Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1288 : Jiang Xianrou est giflée
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Les beaux yeux de Jiang Xianrou étaient froids. Elle ne voulait pas se disputer avec Jiang Yao et détourna le visage. Ses doigts s’enfoncèrent dans la courroie de son sac et elle répondit froidement : « Je comprends. Frère, tu n’as pas besoin de continuer. »

Jiang Yao pouvait voir à l’expression de son visage qu’elle était impatiente et qu’elle n’écoutait pas ses paroles. Jiang Yao ne put s’empêcher de secouer la tête. Il était impuissant, mais il ne pouvait rien faire pour sa sœur.

Par coïncidence, le feu rouge était passé au vert. Il ne dit plus rien à Jiang Xianrou. Il se contenta d’appuyer sur l’accélérateur.

À la résidence des Jiang.

Jiang Zongnan était rentré le premier.

Le domestique lui avait apporté du thé. Il enleva sa veste de costume et la jetta sur le canapé. En retroussant ses manches, il demanda à Mère Wang : « Où est Madame ? »

Il jeta un coup d’œil au deuxième étage. La maison était plutôt calme. On aurait dit qu’il n’y avait personne à la maison.

Mère Wang s’approcha respectueusement et ramassa le costume qu’il avait quitté. Entendant sa question, elle leva les yeux et répondit doucement : « Président Jiang, Madame n’est pas à la maison. Elle est sortie ce matin. »

« Encore absente ? » Jiang Zongnan fronça les sourcils par réflexe et cessa de retrousser ses manches.

Mère Wang n’était qu’une servante qui aidait la famille Jiang.

Elle baissa immédiatement la tête et resta là, n’osant rien dire. Elle se contenta de chuchoter : « Madame est peut-être sortie avec une amie pour se rendre au salon de beauté. »

Jiang Zongnan ne continua pas à demander. Il ne s’attendait pas à ce que Mère Wang sache où Tang Wanru était allée.

Il avait juste l’impression que Tang Wanru était sortie très souvent ces derniers temps. Elle n’était souvent pas à la maison pendant la journée et ne revenait que le soir. Il ne savait pas ce qu’elle faisait.

Cependant, il était marié à Tang Wanru depuis plus de 20 ans et leur relation avait toujours été harmonieuse. Jiang Zongnan n’y pensa pas trop. Il acquiesça et demanda à Mère Wang de s’occuper d’abord.

Il s’assit lui-même sur le canapé et but une gorgée d’eau dans son verre.

Il reposa la tasse et pressa l’espace entre ses sourcils. Il s’appuya ensuite sur le canapé pendant un moment avant de sortir son téléphone et d’appeler Jiang Yao.

« Allô, où es-tu et quand reviens-tu ? »

Lorsque Jiang Zongnan entendit Jiang Yao dire qu’il était avec Jiang Xianrou, qu’il était sur le chemin du retour et qu’ils arriveraient dans une dizaine de minutes, il tira sur son col et dispersa la colère brûlante sur son corps. Il dit à voix basse : « Je t’attendrai à la maison. Reviens vite ! »

Jiang Zongnan raccrocha. Après avoir hésité un moment, il trouva le numéro de téléphone de Jiang Zongjin et l’appela.

La personne au bout du fil lui répondit que le numéro qu’il avait composé n’était pas disponible.

Il raccrocha silencieusement et posa lentement le téléphone. Dans ses yeux sages et intelligents, il n’y avait que de l’impuissance et de l’épuisement…

Dix minutes plus tard, Jiang Yao et Jiang Xianrou arrivèrent enfin à la maison.

Dès que Jiang Yao entra, il vit son père assis sur le canapé, une tasse de thé devant lui. Il ne regardait ni la télévision ni le journal, comme s’il attendait leur retour.

Il changea ses chaussures pour des pantoufles à l’entrée et entra. Son beau visage était assez semblable à celui de Jiang Zongnan, mais comparé à l’homme d’une quarantaine d’années, mature et réservé, il paraissait plus jeune et plus flamboyant.

« Papa. » Jiang Yao se dirigea vers le salon et l’appela.

« Vous êtes de retour ? » Voyant les frères et sœurs entrer, Jiang Zongnan jeta son téléphone sur la table basse sans expression. Il se leva soudainement et ignora Jiang Yao en se dirigeant vers Jiang Xianrou et en la giflant.

Slap !

La gifle résonna dans tout le salon.

Mère Wang, qui était venue leur servir le thé, resta clouée au sol. Elle se couvrit la bouche et faillit crier.

Pourquoi le président Jiang avait-il frappé Mlle Xianrou ?



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