Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 350 : Grand-père Nie, ravi de vous rencontrer
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Je continue à voir Maître Nie répondre à des messages sur son téléphone portable, je me demande qui c’est. J’ai entendu dire que Maître Nie est une personne très sérieuse et qu’il ne fait pas cela en public. Qui pourrait-il traiter de la sorte ? »

Cette personne doit être vraiment importante et impressionnante.

C’est ce qu’il pensait, mais il ne l’avait pas formulé.

Qui que soit l’autre partie, cette personne n’était pas de son niveau.

Il devait s’agir d’un autre maître.

Wei Ling observa de loin le vieil homme, qui regardait toujours son téléphone portable. Ses sourcils se froncèrent tandis qu’elle se souvenait de quelque chose.

Cela faisait plus d’un mois que Qiao Chen était arrivé à Pékin, et ses talents de pianiste s’étaient beaucoup améliorés depuis. Puisque son mari l’avait déjà fait venir pour l’éduquer, Wei Ling pensait qu’ils pouvaient aussi l’utiliser pour leurs propres intérêts. Elle pensait que le moment était parfait. Avec le retour de Maître Nie de l’étranger, elle pouvait demander à Qiao Chen d’apprendre auprès de lui. Lorsque Qiao Chen entrerait à l’Université de Qing, elle pourrait demander à quelqu’un de la faire connaître afin que le public oublie toutes ses vilaines affaires à la ville de Rao. Qiao Chen était un investissement valable.

Mais en voyant que Maître Nie n’était pas le moins du monde intéressé par l’Association de Piano, elle ne put s’empêcher de faire la grimace. Elle n’avait aucune idée de la marche à suivre.

Vingt minutes plus tard, la foule se dispersa.

Wei Ling ramassa l’objet posé sur la table et ignora tous ceux qui essayaient d’attirer son attention. Elle marcha à contre-courant et s’approcha du vieil homme.

« Maî… »

Elle n’avait même pas réussi à terminer sa phrase que quelqu’un l’atteignit avant elle.

Tang Wanru était fière de nature et venait d’une famille riche. Toute sa vie s’était déroulée comme elle l’entendait et elle ne se rabaissait jamais devant quelqu’un d’autre. Cette fois-ci, elle sourit très gentiment en saluant poliment le vieil homme. « Maître Nie, je suis ravie de vous rencontrer. Je suis Tang Wanru, la belle-fille de la famille Jiang. Voici ma fille, Xianrou. »

Elle fit un signe de la main pour que Jiang Xianrou s’approche. Elle sourit et dit : « Xianrou, dépêche-toi d’aller saluer grand-père Nie. »

Jiang Xianrou s’avança docilement et salua l’homme avec courtoisie. « Bonjour, Grand-père Nie. Je m’appelle Jiang Xianrou. Mon grand-père m’a toujours dit à quel point vous étiez extraordinaire. C’est un honneur de vous rencontrer. »

Nie Mi regarda les deux personnes qui venaient de se mettre sur son chemin. Il fronça intuitivement les sourcils, et un éclair de contrariété se dessina sur son visage. Cependant, après avoir entendu leur présentation, son expression s’adoucit et il demanda gentiment : « Je n’ai pas rendu visite à ton grand-père depuis quelques années parce que j’étais à l’étranger. Comment va-t-il ? »

Jiang Weishang et lui étaient des aînés qui respectaient grandement la tradition et la culture. Jiang Weishang était un homme exceptionnel qui savait gérer les gens. Dans les premières années, Jiang Weishang l’avait toujours aidé à chaque fois qu’il en avait eu besoin. Ils étaient en bons termes et étaient des amis de longue date, même s’ils ne se rencontraient pas souvent.

Jiang Xianrou se sentit beaucoup plus à l’aise lorsqu’elle entendit son ton s’adoucir. Elle leva ses yeux brillants vers lui et répondit respectueusement : « Mon grand-père est en bonne santé, mais il a pensé à vous. Il m’a dit qu’il ne vous avait pas vu depuis longtemps et qu’il espérait vous rencontrer autour d’un repas pour rattraper le temps perdu. »

Une expression de nostalgie apparut sur le visage de Nie Mi, et ses traits s’adoucirent encore. Il afficha un sourire rare. « …Je lui rendrai visite quand j’en aurai le temps. »

Tang Wanru avait immédiatement enchaîné. « Maître Nie, auriez-vous le temps dans une semaine ? Je peux réserver une table au manoir impérial. Nous pourrons tous prendre un repas ensemble. »

« Dans une semaine ? » Nie Mi avait quelque chose en tête. Dans une semaine, les résultats des examens de l’Université de Qing seraient publiés. Il voulait y jeter un coup d’œil tout de suite. Après un court instant d’hébétude, il refusa avec tact : « Je n’aurai peut-être pas le temps. »

Après tout, il s’agissait des membres de la famille de son vieil ami, il ne voulait donc pas envenimer les choses. « Et si je contactais Weishang quand j’aurai le temps ? Nous pourrons décider de l’endroit où nous prendrons notre repas le moment venu. »



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