Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 459 : Mlle Qiao en a beaucoup !
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de ça avant ».

Elle dit et ouvre la petite boîte. Dans la boîte de brocart, on pouvait voir une pilule blanche. Elle avait la taille d’une tablette. De couleur blanche, elle était placée au centre de la boîte. Elle était bien placée et semblait familière.

C’est à ce moment-là que le serveur servit les plats.

Il y avait des plats comme du poulet épicé en dés et du poisson bouilli. Les assiettes de cuisine sichuanaise de couleur rouge étaient servies l’une après l’autre. Les gens qui ne s’y connaissaient pas mieux auraient pu croire qu’ils étaient au mauvais endroit.

Depuis quand le chef du manoir impérial avait-il changé de métier et commencé à cuisiner des plats du Sichuan ?

Gu San ne s’intéressait pas aux plats. Il fixait le contenu de la boîte de brocart avec une telle intensité que ses yeux semblaient sur le point de sortir. Il regarda ensuite Ye Lan, impuissant, et lui demanda : « Mlle Ye Lan, auriez-vous pu vous procurer cela au marché noir ? »

Ye Lan fut surprise qu’il en sache autant et haussa vivement les sourcils. Tous les membres de la famille Ye avaient des yeux noirs et profonds, et Ye Lan ne faisait pas exception. « Tu connais même le marché noir ? »

« Oui, tu as raison. C’est une pilule du marché noir. » Elle l’admettait volontiers.

« Cette pilule n’était pas disponible sur le marché noir ces deux derniers mois. J’ai également dû passer par un intermédiaire pour mettre la main dessus. Cette pilule m’a même coûté un prix à 8 chiffres ».

Un prix à huit chiffres montrait à quel point cette pilule était chère. Les gens ordinaires ne gagneraient peut-être même pas cette somme au cours de leur vie, mais la famille Ye et Ye Lan étaient riches.

Les choses qui coûtaient huit chiffres ne seraient pas considérées comme trop chères ou trop bon marché à leurs yeux.

Au moins, cela montrait qu’elle se souciait vraiment de Qiao Nian.

Ye Wuchuan ramassa la pilule dans la boîte de brocart avec une expression inexplicable. Ses yeux étaient profonds lorsqu’il se tourna vers elle. Ne pouvant discerner son humeur d’un seul coup d’œil, il dit, « Tu n’avais pas besoin de dépenser autant d’argent pour acheter cette pilule. »

Elle agita la main avec désinvolture et n’y réfléchit pas. « Nous gagnons de l’argent juste pour pouvoir le dépenser. »

« Ce n’est pas ce que je veux dire. » Ye Wangchuan posa la boîte et se frotta le centre des sourcils. Il avait mal à la tête.

Ye Lan ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. « Alors, qu’est-ce que tu veux dire ? »

Pris au milieu de leur conversation, Gu San tenta de lui expliquer. « Mlle Ye Lan, vous avez mal compris Maître Wang. Il ne dit pas que vous ne devriez pas acheter un cadeau à Mlle Qiao. Il veut seulement dire que Mlle Qiao a déjà un stock de cette pilule. »

Ye Lan était confuse.

Elle avait épuisé ses efforts et ses contacts à la recherche de cette pilule, et elle avait même payé une somme énorme pour l’obtenir, mais il avait vraiment dit que Qiao Nian avait beaucoup de cette pilule ?

« Vous vous moquez de moi ? »

Gu San se gratta la tête. Il ne savait pas comment lui expliquer cela. « Je dis la vérité, Mlle Ye Lan. Mlle Qiao a beaucoup de cette pilule. Je la vois souvent la manger comme un bonbon. Elle en garde quelques-unes dans un flacon de bonbons qu’elle transporte dans son sac d’école. »

Ye Lan pensa qu’il avait mal compris la situation.

Elle croisa les bras et dit avec colère, « Sais-tu combien coûte cette pilule ? »

Elle la mangeait comme un bonbon ?

Elle en gardait encore quelques-unes dans un flacon de bonbons ?

Qui ne chérirait pas une pilule si difficile à trouver ? Ils devraient utiliser toutes leurs ressources pour l’obtenir et ne songeraient même pas à la prendre à moins d’être en dernier recours, et pourtant il parlait de cette pilule avec tant de légèreté.

Ye Lan ne le croyait pas, et Gu San ne pouvait rien dire pour la convaincre. Il tourna la tête et demanda un conseil à l’homme assis en face de lui. « Maître Wang, puis-je lui dire ? »

Ye Wangchuan regarda Ye Lan. Il couvrit la boîte et posa sa main sur la table, puis se pencha en arrière et dit nonchalamment : « C’est bon de lui dire. Elle ne le dira pas à d’autres personnes par hasard. »

« De quoi parlez-vous ? Je ne comprends pas. » Ye Lan commençait à s’agacer en les voyant parler par énigmes devant elle. Mécontente, elle interrompit leur conversation. « Si vous avez quelque chose à me dire, dites-le moi directement. Sinon, gardez-le pour vous. Ne me racontez pas la moitié de l’histoire et ne vous arrêtez pas ensuite. Vous ne feriez que me contrarier. »

Gu San se sentait mal à l’aise. Trouvant enfin une occasion de parler, il regarda Ye Lan dans les yeux et dit de façon concise : « Mlle Qiao a beaucoup de cette pilule parce que c’est elle qui l’a fabriquée ! »

C’était tellement rafraîchissant de dire un secret !

Autrement, il aurait été le seul à savoir à quel point Mlle Qiao était géniale !



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