Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 374 : Repas avec Jiang Xianrou
Chapitre 373 : Pourquoi ne veux-tu pas prendre sa voiture ? Menu Chapitre 375 : Mlle Qiao est la plus importante !

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Ses paroles étaient bonnes, mais son ton était un peu ambigu. Comme si c’était un mari qui rappelait à sa femme qu’elle était sur le point de sortir.

Gu San regarda Qiao Nian sortir en titubant et fermer la porte de l’appartement en un clin d’œil.

Les coins de sa bouche se crispèrent, et il jeta un regard compliqué à l’homme tranquillement assis. « Maître Wang, si tu flirtes toujours avec Mlle Qiao de la sorte, je crains qu’elle ne soit immunisée contre toi à l’avenir. »

Il la taquinait toujours de façon ambiguë, mais n’osait pas dire les mots clairement. Y avait-il quelque chose qui n’allait pas chez lui ?

Cependant, il le pensait juste dans son cœur et n’osait pas le dire à voix haute. De qui se moquait-il ? Il s’agissait de Maître Wang, son seigneur qui n’avait même pas cligné des yeux.

« Au fait, Mlle Qiao ne m’a pas laissé la raccompagner et a pris un taxi toute seule. N’est-ce pas un tel gaspillage d’argent ? »

Ye Wangchuan leva les paupières et tripota les grains de prière à son poignet, la voix toujours aussi terne. « Tu penses qu’elle est à court d’argent ? »

« Je… » Gu San s’étouffa !

En tant que docteur miracle de la ville de Rao, qui gagnait huit chiffres pour chaque patient, Mlle Qiao ne manquait effectivement pas d’argent.

Il se prit la tête et devint encore plus déprimé. « Alors Mlle Qiao ne m’aime vraiment pas parce que je parle trop ? »

Il pensait qu’il ne parlait pas beaucoup, il était introverti et honnête, et il conduisait toujours comme un chauffeur qualifié, sans jamais regarder autour de lui et parler beaucoup.

Ye Wangchuan voulut jurer, mais en voyant son expression vraiment confuse, il sentit qu’il ne faisait que perdre son temps.

Il reporta son regard sur le carnet et dit tranquillement : « Elle ne voulait probablement pas que tu saches où elle allait, alors elle n’a pas pris ta voiture. »

« Ah ? »

Gu San ne comprenait pas.

« Pourquoi ne peut-elle pas me faire savoir où elle va ? »

Ye Wangchuan n’arrivait pas à savoir s’il était vraiment stupide ou s’il faisait semblant, mais la première hypothèse était la plus probable.

« Tu penses vraiment qu’elle ne connaît personne à Pékin ? »

Il pensait avoir expliqué les choses assez clairement.

Qui aurait cru que Gu San avait encore un visage confus, et se gratta honnêtement la tête. « Mais Maître Wang, Mlle Qiao a dit qu’elle était à Pékin pour la première fois. Puisqu’elle n’y est jamais allée auparavant, comment peut-elle avoir des amis ici ? »

Ye Wangchuan resta sans voix.

Gu San vit qu’il ne voulait pas se parler à lui-même, alors il réfléchit vigoureusement et comprit en une seconde. « Oh, je sais. Le vieux maître Jiang est à Pékin. Mlle Qiao va le voir ? »

Il avait à peine fini de parler qu’il changea à nouveau de ton. « Non, pourquoi Mlle Qiao ne me dit-elle pas si elle va voir le vieux maître Jiang… C’est tellement étrange… »

Ye Wangchuan était déjà trop paresseux pour lui parler, et il le traitait simplement comme une mouche dans la pièce, le genre avec un faible QI.

Gu San réfléchit un moment, et comme personne ne lui répondait, il se toucha maladroitement l’arête du nez, avant de se souvenir soudainement de quelque chose.

« Maître Wang, Mlle Jiang m’a envoyé un message hier soir pour me demander si tu étais rentré à Pékin. Elle m’a dit qu’il lui semblait t’avoir vu. Dois-je lui dire ? »

C’était à cause de Jiang Li.

Jiang Xianrou et son entourage étaient très proches, et elle était considérée comme la petite sœur. Elle avait donc de grandes chances d’entrer dans leur cercle de personnes du sexe opposé.

Tout le monde lui donnait plus d’importance et s’occupait d’elle plus souvent.

Ye Wangchuan rangea son carnet sans même lever les paupières. Il ouvrit ses lèvres minces et dit nonchalamment : « Comme tu veux. »

« Oh. »

Gu San réfléchit un moment et dit : « Le jeune maître Jiang sait que nous sommes venus à Pékin, alors je ferais mieux de le lui dire. Et si Mlle Jiang veut dîner avec nous ? »

Maintenant que Maître Wang était de retour, tout le monde voulait se réunir et prendre un repas ensemble, c’était la routine.

Jiang Xianrou était celui qui les appelait habituellement à se réunir.

Il demandait donc à l’avance.



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