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Chapitre 503 – Alerte, Shuhang est sur le point d’exploser !
Chapitre 502 – Retrouver le professeur mis à genou Menu Chapitre 504 – Bref, allez dans l’espace !

Guoguo fit un pas en avant et regarda le pit-bull droit dans les yeux : « Ferme ta gueule, chien stupide ! Si tu oses aboyer à nouveau, cet humble moine te montrera à quoi ressemble un Bouddha en colère ! »

Dommage, pour le chien, c’était du chinois. Là-dessus, il aboya plus fort.

Ouaf ouaf ouaf ouaf !

Il montra les crocs.

Le professeur Smith essaya à la hâte de le faire reculer en tirant sur sa chaîne. Il avait peur de voir le clébard idiot mordre et blesser les enfants. Il ouvrit la bouche pour suggérer à Song Shuhang d’emmener les enfants et de s’en aller.

Il n’en eut pas le temps. Il vit le petit moine prendre une profonde inspiration et rugir. « Ouaf ouaf ouaf ! »

Ouaf ouaf ouaf ouaf ! Le pitbull ne montra aucune faiblesse.

Le petit moine continua : « Ouaf ! Ouaf ouaf ! Ouaf ouaf ouaf ! »

Il fourra toute la glace dans sa bouche ! Il était sur le point de devenir vraiment sérieux.

Le pit-bull également. Ouaf ouaf ouaf ouaf !

Sans le fait que son maître, ce britannique à l’air faible, était en réalité musclé, il aurait déjà sauté sur l’enfant tous crocs dehors.

Une vive soif de sang monta de Guoguo.

Il utilisa la compétence innée de son Acupoint de l’Oeil, puis il hurla : « Ouaf ! »

Le pit-bull voulut riposter avec un autre aboiement. Mais alors, il vit une scène effrayante.

Une scène… monstrueuse.

Une centaine de félins multicolores l’entouraient. Si ces chats étaient ordinaires, il n’aurait pas eu peur, même en en rajoutant 200 de plus.

Cependant, ceux-ci étaient un peu… gros. Ils mesuraient deux mètres de long et miaulaient continuellement. Leur carrure n’était pas différente de celle d’un tigre. Étaient-ce encore des chats… ?

De plus, il vit un chaudron rempli d’épices. Un pit-bull bouillait à l’intérieur. Il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Il avait été dépecé et jeté là.

C’était un diabolique bouillon de chien !

Les énormes félins bondissaient comme des tigres… Après tout, ils en avaient la taille !

Une scène extrêmement effrayante.

Le pit-bull se figea. Il se mit à trembler.

Quel était cet endroit ? Était-ce l’enfer ?

❄️❄️❄️

Le professeur Smith vit son chien incroyablement agressif se raidir.

Wuwuwu… L’animal cria étrangement, comme si quelqu’un lui avait donné un coup de pied dans les noix. Il se ratatina sur lui-même et s’effondra sur le ventre en tremblant.

Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Est-ce que j’ai raté quelque chose tout à l’heure ?

L’anglais était incapable de comprendre ce revirement. Pourquoi son chien féroce était-il soudainement devenu un chaton effrayé ?

Ou peut-être qu’aboyer follement sur un chien, tout comme ce petit moine, est le secret pour le dompter… Dois-je essayer la prochaine fois que je rencontre un sale cabot agressif ?

Non, ce n’est peut-être pas la meilleure des idées. Si je n’arrive pas à l’impressionner et que je me fais mordre, ce sera bien dommage.

– « Professeur Smith, je suis désolé. Cet enfant a été très impoli. Ahaha… Bref, bonne promenade. Je dois ramener ces deux enfants à la maison, » déclara Song Shuhang, gêné. Ensuite, il pensa à autre chose et ajouta : « Au fait, si possible, puis-je vous accompagner le moment venu pour voir comment une équipe de tournage filme une scène ? »

Après tout, il prévoyait de faire de même ! Par conséquent, il voulait se frotter au métier pour se faire une idée générale de ce qui l’attendait.

– « Bien sûr. Je préviendrai mon vieil ami. Le moment venu, vous pourrez venir regarder. « Attention cependant à ne pas les déranger ! »

– « Bien sûr. Merci, monsieur ! »

Ils se séparèrent.

Song Shuhang partit avec Li Yinzhu et Guoguo.

Par contre, le professeur dut annuler son projet de balade. Son féroce bâtard gisait toujours par terre, tremblant. Le trio était pourtant déjà loin, mais il continuait à gémir.

L’homme tint son menton entre ses doigts. « Même les chiens féroces ne sont pas fiables de nos jours. Je le savais. J’aurais dû acheter un puissant pékinois. Non seulement ces chiens sont très mignons, mais leur violence au combat n’est plus à démontrer. »

Hum, c’est ça. Dès mon retour, je prends un joli petit pékinois.

Ensuite, il tira sur la laisse et traîna le pit-bull frissonnant. C’était incroyable… Quand il avait été mordu par son chien la dernière fois, une étudiante lui avait donné un étrange médicament. Le plus bizarre était qu’il l’avait avalé avec plaisir, sans même vérifier ce dont il s’agissait. Depuis – était-ce son imagination ? – il se sentait particulièrement puissant.

Il avait acheté le berger allemand parce qu’il avait estimé que sa force avait beaucoup augmenté. Là, il était même capable de traîner le pit-bull derrière lui.

Il n’avait jamais revu cette étudiante après cet événement.

– « Bah ! Je réfléchis trop. Je vais contacter l’animalerie et leur demander de me réserver un puissant pékinois. »

❄️❄️❄️

26 juillet. Song Shuhang passa toute la journée avec les deux enfants. Il les emmena partout dans la ville se promener.

Dans l’après-midi, il accompagna sa mère chez plusieurs amis et parents pour leur offrir un peu de riz spirituel.

Quand le soir vint enfin, il sentit une certaine lassitude. Même s’il n’avait pas fait grand-chose, il était toujours très fatigué…

Marcher toute la journée était demandeur en énergie.

Demain, j’emmènerai Guoguo et Li Yinzhu dans une librairie. Je m’y accroupirai tout l’après-midi et je lirai gratuitement ! Je suis sûr que ça me requinquera !

Tard dans la nuit, alors que tous dormaient. Le logement était assez spacieux. Guoguo et Li Yinzhu avaient chacun une chambre.

Seule Yu Jiaojiao était dans la même pièce que Song Shuhang. Après tout, il ne pouvait pas lui en préparer une.

Pendant la nuit, il fit un rêve.

Cependant, cela n’avait rien à voir avec le pays des rêves. Bien que cette capacité s’était fréquemment activée… C’était exceptionnel.

Song Shuhang rêvait de nourriture.

Mort de fatigue, il avait mangé deux bols pleins de riz. Mais vers minuit, ses puissantes capacités digestives s’activèrent et transformèrent le tout en énergie.

C’était ainsi. La Technique de la Baleine Avaleuse était impressionnante au niveau maître. Elle renforçait considérablement les dents et les capacités digestives. Celui qui avait développé cette technique devait sûrement être un génie parmi les cultivateurs. Elle offrait à quelqu’un la possibilité d’absorber des cristaux de bêtes spirituelles sans rien laisser. Alors du riz spirituel ou de la nourriture ordinaire ?

Ainsi, peu de temps après qu’il s’était étendu sur son lit, son estomac influencé par la Technique de la Baleine Avaleuse se manifesta.

– « J’ai faim… »

Cette pensée résonnait continuellement dans son esprit.

Parfois, les gens rêvaient de choses auxquelles ils aspiraient fortement dans leur vie, et leurs souhaits étaient exaucés dans leur sommeil.

Par exemple, si quelqu’un dormait et avait besoin d’uriner, il rêverait probablement d’aller aux toilettes. Le pire était que si on rêvait de faire pipi, on en profitait, comme si on pouvait se sentir soulagé pour toujours. Et plus on se relâchait, plus l’envie devenait forte. Ce rêve était la principale raison pour laquelle de nombreux enfants mouillaient leur lit.

Suivant ce principe, si l’on rêvait de nourriture et de gourmandises, c’était probablement parce qu’on avait faim. Toutes sortes de plats délicieux apparaissaient dans le songe : poisson, porc, ragoût, etc. Tous les types d’aliments auxquels on pouvait penser s’y invitaient.

Et tout comme on ne pouvait pas arrêter de faire pipi… Le dormeur n’arrivait pas à satiété, peu importait à quel point il se goinfrait dans son rêve.

Il n’en avait jamais assez.

Plus il mangeait, plus il avait faim.

Song Shuhang était dans une situation similaire.

Mouton rôti, bifteck tendre, une marmite entière de riz spirituel, des crevettes fraîches décortiquées de la taille d’un poing, des centaines de plats chinois différents, toutes sortes d’ingrédients ; il y avait même de la nourriture qui n’était apparue que dans les légendes et les mythes.

Il mangeait de toutes ses forces, sans pouvoir se rassasier. Au contraire, il avait de plus en plus faim. Il avait l’impression que ses sucs gastriques allaient faire fondre son estomac.

J’ai mal… Peu importe ce que c’est, j’ai envie de manger. Même du pain rassi me convient !

Alors que cette pensée traversait son esprit, Song Shuhang découvrit qu’il y avait quelque chose dans sa bouche. Il semblait avoir inconsciemment trouvé quelque chose à se mettre sous la dent.

C’était très dur, et ses gencives lui faisaient un peu mal.

Cependant, cela n’avait pas d’importance. Même si cette chose était difficile à manger, ce n’était pas un problème. Il avait la Technique de la Baleine Avaleuse ! Il pourrait la briser en petits morceaux et digérer l’ensemble facilement !

Technique de la Baleine Avaleuse !

Je vais te manger. Peu importe ce que tu es, penses-tu pouvoir m’échapper après être entré dans ma bouche ?

Chose stupide, je vais t’écraser sous la force de mes dents d’acier !

Crack ! L’objet céda.

Ça a le goût de viande de mouton. C’est plutôt bon.

Il déglutit.

Ce truc dur qui avait un goût de viande de mouton tomba dans son estomac.

C’était bon. Il sentit son ventre déborder d’énergie et être rassasié. Il n’avait plus faim.

Ce rêve de banquet somptueux disparut sans laisser de traces.

Quelle bénédiction ! Parfois, même un morceau de pain sec était une joie pour un homme affamé. Il était si facile d’être heureux.

Mais étrangement, Song Shuhang sentit que quelque chose n’allait pas.

Il avait l’impression que son dantian avait atteint ses limites… Et il gonflait encore !

Cette sensation se répandit dans l’ensemble de son corps.

Comme s’il était sur le point d’exploser.

Il y a quelque chose qui ne va pas !

Il pensa soudainement à une possibilité effrayante…

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