Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 564 : Comment m’as-tu appelé ?
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Elle avait vu quelqu’un aller du salon au canapé avec une tasse de café.

Ye Wangchuan remuait la tasse de café dans sa main avec ses doigts clairs et bien dessinés. Sa main était propre et belle. Il était définitivement qualifié pour être un modèle de main.

Il portait un long manteau noir et une chemise qu’il avait lui-même achetée. Cela lui donnait l’air maigre, et ses jambes étaient longues et droites.

Il attirait tous les regards !

Qui n’avait pas envie de voir un bel homme tôt le matin ?

Qiao Nian avait l’impression que c’était plutôt rafraîchissant. Au moins, ses yeux, qui avaient été piqués par le message sur le forum de l’école, se sentaient beaucoup mieux maintenant.

Elle descendit les escaliers.

À mi-chemin, l’homme qui remuait paresseusement son café leva les yeux et la vit. Ses yeux profonds se rétrécirent légèrement et ses pupilles reflétèrent son ombre.

« Tu es debout ? »

« Oui. »

Qiao Nian s’approcha et ouvrit le réfrigérateur. Elle voulait sortir une bouteille d’eau, mais qui aurait cru que dès que sa main toucherait la bouteille, les mains de quelqu’un iraient plus vite qu’elle. Il retira la bouteille et tint la porte du frigo en disant d’un air autoritaire : « Tu ne peux pas boire d’eau glacée. »

« ?? »

Qiao Nian était confuse.

Dans le passé, elle avait l’habitude de faire ce qu’elle voulait. Pourquoi y avait-il tant de choses qu’elle ne pouvait pas faire maintenant ?

Les yeux profonds de Ye Wangchuan semblaient voir à travers ses pensées. Il plissa dangereusement les yeux et toucha ses lèvres écarlates. « As-tu oublié ton mal de ventre de la nuit dernière ? »

Il aurait mieux valu qu’il n’en parle pas. Maintenant qu’il l’avait fait, elle se souvenait de la sensation désagréable qu’elle avait eue dans l’estomac la nuit dernière. Elle avait l’impression que son bas-ventre était à nouveau écartelé.

Elle fronça les sourcils.

Il avait déjà retiré sa main.

Ye Wangchuan ferma le réfrigérateur et dit calmement : « Assieds-toi sur le canapé pendant un moment. Attends-moi. Je vais te préparer une tasse d’eau chaude. »

« D’accord. » Qiao Nian haussa les épaules. En fait, elle voulait dire qu’elle ne voulait pas boire d’eau glacée. Elle pouvait même prendre une tasse d’eau tiède.

Cependant, l’homme était très rapide. Il lui avait lâché la main et était entré dans la cuisine.

Elle n’avait d’autre choix que de s’asseoir docilement sur le canapé et de jouer avec son téléphone tout en l’écoutant.

Au bout de quelques minutes, l’homme s’était approché avec une tasse.

La tasse était celle qu’elle utilisait souvent. Jiang Li et le petit l’avaient achetée ensemble. Il y avait une empreinte de chat dessus, et la tasse était d’une marque très chère. Une tasse coûtait environ cinq chiffres, et elle était pratique à utiliser.

Elle utilisait généralement cette tasse pour boire de l’eau.

En ce moment, de la fumée chaude s’échappait de la tasse. Elle pouvait dire que l’eau qu’il avait préparée pour elle était très chaude.

« Bois lentement. C’est chaud. »

« … » Qiao Nian prit la tasse. Elle pensait que ce serait le même café chaud que le sien. Qui aurait cru qu’il y aurait deux dattes rouges flottant dans une tasse d’eau sucrée ?

Elle se souvint soudain de ce que Wei Lou avait dit à propos des « raisins, du vin et des tasses de mûres ». Les jeunes doivent prendre soin d’eux. Les coins de sa bouche se crispèrent. Elle leva les yeux vers l’homme à côté d’elle, qui s’était penché pour ramasser sa tasse de café. Elle ne put s’empêcher de dire : « Maître Wang, Gu San sait-il que tu sais ces choses ? »

Il avait l’air discret, mais il savait ce que les filles devaient boire pendant leurs règles.

Elle le taquinait avec désinvolture, mais l’homme qui tenait le café la regarda de ses yeux profonds. Il haussa les sourcils et dit d’un air dominateur : « Hein ? Comment m’as-tu appelé ? »

Qiao Nian resta sans voix.

Comment venait-elle de l’appeler ?

Maître Wang ?

Cela ne semblait pas incorrect.

Gu San et Jiang Li l’appelaient généralement ainsi.

À cette pensée, le corps de Qiao Nian se détendit. Elle but une gorgée d’eau sucrée. C’était si doux qu’elle se sentit troublée et ennuyée. Elle leva la tête et le regarda dans les yeux avec ses yeux noirs et blancs si particuliers. Elle répondit avec désinvolture : « Je t’ai appelé Maître Wang. Y a-t-il quelque chose de mal à cela ? »



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