Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 722 : Elle a perdu cette fois-ci
Chapitre 721 : Les excuses de Zhou Wei Menu Chapitre 723 : Mon laboratoire manquait de personnel

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Cette fois-ci, elle aidait Ye Wangchuan. Elle serait très occupée à l’avenir.

L’air fut très tendu pendant une bonne minute.

Lorsque Zhou Wei comprit enfin ce qu’elle disait, son visage s’assombrit et elle serra les poings.

Bo Jingxing toussa et sourit. Pour sortir de l’impasse, il leva les yeux et dit : « Soeur Qiao, je vais t’emmener voir Maître Cheng. »

Il ne savait pas exactement pourquoi Zhou Wei s’était soudainement excusée auprès de Qiao Nian. Cependant, il était évident qu’elle avait subi une perte cette fois-ci !

La sœur de Jiang Li était une fille si dure !

Pas étonnant que Qin Si l’apprécie.

Il n’y avait qu’un mot pour la décrire : cool !

Sa façon d’agir et de parler était très cool.

« D’accord », lui répondit Qiao Nian. Elle avait une main dans sa poche et l’autre rabattait sa casquette. Sa silhouette était magnifique.

Elle laissa Zhou Wei stupéfaite, incapable de réagir pendant un long moment.

La neuvième branche disposait d’un système de contrôle d’accès strict.

Après avoir passé le système de reconnaissance de l’iris, ils devaient encore franchir la porte avec vérification des empreintes digitales avant de pouvoir entrer dans le bâtiment principal.

Dès qu’ils étaient entrés dans le bâtiment principal, ils avaient senti une atmosphère tendue. Elle était complètement différente de celle qui régnait à l’extérieur.

Les personnes à l’intérieur portaient des uniformes blancs et tenaient divers livres sur les données. Ils étaient occupés par leurs propres affaires.

Même lorsqu’ils arrivèrent en groupe, les gens à l’intérieur ne semblèrent pas les remarquer. Ils ne regardaient pas dans leur direction et ne levaient même pas la tête.

Bo Jingxing les conduisit jusqu’à un laboratoire en verre et s’arrêta. Il dit : « Sœur Qiao, attends un moment. Je vais prévenir Maître Cheng de ta présence. »

« D’accord. » Qiao Nian trouva un endroit où s’asseoir. Elle sortit son téléphone portable et ne prit pas la peine de regarder autour d’elle.

Chen Zhu se pencha et la vit jouer à un jeu.

Il ne put s’en empêcher et dit : « Mlle Qiao, tu n’es pas curieuse ? »

Dès qu’elle entra dans le jeu, elle reçut une invitation de Qin Si. La rejetant, elle demanda sans même lever la tête : « De quoi suis-je censée être curieuse ? »

« Juste curieuse… » Chen Zhu regarda son visage silencieux et hésita. « Curieuse à propos de la neuvième branche. »

Mademoiselle Qiao n’était-elle vraiment pas curieuse de la neuvième branche ?

La neuvième branche était considérée comme une existence unique, même parmi les familles influentes de Pékin. De nombreuses personnes avaient essayé de jeter un coup d’œil à ses affaires internes. Nombreux étaient ceux qui désiraient posséder les technologies de pointe et les renseignements développés par la neuvième branche.

Mais Mlle Qiao ne semblait pas du tout intéressée.

Qiao Nian l’écouta patiemment. Elle plissa ensuite à moitié les yeux et répondit paresseusement. « Oh, je ne suis pas curieuse. »

Chen Zhu resta sans voix.

Il resta stupéfait pendant un moment.

Il avait d’abord pensé que si Qiao Nian était curieuse, il pourrait continuer à lui parler des résultats de leurs recherches, comme leur technologie de reconnaissance de l’iris.

Mais il ne savait plus où donner de la tête à la vue de ce résultat.

Gu San ne se souciait pas de lui. Il sortit une bouteille de café du placard à côté de lui, la tendit à Qiao Nian et murmura : « La neuvième branche n’a que du café. S’il te plaît, fais un compromis et bois-en. »

Il suivait Maître Wang et Qiao Nian depuis si longtemps qu’il connaissait déjà les préférences de cette dernière. Qiao Nian préférait les boissons comme l’eau minérale et la limonade au café et au thé au lait.

Cependant, l’institut de recherche était plein de gens qui se couchaient tard pour faire de la recherche scientifique. Ils étaint souvent très occupés et il était normal qu’ils manquent un jour de sommeil.

Ils comptent tous sur le café pour se rafraîchir l’esprit.

Il était donc plus facile de trouver du café que de l’eau minérale ici.

Qiao Nian n’était pas difficile sur ce qu’elle buvait. Elle lui prit la bouteille et lui dit poliment : « Merci. »

Le cœur de Gu San se réchauffa un peu, et son expression initialement crispée se détendit légèrement. Il sourit et dit : « Je t’en prie. »



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