Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 354 : Gifle au visage
Chapitre 353 : Jiang Xianrou, à l’inscription indépendante Menu Chapitre 355 : Hôtel aléatoire

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Tang Wanru ne savait pas ce qui se passait dans leur école, aussi sortit-elle de l’ascenseur en fredonnant, prête à rentrer la première.

Alors que Jiang Xianrou la suivait, elle vit du coin de l’œil une silhouette familière.

« Maître Nie ! »

Ils pensèrent tous que Nie Mi avait dû quitter précipitamment les lieux, qui aurait cru qu’ils le rencontreraient dans le hall du premier étage ?

Cependant, Nie Mi leur tourna le dos et se dirigea directement vers le côté gauche du couloir.

« Où va-t-il ? » Elle était un peu curieuse.

Tang Wanru était venue ici plusieurs fois, et l’expression de son visage était encore plus étrange. « On dirait que c’est le restaurant là-bas. Qu’est-ce que Maître Nie va faire là-bas ? Manger ? »

Ils l’avaient sincèrement invité à dîner, mais il ne leur avait pas fait face.

Après les avoir rejetés, il allait directement au restaurant.

Cela…

C’était leur donner une gifle.

À l’intérieur du manoir impérial.

Qiao Nian s’essuya la bouche, ayant presque terminé son repas. Elle s’appuya sur la chaise pour se reposer.

Après avoir dormi un moment, elle mangea à nouveau. Elle ne se sentait pas tout à fait réveillée pour le moment. Les paupières baissées, elle posa paresseusement ses mains sur la table tout en jouant avec son téléphone portable.

Les plats sur la table étaient presque tous mangés. Dans un plat de cuisine Suzhou légère, il y avait un plat de poulet épicé qui semblait incompatible, et un piment flamboyant était imprimé sur l’assiette, éveillant l’appétit.

Gu San posa ses baguettes avec satisfaction, la bouche déjà épicée et gonflée. Il s’appuya sur la chaise, l’estomac plein, et dit avec surprise : « Je ne m’attendais pas à ce que le chef prépare du poulet épicé. Le goût est tout à fait délicieux. Maître Wang, comment savais-tu que nous pouvions commander du poulet épicé ici ? »

Ce plat avait été commandé par Ye Wangchuan. Il avait appelé le serveur et commandé un plat du Sichuan à voix basse.

Ye Wangchuan n’avait pas touché au poulet épicé et n’était pas dans un état aussi désolant que Gu San. Il essuya élégamment les commissures de ses lèvres avec une serviette, ses yeux étroits étant profonds et imprévisibles. « J’avais l’habitude de venir avec Bo Yu auparavant. Il en commandait souvent. »

« Oh, jeune maître Bo. » Gu San connaissait manifestement cette personne et afficha une soudaine expression de réalisation. Il dit pensivement : « Il n’est pas surprenant que ce soit le jeune maître Bo. Il étudie toujours la cuisine. Il n’y a que lui qui puisse penser à faire préparer de la cuisine du Sichuan à un chef de cuisine de Suzhou. »

Ye Wangchuan ne fit aucun commentaire. Il baissa les yeux et vit que Qiao Nian était toujours en train de jouer avec son téléphone portable. Il lui servit à nouveau une tasse de thé. Les feuilles de thé dans la tasse blanche comme la neige montaient et descendaient, et la fumée blanche faisait ressortir le parfum du thé. Le manoir impérial utilisait manifestement du thé de qualité supérieure.

Après avoir servi une tasse de thé à Qiao Nian, il lui demanda : « Où comptes-tu aller plus tard ? Rentrer et te reposer ? »

Qiao Nian venait de recevoir un message de Nie Mi, disant qu’il venait après sa réunion. Elle leva la tête, pinça ses lèvres froides, et ramassa son sac avec des yeux sans retenue. « Je vais rencontrer quelqu’un. Je ne rentrerai pas avec vous. »

« Tu ne viens pas avec nous ? » Gu San regarda inconsciemment l’homme en face de lui.

Comment cela était-il possible ?

Maître Wang avait spécialement accompagné Mlle Qiao pour qu’elle passe l’examen, mais ils avaient dû partir chacun de leur côté après avoir débarqué de l’avion.

« C’est ta première fois à Pékin, si tu agis seule, Maître Wang et moi allons nous inquiéter… »

Qiao Nian ne comprit pas ce qui l’inquiétait et haussa les sourcils d’un air malicieux. « La sécurité de Pékin n’est-elle pas bonne ? »

Gu San étouffa ses paroles et se toucha le bout du nez. « Ce n’est pas que la loi et l’ordre ne sont pas bons, Pékin est très sûr, mais je suis juste inquiet que tu te perde. »

Les yeux sombres de Qiao Nian étaient débridés et décontractés, et elle ne prenait pas la chose au sérieux. « Il y a des taxis partout à l’extérieur. Je ne pense pas me perdre. »

Gu San resta sans voix.

Il n’avait pas le choix, et il ne pouvait pas non plus lui dire la vérité. Ils étaient revenus à Pékin pour l’accompagner à son examen et ne voulaient pas être séparés d’elle.

S’il le disait, cela ne reviendrait-il pas à révéler le secret de Maître Wang ?



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