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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1357 : Sœur Nian exposée
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Le garde du corps avait pris un air solennel et l’avait regardé comme s’il ne voulait pas leur dire. Puis il réfléchit et décida que cela n’avait pas d’importance. « Vous voulez dire Mlle Qiao ? »

Lorsque Jiang Zongnan l’entendit appeler la fille « Mlle Qiao », il fut encore plus certain que la personne qui était entrée était Qiao Nian. Ses sentiments devinrent encore plus complexes. « Oui. »

« Mlle Qiao… » Le garde du corps regarda vers le couloir, le respect s’affichant sur son visage sévère. Il parla avec fierté. « Elle est l’une des fondatrices de notre société JC ! »

Jiang Zongnan eut l’impression que sa tête avait été frappée par un marteau-pilon. Il vit des étoiles et cessa même de respirer pendant un moment. Il était complètement abasourdi.

Il pensa aux paroles de l’ami de Jiang Yao, le jeune maître Xu, au téléphone ce jour-là.

Le jeune maître Xu avait dit que la voiture que Xianrou et les autres avaient vue au Clubhouse Half Mountain appartenait à Jian Jin. Il avait même dit que Qiao Nian la connaissait peut-être.

À ce moment-là, il avait des doutes dans son cœur. L’une était une étudiante qui venait d’arriver à Pékin pour étudier, tandis que l’autre était un gros bonnet du quartier illégal. Il n’arrivait pas à faire le lien entre les deux.

Ce n’est qu’aujourd’hui que Jiang Zongnan eut l’impression qu’une vie entière s’était écoulée. Il resta là, hébété.

Il resta là une minute entière avant de tourner le cou avec raideur. Il se tourna vers Jiang Yao avec une expression confuse. « Qui penses-tu que Nian Nian soit vraiment ? »

Il était à Pékin depuis des dizaines d’années et pensait être bien informé et avoir vu de nombreuses scènes importantes. Maintenant, il sentait qu’il n’avait fait qu’entrevoir la pointe de l’iceberg de ce cercle !

Qiao Nian ne savait pas que Jiang Zongnan et son fils l’avaient croisée à l’extérieur. Elle n’avait enlevé ses écouteurs qu’après être entrée dans la suite et était entrée directement.

Jian Jin lui apporta un verre d’eau.

Elle la vit poser son sac et s’asseoir sur le canapé, puis se pencher et placer l’eau devant elle. Elle lui demanda en souriant : « Pourquoi as-tu demandé ma parure de jade ? Tu ne la porteras pas, de toute façon. »

« Pour la donner à quelqu’un. » Qiao Nian étira ses jambes, l’air décontracté. Elle cligna des yeux et dit : « À une aînée. C’est son anniversaire. »

Jian Jin était toujours bien informée.

Elle n’était arrivée dans le pays que depuis quelques jours, mais elle avait déjà rassemblé des informations sur toutes les familles importantes de Pékin.

Dès que Qiao Nian dit qu’elle voulait offrir du jade à une aînée pour son anniversaire, une personne apparut immédiatement dans son esprit : la fille aînée de la famille Ye, Ye Lan.

Elle fit la moue, mais ne posa pas de questions. Elle se retourna et entra dans la chambre.

Au bout d’un moment, elle sortit avec une boîte carrée qu’elle tendit à Qiao Nian. « Voici ce que tu voulais. »

Tout le monde disait qu’en période de troubles, l’or et le jade ne perdraient jamais leur valeur. Cet ensemble de jade n’était pas bon marché. S’il était mis sur le marché, il serait vendu pour au moins une somme à neuf chiffres.

Et il s’agissait bien d’un marché.

En fait, cet ensemble de jadéite qu’elle conservait précieusement était très rare. On peut même dire qu’il n’avait pas de prix. En d’autres termes, même si quelqu’un pouvait se l’offrir, il n’y aurait peut-être pas d’autres bijoux de jade teintés d’aqua sur le marché.

Mais Qiao Nian avait soudain dit qu’elle le voulait.

Que pouvait faire Jian Jin d’autre que de se séparer de son amour ?

Ses yeux sombres étaient très beaux, mais les traits de son visage paraissaient ordinaires lorsqu’on les mettait ensemble. Jian Jin portait toujours un singlet noir et avait un tatouage sur le bras. Elle avait l’air d’une mondaine. Elle s’appuya sur le canapé et tendit la boîte à Qiao Nian avant de dire nonchalamment : « Le quartier illégal n’a pas été paisible ces derniers temps. Fais attention. Quelqu’un te prend pour cible. »

Qiao Nian prit la boîte et l’ouvrit. Elle referma ensuite le couvercle et secoua son poignet. Elle lui jeta un coup d’œil surpris.

La connaissant depuis des années, Jian Jin comprit immédiatement ce qu’elle voulait dire. Elle haussa les épaules et dit : « Ne me regarde pas. Je ne sais pas qui t’en veut. Tout ce que j’ai entendu, c’est que quelqu’un veut ta peau. »



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