Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 428 : C’était comme s’il répondait à son amante lorsqu’il envoyait un message à sa sœur
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

L’événement auquel le directeur faisait référence était le moment où Jiang Li avait discuté de Qiao Nian en public. Au final, Qiao Nian avait failli être attaquée sur Internet.

Jiang Li s’était également souvenu de cet incident et son expression s’était dégradée. Sans autre forme de procès, il avait dit : « J’efface le commentaire tout de suite. »

Voyant qu’il s’exécutait si facilement, le directeur lui dit joyeusement : « C’est mieux de l’effacer. Tu n’attireras pas d’ennuis à ta sœur de cette façon. Tu es trop populaire et tu as beaucoup de rivaux dans l’industrie du divertissement. S’ils ne trouvent rien de compromettant sur toi, ils ne s’en prendront qu’à ton entourage. La meilleure façon de protéger ta famille et tes amis est de les mentionner moins souvent. Quant à Zhui Guang… »

Lorsqu’il avait évoqué Zhui Guang, le visage du directeur s’était empli d’émotion. « Bien qu’elle n’appartienne pas au monde du spectacle, elle n’est pas moins célèbre que les gens du monde du spectacle. C’est dommage qu’elle n’en fasse pas partie, sinon elle aurait été encore plus célèbre. »

Ses paroles avaient été perdues pour lui. Après avoir effacé le commentaire, Jiang Li était plongé dans ses pensées. Il ne pouvait s’empêcher d’y penser et envoya un message à Qiao Nian.

[Jiang Li : Nian Nian, que fais-tu en ce moment ? Tu dors ?]

Après avoir envoyé le message, il attendit anxieusement la réponse. Il laissa le coiffeur continuer à le coiffer, mais ne quitta pas son téléphone portable des yeux.

Il avait vraiment l’impression que la fille de la vidéo ressemblait beaucoup à Qiao Nian !

Sa voix et la marque de ses vêtements l’inquiétaient beaucoup. Il se sentait si anxieux que c’était comme si un millier de fourmis rampaient autour de lui. Si seulement il n’était pas occupé par son travail, il aurait demandé à son manager de lui réserver des billets d’avion pour Pékin.

Son message semblait ne pas l’avoir atteint, car elle ne répondit pas pendant un long moment.

Jiang Li était déçu. Il vérifia l’heure sur son téléphone portable – il était presque dix heures. Il baissa les paupières, tint son téléphone avec impatience et se dit : « Tu t’es déjà endormie ? ».

Juste au moment où il finissait de marmonner, le voyant de notification de son téléphone portable s’était allumé.

[QN : Non. Je me prépare à dormir maintenant.]

Le ton léger de sa voix, ses cils baissés, son corps rempli d’esprit et de vigueur, pouvaient être ressentis depuis l’autre côté de l’écran.

Le cœur agité de Jiang Li sembla être doucement réconforté, et son anxiété diminua. Il avait voulu s’enquérir de la relation entre Zhui Guang et elle, mais il avait tout oublié. Les coins de sa bouche se soulevèrent inconsciemment lorsqu’il regarda son message. Il lui fallut un certain temps pour répondre. Il tâtonna et tapa une ligne à la hâte.

[Jiang Li : Gu San m’a dit que tu n’avais pas eu de bons résultats. Les résultats sont-ils déjà sortis ? Comment sont tes résultats ?]

Après avoir envoyé le message, il se sentit à nouveau mal à l’aise. Il leva les yeux et demanda sérieusement à son manager. « Monsieur Wang, comment réconfortes-tu ta fille lorsqu’elle a de mauvais résultats à ses examens ? »

« Hein ? »

Son directeur était un homme d’une quarantaine d’années. Sa femme avait donné naissance à sa fille à l’âge de trente ans. Sa fille venait d’avoir dix ans. Le directeur aimait bien parler de sa fille.

« Je lui achète des bonbons et je l’emmène jouer. Les filles sont faciles à réconforter. »

Jiang Li enchaîne avec enthousiasme. « Où l’emmène-tu habituellement ? »

Son manager avait été stupéfait par cette question. Il remarqua que de nombreuses personnes dans le studio les regardaient. Craignant que des ragots sur une star ayant une fille issue d’un mariage caché ne fassent le tour du monde du divertissement demain, il eut soudain mal à la tête. Il avait délibérément élevé la voix et avait dit : « Parcs d’attractions ou cinémas. Je choisis les endroits en fonction de ce qu’elle veut faire à ce moment-là. Ta sœur est au lycée. Il ne lui reste que deux ou trois mois avant l’examen d’entrée à l’université. Pourquoi ? N’a-t-elle pas obtenu de bons résultats à l’examen mensuel de son école ? »

Le mot « sœur » était clair et repousserait n’importe quel regard à la recherche de ragots.

Jiang Li ne se souciait pas que les gens autour de lui racontent des ragots sur lui. Il était entré dans le cercle du divertissement sur un coup de tête. Mais son apparence était trop excellente. Sa décision occasionnelle de rejoindre le cercle de divertissement l’avait fait entrer dans la classe supérieure du cercle de divertissement.



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