Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 200 : L’argent n’était pas un problème pour Qiao Nian
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Je ne peux pas dire avec certitude s’il pourra courir ou faire du sport comme un enfant normal à l’avenir, mais ce sera certainement mieux qu’avant. S’il se rétablit bien, il pourrait aussi avoir une jambe saine comme un enfant normal. »

« Mais même s’il ne se rétablit pas aussi bien, Chen Chen pourra marcher normalement à l’avenir. Il ne boitera plus. »

Ye Lan ne pouvait pas croire ce qu’elle entendait. Elle leva les mains, excitée, et demanda : « Jeune fille, tu es sérieuse ? »

« Chen Chen peut marcher comme un enfant normal ? »

Ye Wangchuan vit qu’elle était ravie au point de pleurer et la présenta à Qiao Nian. « C’est Ye Lan, la grand-mère de Chen Chen. C’est ma tante. Tu peux t’adresser à elle comme ça aussi. »

Ye Lan ne se souciait pas des formalités, tout ce qui l’intéressait était ce que disait Qiao Nian. Ses mains se mirent à trembler de façon incontrôlée alors qu’elle demandait à s’assurer qu’elle ne rêvait pas. « Tu peux t’adresser à moi comme tu le souhaites, cela m’est égal. Jeune fille, tu viens de dire que Chen Chen pourra marcher normalement sans boiter à l’avenir. Est-ce vrai ? »

Gu San était lui aussi ravi.

Il n’arrivait pas à imaginer que le Petit Maître puisse marcher comme un enfant normal auparavant. Mais Mlle Qiao avait fait en sorte que cela se produise.

Il s’en réjouissait et la remerciait.

« Mlle Qiao, est-ce vrai ? » demanda-t-il également.

Lorsque Qiao Nian apprit que Ye Lan était la grand-mère de Chen Chen, elle n’était plus impatiente à cause de sa fatigue. Elle les regarda et hocha la tête.

« C’est vrai. »

Elle réfléchit et poursuivit : « Chen Chen s’est bien comporté pendant l’opération, même si je ne lui ai administré qu’une anesthésie locale. Il a coopéré avec moi et l’opération s’est mieux déroulée que je ne le pensais. S’il se repose bien pendant la prochaine période, il pourra au moins marcher normalement… »

Même s’il s’agit du pire scénario, c’est le meilleur résultat qu’ils souhaitaient depuis toutes ces années !

Si tout se passait bien, ce serait un résultat qu’ils n’auraient jamais pu imaginer.

« Je suis heureuse qu’il puisse marcher. Je suis heureuse qu’il puisse marcher. »

Ye Lan répéta la même phrase plusieurs fois, appréciant de plus en plus Qiao Nian. Elle était impatiente de lui offrir tout ce qu’elle voulait sur cette terre pour lui exprimer sa gratitude.

Mais elle n’avait rien apporté et elle ne savait pas quoi lui donner. Elle avait alors ouvert son sac Birkin et en avait sorti une carte bancaire. Elle la tendit à Qiao Nian.

« Jeune fille, accepte ceci. Elle contient 10 millions de yuans. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est l’expression de ma gratitude envers toi. Tu as sauvé Chen Chen, je ne sais comment te remercier. J’ai quitté la maison à la hâte et je n’ai rien apporté. Accepte ceci à la place. »

Gu San se sentit mal à l’aise en voyant qu’elle avait remboursé Qiao Nian avec de l’argent.

Comme elle était un docteur miracle, l’argent n’était pas un problème pour elle.

Lorsqu’ils avaient approché Mlle Qiao pour soigner le Petit Maître, ils lui avaient proposé des centaines de millions, mais ils avaient été rejetés.

Sans cet incident, il n’aurait jamais connu son identité secrète.

Même si 10 millions de yuans représentaient beaucoup d’argent, ce n’était rien pour Mlle Qiao…

Ye Wangchuan savait que Qiao Nian n’était pas non plus intéressée par l’argent et lui dit : « Tatie, garde la carte, s’il te plaît. »

Ye Lan s’était mise en colère et avait craqué. « Qu’est-ce que tu racontes ? Cette jeune femme a sauvé Chen Chen et a soigné sa jambe. Même 20 ou 30 millions de yuans ne suffiraient pas à la rembourser. Pourquoi ne puis-je pas lui donner quelque chose pour ça ! »

Elle jeta un regard furieux à Ye Wangchuan avant de regarder doucement Qiao Nian. Elle dit : « Jeune fille, ne l’écoute pas, accepte mon cadeau s’il te plaît. »



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