Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
A+ a-
Chapitre 110 : Sœur Nian offre des cadeaux comme le Père Noël
Chapitre 109 : Bon sang, c’est sauter une génération ! Menu Chapitre 111 : Le monde entier souffre, sauf toi

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Après avoir parlé, il se tourna vers Qiao Nian. Il tint les broches timidement et demanda : « Ma sœur, pourrais-tu m’aider ? Je ne sais pas comment la mettre. »

Mon cul ! pensa Jiang Li.

Tous les membres de la famille Ye étaient intelligents. Ye Qichen l’était aussi. Il était capable d’assembler un pistolet tout seul quand il était jeune. Qui pourrait croire à son mensonge ?

Cependant, Qiao Nian le crut. Elle s’approcha de lui et lui demanda doucement : « Lequel veux-tu mettre en premier ? ».

Ye Qichen sentit son cœur s’emballer en voyant Qiao Nian si proche de lui. Il commença à rougir en montrant la broche en forme de chat. Il dit alors : « Celle-là ».

Qiao Nian lui mit alors la broche. Elle l’avait même ajustée pour lui. Elle se leva ensuite et dit en souriant : « J’ai fini. »

Elle lui avait levé le pouce et avait dit : « Ça te va très bien. »

Ye Qichen sourit, et tout le monde pouvait voir sa joie. Il commença à toucher la broche avec attention. C’était comme s’il avait peur qu’elle ne lui aille pas. Il demanda nerveusement : « Vraiment ? Est-ce qu’elle est vraiment jolie ? »

Qiao Nian hocha fermement la tête et dit : « Tu peux demander à ton oncle. »

Ye Qichen lui obéit. Il se tourna vers son oncle et demanda : « Mon oncle, est-ce que j’ai l’air bien avec ça ? »

Ye Wangchuan regarda son orgueil et devint jaloux. Il réfléchit et répondit en souriant : « C’est bon. Tu devrais porter une plus jolie chemise la prochaine fois. »

« Ok. » Ye Qichen dit alors à Gu San, « Je devrais prendre une chemise de chat la prochaine fois. »

Gu San se sentit désolé pour Maître Ye. Maître Ye disait toujours au Petit Jeune Maître de porter des vêtements plus jolis. Mais il le rejetait car il pensait qu’il ne devrait pas porter de tels vêtements en tant que garçon.

Il n’était même pas prêt à porter des chemises avec des tigres. Pourtant, il était prêt à porter des chemises avec des chats.

Maître Ye était une âme si pauvre.

Jiang Li était jaloux et demanda à Qiao Nian, « Nian Nian, est-ce que les cadeaux sont seulement pour Chen Chen ? Et les miens ? »

Qiao Nian se souvint et répondit : « Oh, c’est vrai. J’ai acheté des cadeaux pour toi aussi. »

Ye Wangchuan prit un air sérieux. Même Jiang Li recevait un cadeau ?

Qu’en était-il de lui ?

Il fit la moue, se crispa et émit une aura froide.

Qiao Nian sortit trois boîtes des sacs. Comme si elle était le Père Noël, elle en donna une à chacun d’entre eux.

« Je les ai vues quand je faisais mes courses. Elles avaient l’air bien, alors j’en ai pris une pour chacun d’entre vous. »

Jiang Li pensait qu’il était le seul à avoir un cadeau. Cependant, lorsqu’il réalisa que Maître Wang en avait également un, il commença à se sentir mal. Bon sang, même Gu San en avait un !

Il ouvrit alors la boîte avec tristesse. Il s’agissait d’un bracelet sombre. Même si le design était simple, il pouvait voir qu’il était marqué.

Il ne se souvenait plus de quelle marque il s’agissait, mais il se souvenait qu’il n’était pas bon marché.

« J’en ai un aussi ? » Gu San fut choqué et prit le cadeau. Il le vit alors. Il était similaire à celui de Jiang Li. Il connaissait la marque. Il était aussi luxueux que Seven.

Il devait coûter des centaines de milliers de yuans.

Comment Mlle Qiao pouvait-elle avoir autant d’argent, était-ce un faux ?

Il se souvint qu’il y avait un magasin spécialisé dans la vente de faux articles. Beaucoup de jeunes filles y faisaient leurs achats. En effet, même si les marchandises étaient fausses, l’emballage était authentique et ressemblait à s’y méprendre à la marchandise réelle.



Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 109 : Bon sang, c’est sauter une génération ! Menu Chapitre 111 : Le monde entier souffre, sauf toi