Le Salon de Discussion des Cultivateurs | Cultivation chat group | 修真聊天群
A+ a-
Chapitre 728 – Trésor magique : Tongs à Claques
Chapitre 727 – Incapables d’échapper à leur destin Menu Chapitre 729 – Ce sourire est trop laid, changez-en !

– « Cette fois, je vais essayer la Technique de Vol de la Reine des Abeilles ! » Le Vénérable Blanc fit un sceau avec sa main. La lumière de son épée s’étendit puis se changea en insecte doré qui s’envola dans le ciel.

Foncer sur son Épée volante était l’un de ses passe-temps favoris. Par conséquent, il avait étudié de nombreuses techniques pour augmenter sa vitesse, pour pouvoir s’amuser davantage encore. Il en connaissait de divers types, venant de toutes sortes de Sectes et Écoles. Ainsi, il pouvait filer joyeusement et à sa guise dans toutes sortes d’environnements.

Sa vitesse était encore plus élevée qu’avant.

Song Shuhang et Seize hurlaient sans cesse. Leurs voix résonnèrent dans le ciel pendant très, très longtemps…

Quant au Cultivateur Solitaire Rivière du Nord, il serrait les dents, il faisait de son mieux pour préserver sa dignité d’Aîné. Même si son visage était pâle comme la mort, il ne cria pas, pas même une seule fois.

Une dizaine de respirations plus tard, dans un sifflement intense…

– « Nous sommes arrivés ! » Le Vénérable Blanc rit et fit un nouveau sceau de la main. Peu de temps après, l’Épée volante descendait pour atterrir devant le magasin Au Doux Nuage Blanc. Il valida alors sa course sur l’application, de bonne humeur. « Dernier arrêt, tout le monde descend. Je dois prendre une autre commande, je ne peux pas faire les magasins avec vous. À tout à l’heure ! »

Après être descendu du véhicule… De l’effroyable Épée volante, Song Shuhang s’accrocha à un lampadaire. Tout son corps fébrile tremblait ; il ne pouvait même pas parler.

Juste après, Seize du Clan Su suivit. Elle se vautra également contre le même lampadaire avec lui, pâle comme la mort et très remuée.

Seul l’Aîné Rivière du Nord ne perdit pas sa composition. Il fit signe au Vénérable Blanc : « Merci, Aîné. À plus tard. »

– « À plus tard. Et n’oubliez pas mes cinq étoiles ! » répondit le Vénérable en s’éloignant. Il ne semblait pas se lasser de cette histoire de taxi. Nul ne savait combien de personnes subiraient encore son enthousiasme.

C’est vraiment dommage que le Véritable Monarque Grue Blanche ne soit pas venu à la Cité des Nuages Blancs. Il aurait été très heureux de passer la journée sur l’Épée volante du Vénérable Blanc, pensa Song Shuhang.

Une fois le puissant pratiquant partit, le Cultivateur Solitaire Rivière du Nord tapota ses jambes pour les forcer à cesser de trembler. Puis il fit signe aux deux jeunes gens. « Shuhang, Petit Seize, je vais acheter les accessoires de scène pour l’équipe de tournage. À plus tard ! »

Sans attendre leur réponse, il se mit à fuir.

Song Shuhang et Seize du Clan Su ne pouvaient que le regarder amèrement s’éloigner de plus en plus.

❄️❄️❄️

Environ 30 secondes plus tard.

– « Shuhang, ça va ? » Seize était toujours pâle comme la mort et elle n’avait pas encore récupéré de ce qu’elle avait ressenti plus tôt. Ses jambes tremblaient.

– « Je me sens un peu mieux, mais je n’arrive toujours pas à mettre de la force dans mes jambes. Et toi ? » Il sentait que son acrophobie s’était encore renforcée.

– « Je pense qu’il me faut encore une minute. »

Les deux se regardèrent et forcèrent un sourire, continuant à utiliser le lampadaire comme bouée de sauvetage en tremblant de tous leurs membres.

❄️❄️❄️

À ce moment-là, à côté du magasin Au Doux Nuage Blanc.

L’Érudit Grand Sabre… Non, l’Érudit Épée de Jade Su Wenqu sortit de la boutique en tenant plusieurs parchemins utilisés pour pratiquer la calligraphie.

Il avait quitté l’espace de repêchage infini cinquante minutes plus tôt et avait obtenu le Pinceau d’Adoration du Ciel et de la Terre. Par conséquent, il avait décidé d’acheter de quoi écrire.

Il vit une silhouette familière debout à côté d’un lampadaire non loin. Eh bien ! Ce Cadet sans sourcils ne serait-il pas celui qui a passé le test de la Poésie en Prose avec moi ? On dirait qu’il a finalement réussi à sortir ! Tant mieux.

Ainsi, il décida d’aller le saluer.

Mais après quelques pas, son cœur manqua un battement. L’homme sans sourcils – et la jolie fille sans aucun maquillage – étaient appuyés contre le lampadaire, leurs corps tremblants, pâles comme la mort.

Est-ce qu’ils viennent de recevoir un choc électrique ???

La Cité du Nuage Blanc avait profité de nombreuses découvertes faites par les mortels ; celles-ci avaient été combinées avec des techniques magiques, permettant de nombreuses avancées futuristes. Par exemple, ces lampadaires étaient alimentés électriquement. S’il était peu probable d’être électrisé, ce n’était pas impossible.

– « Estimés Daoïstes, ne vous inquiétez pas ! Je vais vous sauver immédiatement ! » Il jeta héroïquement sur le côté ses rouleaux et mit sa main dans ses vêtements, sortant un pinceau. Répondant à un geste de sa main, l’outil gonfla énormément.

Ensuite, sous les regards confus de Song Shuhang et de Seize du Clan Su, Su Wenqu frappa ; il jeta le pitoyable duo sur le sol.

La paire, dépourvue de la moindre force, n’avait eu aucune chance. Ils mordirent la poussière.

Après cela, ils relevèrent la tête et virent l’anxieux Su Wenqu courir vers eux.

– « … »

– « … »

Idiot !

– « Camarades Daoïstes, allez-vous bien ? Je ne m’attendais pas à ce que quelqu’un prenne un coup de jus à cause des lampadaires de notre Cité. Dès que je rentrerai chez moi, je demanderai immédiatement à quelqu’un de les vérifier tous, un par un. Il faut éviter qu’une telle chose ne se reproduise. » Rangeant son gros pinceau, il leur sourit et leur tendit la main.

– « … »

– « … »

D’accord, peut-être que ce type est, contre toute attente, une bonne personne.

– « Heureux de vous revoir, Estimé Daoïste Su Wenqu… Même si Seize et moi n’étions pas victimes d’une décharge électrique. » Le jeune homme attrapa la main tendue et se leva avec son aide.

Pas de décharge électrique ? Il demanda, perplexe : « Ah bon ?! Mais votre visage était pâle comme un linge, et vos corps tremblaient en tenant le lampadaire ! »

Seize lui expliqua : « Nous nous sommes sentis un peu étourdis après être montés sur une Épée volante et nos jambes ne nous portaient plus. Alors nous nous tenions à ce lampadaire, le temps de récupérer. »

Elle se sentait enfin mieux. Elle se leva seule et tapota ses vêtements.

Eh bien, la scène était plutôt embarrassante.

– « Je suis vraiment désolé ! Je pensais que vous aviez tous les deux reçu un choc électrique… » Après avoir entendu ces mots, l’Érudit Grand Sabre devint tout rouge. Il aurait aimé pouvoir se cacher !

Song Shuhang nota sa réaction. « Mais merci, cher Daoïste Su Wenqu, pour vos intentions louables. »

L’étudiant sentait qu’ils étaient étrangement liés par la fatalité… Chaque fois qu’il essayait de l’aider, il finissait involontairement par lui faire du mal. D’abord avec le repêchage, et là avec cette histoire de choc électrique.

❄️❄️❄️

Après avoir récupéré une partie de leurs forces, Song Shuhang et Seize dirent au revoir à Su Wenqu. Puis ils entrèrent dans le magasin.

Seize avait déjà repéré une paire de chaussures qu’elle aimait. Elle alla les chercher rapidement, le commerce correspondant à ce qu’elle avait vu dans le gros livre.

Par conséquent, très satisfaite, elle se dirigea vers la caisse.

– « Bonjour ! Combien coûte cette paire de chaussures ? »

La commerçante était une cultivatrice. Elle regarda la paire que tenait Seize et répondit : « C’est un nouveau modèle avec une technique flottante. Ça fera six pierres spirituelles de Troisième Rang. Chère Daoïste, payez-vous en espèces ou par carte ? »

– « En espèces. » Elle se prépara à sortir de quoi payer.

Cependant, Song Shuhang l’arrêta doucement. Il la trouvait trop gentille. Elle n’avait pas négocié !

Seize le regarda avec perplexité.

Il toussa un coup et dit : « Dites, est-ce que vous pouvez nous faire un prix ? »

En réalité, il n’avait pas non plus beaucoup d’expérience en matière de négociation. Le temps qu’il passait à faire des courses se réduisait de plus en plus, et il achetait généralement tout en ligne. Mais s’il pouvait baisser un peu la somme totale, cela en vaudrait la peine.

La femme leva la tête : « C’est à dire ? »

Une question plutôt gênante. Les rares fois où il négociait, Song Shuhang la craignait… Parce qu’il n’avait aucune idée de la valeur réelle de la marchandise et de la réduction à demander !

Devait-il essayer une réduction de 50% ?

Non, c’était trop. Après tout, ce n’était pas un petit stand. Alors un tiers ?

– « Quatre pierres spirituelles de Troisième Rang ? »

Mais elle fronça les sourcils. « Dans vos rêves ! Quatre pierres, c’est le coût de fabrication. Si je vous les vends à ce prix, je ne ferai même pas de profit. »

Au moins, elle était honnête.

Song Shuhang regrettait vraiment de ne pas avoir amené l’Aîné Blanc. Il n’aurait même pas eu besoin de marchander. Il l’aurait simplement laissé là, derrière lui, un sourire éclatant sur les lèvres. Elle aurait alors baissé d’elle-même le prix des chaussures en vendant à perte !

Toutefois, la vendeuse se figea. Une expression confuse naquit sur son visage, suivie d’un sourire éclatant.

– « Jeune homme, laissez tomber. Si vous voulez me donner quatre pierres spirituelles, qu’il en soit ainsi. Je vous fais un prix, spécialement pour vous ! Voulez-vous que j’emballe les chaussures ? »

– « Oui, merci ? » Il était incapable de comprendre ce qui se passait dans sa tête.

Ainsi, Seize du Clan Su ne déboursa que quatre pierres spirituelles de Troisième Rang pour acheter la paire qu’elle voulait.

La dame emballa les chaussures avec un sourire heureux, garantissant qu’elle remplacerait immédiatement le produit en cas de problème.

Song Shuhang cligna des yeux. Puis, il se retourna et regarda derrière lui. Cependant, ne Vénérable Blanc n’était pas là. Sans son sourire éblouissant, pourquoi la commerçante avait-elle soudainement changé d’attitude ?

– « Super. Shuhang, allons-y. » Seize prit son achat et sourit.

Le Roi Guerrier hocha la tête.

Au moment où ils étaient sur le point de partir, les yeux de Song Shuhang se posèrent sur l’un des présentoirs à chaussures. Il y avait là une sandale très intéressante. C’était une tong d’apparence ordinaire ; il n’y en avait qu’une seule au lieu d’une paire.

– « Dites, quelle est cette tong ? »

– « Oh, celle-ci ? Jeune ami, c’est un trésor magique en forme de chaussure qu’un maître forgeron de notre Cité des Nuages Blancs a créé… C’est une Tong à Claques. Elles étaient très populaires il y a quelques années, mais le nombre de personnes qui les utilisent a diminué récemment. »

Comme son nom l’indiquait, les Tongs à Claques n’avaient qu’une seule utilité. Lorsqu’elles étaient utilisées, elles s’envolaient pour gifler les autres.

🏆 Top tipeurs
  • 🥇1. Thomas
🎗 Tipeurs récents
  • Thomas


Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 727 – Incapables d’échapper à leur destin Menu Chapitre 729 – Ce sourire est trop laid, changez-en !