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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1584 : Aller régler ses comptes avec Jiang Xianrou
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Jiang Li pouvait presque voir l’impitoyabilité dans les yeux de la jeune fille à travers le téléphone. Il savait que Jiang Xianrou l’avait encore mise en colère.

Il se recroquevilla immédiatement et dit vaguement : « Nian Nian, ne te soucie pas de ce qu’elle dit. Je ne t’appelle pas parce qu’elle l’a dit. Ne provoque pas la famille Qi à cause de moi. Il ne faut pas jouer avec eux. Cette Qi Yan est inflexible. Tu souffriras si tu la provoques. Qi Lanyin est-elle avec toi ? Demande à ton ami de la laisser partir. Et si elle passe par les procédures légales… »

Qiao Nian sourit, les yeux détendus et décontractés. « Et si elle passe par les procédures légales ? »

« Et si elle passe par les procédures légales et que tu… » Jiang Li ne savait pas quoi dire.

Qiao Nian avait pris la parole à sa place. « Jiang Xianrou t’a aussi dit que Qi Yan était prête à passer par des procédures légales avec moi ? Est-ce qu’elle t’a dit à combien d’années ils étaient prêts à me condamner ? 10 ans ? 20 ans ? Ou bien prévoyaient-ils de m’emprisonner à vie ? »

« Elle n’a pas dit ça. »

Jiang Li secoua la tête et réalisa qu’il avait encore été stupide. Il était au téléphone et Qiao Nian n’était pas à l’hôpital, alors comment pouvait-elle voir son expression et ses actions ? Il ajouta avec impatience : « Elle vient de dire que la famille Qi se prépare à passer par les procédures légales avec toi. Je crains que tu ne souffres. »

Qiao Nian comprit à peu près ce que Jiang Xianrou lui avait dit. Elle répondit paresseusement : « Frère, ne t’inquiète pas pour ça. Je vais m’occuper de cette affaire. »

« Nian Nian, tu… » Jiang Li s’inquiétait encore pour elle.

Cependant, Qiao Nian l’avait interrompu assez vaillamment. « Je n’ai jamais pris la famille Qi au sérieux ! S’ils veulent passer par les procédures légales, je les accueille à tout moment. Je ne sais simplement pas si c’est moi qui y entrerai pour 10 ou 20 ans ou si ce sera l’un d’entre eux. »

Jiang Li ne pouvait absolument pas gagner contre elle, et son aura ne pouvait pas la réprimer.

Qiao Nian le réconforta à nouveau, lui promettant qu’elle ne serait pas irréfléchie. Si quelque chose se produisait à l’avenir, elle le lui dirait à l’avance.

Jiang Li avait raccroché à contrecœur.

Qiao Nian avait attendu patiemment qu’il raccroche avant de poser son téléphone. Elle avait baissé ses sourcils délicats et avait fixé son téléphone pendant un moment.

Elle avait ouvert son ordinateur portable et ses doigts avaient commencé à voler sur le clavier….

Dix minutes plus tard.

Qiao Nian avait envoyé un fichier audio sur son téléphone, puis s’était levée et était allée se laver dans la salle de bain.

Elle avait attrapé ses affaires dès qu’elle s’était changée, les avait mises en bandoulière et s’était dirigée vers le rez-de-chaussée.

En bas.

Gu San parlait avec le jeune homme sur le canapé. Celui-ci tenait un journal et semblait le lire tranquillement.

Voyant la jeune fille descendre du coin de l’œil, Ye Wangchuan posa le journal et leva un regard doux. « Tu es debout ? »

« Oui », répondit Qiao Nian en descendant les escaliers. « Je sors un peu. »

Ye Wangchuan avait haussé les sourcils et s’était levé pour prendre ses clés de voiture. Il marcha à ses côtés et lui demanda tout naturellement : « Où vas-tu ? Je vais te conduire. »

Qiao Nian avait envie de dire : « Pas la peine. »

Voyant qu’il avait déjà les clés de la voiture en main, elle avait bougé la bouche mais n’avait pas pu refuser. Elle n’avait pu que dire : « La famille Jiang. »

Gu San la regarda inconsciemment avec une expression surprise lorsqu’il entendit les mots « famille Jiang », comme s’il était confus. Il ne savait pas pourquoi Qiao Nian se rendait là-bas à ce moment-là.

Ye Wangchuan n’avait même pas levé les yeux ou demandé une raison à la jeune fille. Il s’était contenté de marcher devant et de dire : « Allons-y. »

Se sentant un peu irritée, Qiao Nian se toucha l’arête du nez et suivit l’homme.

***

Résidence Jiang.

Jiang Zongnan venait de renvoyer Qi Yan avant de retourner à l’intérieur.

L’atmosphère de la maison était lourde. Tout le monde semblait avoir quelque chose en tête et personne ne parlait.

Jiang Zongnan ne savait pas quoi dire. Il demanda au serviteur de lui préparer une tasse de thé. « Tante Wang, prépare-moi une tasse de thé amer ».



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