Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 146 : Tu as 20 ans d’avance
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Au même moment.

Dans le service VIP de l’hôpital de la ville, un homme levait les yeux d’une pile de documents. Il aperçut un gamin qui tenait un téléphone avec un sourire idiot.

« Qiao Nian t’a répondu ? »

Ye Qichen garda son téléphone, lui jeta un coup d’œil et répondit fièrement : « La sœur va certainement me répondre ! »

L’oncle veut envoyer un message à la sœur, mais il a peur d’être ignoré, n’est-ce pas ?

Je ne suis pas comme lui. Ma sœur m’aime !

Ye Wangchuan posa son stylo et le remit à Gu San avec le reste des documents. Il s’assit ensuite paresseusement sur le canapé et regarda l’enfant. Il dit en souriant : « Si je ne te conduis pas, tu ne pourras pas la ramener à la maison. Tu devras venir la chercher avec moi. À moins que tu n’aies ton propre permis à l’avenir. »

Gu San resta sans voix.

Maître Wang, as-tu le droit d’intimider un enfant de cinq ans ?

Ye Qichen fit la moue et se sentit mal. Il avait alors rétorqué avec colère : « Un jour, j’aurai mon permis, et je n’aurai plus besoin de toi pour aller chercher ma sœur ! »

Ye Wangchuan sourit. Il haussa les sourcils et dit, « D’ici là, elle sera ta tante. »

« Hehe. » Ye Qichen n’était pas une mauviette. Il ne jouait les mignons qu’en présence de Qiao Nian. Il était vraiment intelligent devant les autres. Il insulta son oncle immédiatement. « La sœur ne t’aime pas. Tu n’as jamais eu de petite amie, et la sœur ne t’épousera pas. »

Ye Wangchuan le regarda. Il retroussa ses manches, montrant le bracelet en argent qu’elle lui avait offert. Il copia ensuite l’expression paresseuse et les manières de Qiao Nian et dit : « Sinon, est-ce qu’elle t’épouserait ? »

Ye Qichen se figea et son visage devint rouge. Gu San avait l’impression que son visage allait bientôt saigner. Ye Qichen commença à s’agiter légèrement et dit, « Erm… O…Oui. »

Ye Wangchuan resta sans voix. Il lui sourit alors et lui dit : « Continue de rêver. Tu as vingt ans d’avance. »

« Tu seras vieux quand je serai grand ! Je serai grand et beau. Tu ne seras qu’un vieil homme. Ma sœur me choisira à coup sûr plutôt que toi ! » Ye Qichen n’avait pas mâché ses mots en insultant Ye Wangchuan.

Il répliqua immédiatement avec colère en visant sa faiblesse. « Si tu oses te battre contre moi pour ma sœur, je dirai à Grand-père que tu m’as malmené. Tu m’as frappé et tu as abusé de moi. Tu m’as même jeté dans la rivière et j’ai failli me noyer. Grand-père te punira pour ça ».

« Je dirai aussi à Grand-père que tu te comportes ainsi parce que tu n’as pas de petite amie malgré ton âge. Alors nos tantes recommenceront à te présenter des filles. Quand tu auras une petite amie, tu n’harcèleras plus sœur. »

Bon sang, tu es incroyable, mon jeune maître !

Gu San n’avait jamais pensé à cela. Le petit jeune maître était si intelligent.

Ye Wangchuan gloussa froidement et dit : « Alors, tu seras laissé à Pékin le lendemain et tu ne la reverras plus jamais ! »

Il se leva et attrapa son téléphone. Il ouvrit la conversation entre Ye Qichen et Qiao Nian, transféra la localisation qu’elle avait envoyée sur son téléphone, et le rendit à Ye Qichen. Il dit alors froidement : « Si tu te comportes bien, tu pourras encore la voir. Sinon, tu retourneras à Pékin. Réfléchis bien. »



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