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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 990 : La personne de sœur Nian est arrivée !
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Qiao Nian sortit le téléphone qu’elle avait préparé depuis longtemps. Elle avait trouvé l’un des fichiers audio et avit appuyé sur le bouton de lecture. Une musique mélodieuse déferla dans la salle.

C’était le style de Zhui Guang.

Il était très fort.

Il était également unique et difficile à imiter.

Après avoir ouvert le fichier audio sur son téléphone, Qiao Nian le jeta sur le lit. Son ton était clair et elle dit nonchalamment : « C’est la partie que tu as copiée ? »

Les yeux de Qiao Chen étaient intenses. Ses mains voulurent instinctivement attraper la couverture, mais lorsqu’elle exerça sa force, elle ne sentit qu’une douleur aiguë dans ses doigts. Elle se rappela soudain les paroles du docteur. Il avait dit que sa main était paralysée et qu’elle ne pourrait plus jamais jouer du piano. Une forte haine jaillit de ses yeux, elle regarda Qiao Nian et nia froidement : « Je te l’ai dit, je ne sais pas de quoi tu parles. Je n’ai jamais entendu cette chanson. »

« Qiao Nian, si tu veux m’accuser de plagiat, ce n’est pas la peine ! »

Ses yeux s’agitaient tandis qu’elle argumentait avec obstination. « J’ai déjà gagné les Grammy Awards, alors ce trophée ne sera que le mien. C’est un prix étranger. Ce n’est pas un endroit où l’on peut couvrir le ciel d’une seule main. Même si ton professeur est Maître Nie, n’oublie pas que j’ai aussi un professeur ! Le pays est ton territoire, et tu peux dire ce que tu veux ici, mais pas à l’étranger ! »

Elle n’avait pas fini de parler que la porte de la salle s’ouvrit à nouveau.

La personne qui entra cette fois-ci n’était autre que le professeur qui manquait tant à Qiao Chen, Steven.

Vêtu d’un costume, Steven n’était pas aussi âgé que Nie Mi. Il venait de dépasser l’âge mûr et avait des cheveux dorés et des yeux bleus. Il avait pris soin de lui. En ce moment, ses cheveux dorés étaient un peu en désordre. Il était évident qu’il s’était précipité.

« Professeur, pourquoi êtes-vous… »

Il ignora Qiao Chen, stupéfaite et troublée, et se dirigea directement vers Qiao Nian. Il s’arrêta devant elle et dit sérieusement : « Est-ce que cette chanson joue toujours dans la salle ? »

Qiao Nian leva les sourcils et sourit malicieusement. Elle était arrogante et paresseuse. « Oui. Quelle partie voulez-vous entendre, M. Steven ? »

« Combien de segments as-tu ? » Steven avait l’air mal à l’aise, comme s’il ne s’attendait pas à plus. Il la dévisagea légèrement.

Qiao Nian prit son téléphone et feuilleta le document de son fichier audio devant lui. Son ton était paresseux et détendu. « Oh, pas grand-chose. Juste sept ou huit. »

Elle tourna la tête, ses yeux sombres étant clairs, et demanda : « M. Steven, voulez-vous l’entendre ? »

Steven resta silencieux pendant quelques secondes avant de dire avec difficulté : « Bien sûr. Si cela convient à Mlle Qiao… »

Avant qu’il ne puisse terminer, Qiao Nian prit le relais. « Oui, il n’y a pas d’inconvénient. »

Elle lui tendit son téléphone.

Steven le prit avec précaution. En voyant les sept ou huit dossiers de l’audio que Qiao Nian avait produit, il prit une grande inspiration et se calma. Il l’ouvrit depuis le début.

Une vidéo de la même chanson que précédemment était diffusée dans la salle.

Plus il écoutait, plus il fronçait les sourcils.

Il y a peu de temps, il avait entendu un arrangement similaire. Cependant, il était différent de l’extrait que Qiao Nian lui avait lu. La version qu’il avait entendue était jouée avec un piano. Celle-ci… était une guitare électrique. Il y avait également une cithare électronique, et cela semblait être un instrument classique.

Il n’était pas originaire du pays Z et ne connaissait pas bien ses instruments classiques, mais il savait qu’il y avait beaucoup d’instruments traditionnels dans le pays. Par exemple, le carillon qui l’intéressait beaucoup était l’un d’entre eux.

Lorsqu’il avait fini d’écouter le premier paragraphe, les coins de sa bouche étaient déjà très serrés. Son expression était devenue grave, et l’on pouvait voir qu’il était très sérieux.



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