloir à l’extérieur de la salle d’urgence de l’hôpital était instantanément devenue étrange dès l’arrivée de Qiao Nian.

Au moins Tang Wanru et les autres s’étaient sentis mal à l’aise.

Cependant, Jiang Li et Xu Jishen ne ressentaient pas la même chose. Xu Jishen avait poussé le fauteuil roulant de Jiang Li vers elle.

Son expression était devenue plus respectueuse dès qu’il avait vu la jeune fille. Contrairement à la façon dont il avait traité Jiang Yao, il s’était comporté comme un laquais devant Qiao Nian.

« Mademoiselle Qiao, j’ai demandé à un ami de vérifier. La surveillance de la route près de l’usine abandonnée a été détruite. Nous ne pouvons rien trouver sur les images de surveillance. »

Les sourcils de Xu Jishen se détendirent et il dit : « Mais je leur ai dit de continuer à enquêter. Tant qu’ils peuvent trouver l’identité de l’autre partie, il est certain qu’ils la trouveront dès que possible. »

Qiao Nian portait un pull blanc et une casquette. On ne pouvait voir que son menton blanc comme neige. C’était tout à fait exquis.

Elle s’était contentée de hocher la tête.

Xu Jishen était un peu gêné. Il s’était touché le lobe de l’oreille et s’était excusé. « Le deuxième oncle Jiang était déjà à terre quand je suis arrivé. Si j’étais arrivé plus tôt, peut-être… »

« Puisque l’autre partie a osé le faire, il ne te laissera pas l’attraper ». Qiao Nian l’avait interrompu calmement.

Xu Jishen était stupéfait. À bien y réfléchir, c’était logique.

Il n’avait rien dit d’autre.

Qiao Nian ne s’en souciait plus. Elle se tourna vers Jiang Li et lui demanda : « Frère, comment va-t-il ? »

Cette fois, Jiang Li avait reçu l’appel de Jiang Yao et s’était forcé à sortir du lit. Il n’avait pas l’air bien, mais il n’allait pas si mal non plus. Il poussa un soupir de soulagement et dit : « Mon père va bien. C’est exactement ce que le jeune maître Xu a dit. Trois de ses côtes étaient déjà cassées lorsque la police l’a trouvé. Il n’y a rien d’autre. On dirait que l’autre partie voulait seulement donner une leçon à mon père et ne voulait pas le tuer. »

Les commissures des lèvres de Qiao Nian avaient tressailli, mais le sourire n’avait pas atteint ses yeux.

Quel genre de personne audacieuse briserait trois côtes d’une personne en guise de leçon ? Si elle voulait leur donner une leçon plus tard, pourrait-elle aussi leur briser les membres ?

La porte du service des urgences s’était ouverte pendant qu’ils parlaient.

Le personnel médical en blouse blanche était sorti.

Tang Wanru fut la première à se précipiter. Elle arrêta un médecin et lui demanda : « Docteur, mon mari… ? »

Le médecin masculin en tête posa son stylo et lui jeta un coup d’œil avant de regarder le grand groupe de personnes dans le couloir à l’extérieur. Il l’avait réconfortée en adoptant une bonne attitude. « Le directeur général Jiang va bien. Il a juste besoin de récupérer. »

Ce n’était pas ce qui intéressait Tang Wanru. Elle lui avait attrapé le bras et avait demandé avec excitation : « Quand va-t-il se réveiller ? ».

Le médecin était resté stupéfait pendant une seconde. Lorsqu’il reprit ses esprits, il retira sa main en douceur et garda une bonne distance avec elle avant de dire : « Le PDG Jiang a été anesthésié. Dans des circonstances normales, il peut se réveiller dans les 48 heures. »

« 48 heures… » Tang Wanru avait serré les dents. « Non, c’est trop long. Ma fille n’a pas encore été retrouvée. Avez-vous un moyen… »

Ce qu’elle voulait dire, c’est qu’elle voulait utiliser des forces extérieures pour le réveiller de force.

Cependant, au milieu de sa phrase, Jiang Yao l’avait tirée par les cheveux et lui avait dit sévèrement : « Maman, de quoi tu parles ! »

Tang Wanru avait soudain repris ses esprits et s’était rendu compte que tout le monde dans le couloir la regardait.

Sans parler des proches de la famille Jiang, Qin Si, Zhang Yang et les autres la regardaient également avec surprise et moquerie.

Le sang de Tang Wanru s’était soudainement refroidi. Reprenant ses esprits, son expression devint laide alors qu’elle se tenait sur le côté, hébétée.



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