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Chapitre 272 – Il sait vraiment parler aux femmes !
Chapitre 271 – Difficile de transmettre les bases aux indigènes Menu Chapitre 273 – Je vais devoir aller les chercher personnellement !

Lorsque le Maître du Palais au Talisman des Sept Vies avait appris les caractères chinois, le pinyin n’existait pas. Par conséquent, quand il avait essayé de transmettre aux autochtones la comment lire et écrire, il s’était basé sur sa propre expérience.

Il n’avait jamais pensé à quelque chose comme le pinyin… Et encore, les indigènes avait eu de la chance de ne pas avoir à apprendre les caractères chinois traditionnels !

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « Eh bien… maintenant que je pense à cette méthode, je me sens très enthousiaste. Je vais faire l’essai, et si cela ne fonctionne pas, j’attendrai que Lune Droguée… Pardon. J’attendrai que le cultivateur Lune Droguée m’expédie un professeur. »

Après avoir fini de taper, il semblait soudainement se rappeler quelque chose.

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « Bien ! S’il ne trouve personne, expédiez-vous vous-même, jeune ami Shuhang. Et apportez le Cristal du Dieu de Sang pendant que vous y êtes. Vous m’aiderez à enseigner le pinyin à ces indigènes. N’est-ce pas une idée géniale ? »

Song Shuhang était sans voix.

Ai je dit quelque chose de mal ? Pourquoi ai je l’impression d ’avoir creusé ma propre tombe ?

Mais je n’ai fait que suggérer d’utiliser le pinyin !

Non ! J e dois sauver ma peau

Et si l ’Aîné Lune Pétée ne parvient pas à trouver un professeur ? De ce qu’il en savait, le Maître du Palais au Talisman des Sept Vies pouvait simplement voler pendant plusieurs jours sans s’arrêter pour le rejoindre, l’envelopper dans une couverture, et l’emmener sur cette île paumée au milieu de l’océan afin de lui faire enseigner le chinois aux autochtones.

Quant à l’Aîné Blanc à côté de lui, il ne s’attendait pas à un coup de main… Il jugerait certainement que ce pouvait être amusant et finirait avec lui sur cette île.

Song Shuhang estimait que ses chances de s’en tirer étaient faibles. Cette simple pensée était effrayante.

Surtout quand il tourna la tête et croisa le regard du Vénérable. Peut-être se faisait-il des idées, mais les yeux de ce dernier semblaient rayonner d’intérêt à l’idée de croiser des indigènes sur une île pas si déserte que cela.

Non non non ! J e dois trouver une échappatoire !

Il se creusa la tête à l’énergie du désespoir. Soudain, une idée lui vint. « Aîné Sept Vies, j’ai une astuce ingénieuse pour enseigner le pinyin. Vous pouvez la retrouver sur Internet… Il s’agit de la chanson de l’alphabet Hanyu Pinyin ! Il vous suffira de leur faire répéter le matin, le soir, au moment des repas, même lorsqu’ils vont aux toilettes. Faites cela pendant une ou deux semaines et les indigènes seront capables de maîtriser le pinyin ! De plus, je me souviens que les gens qui mènent une vie tribale primitive aiment beaucoup danser ! Aîné, vous pouvez chercher une chorégraphie en ligne facile à apprendre et l’adapter à la chanson. Faites les chanter et danser tous les matins ! Puisqu’il leur faut bouger, cela peut piquer plus facilement leur intérêt ! »

Après avoir fini de taper tout cela d’une traite, Song Shuhang soupira.

Je suis désolé, camarades autochtones… Mais ce lavage de cerveau n’est pas si mauvais. Il accroîtra votre savoir. Et puis, vous pourrez même danser tous ensemble sur l’avenue principale ! Vous savez, ce genre d’activité est vraiment populaire en Chine… chez les femmes âgées.

Les yeux de son interlocuteur s’illuminèrent immédiatement.

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « Ooooh, il existe même un truc pareil ! Incroyable ! Comparé à ma méthode moisie, une chanson est plus marquante, il leur sera facile de retenir les bases ! »

Song Shuhang décida de battre le fer pendant qu’il était chaud. « Une fois que vous leur aurez enseigné le pinyin, les caractères chinois seront du gâteau. Et puis, je pense qu’avec ces indigènes, il n’est pas utile d’employer aveuglément des techniques d’enseignement trop strictes, comme taper sur les doigts ou les pendre à des arbres la tête en bas avant de les cogner. La carotte et le bâton. Proposer des récompenses plutôt que seulement des punitions les motivera à se dépasser ! »

La manière d’appeler ces individus ne lui plaisait pas particulièrement, cependant rien d’autre ne lui venait.

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « La carotte et le bâton ? Vous avez raison ! Le jeune ami Shuhang est réellement un jeune homme, vous faites preuve d’une telle souplesse. »

Il était réellement impressionné par sa proposition et sentait que son idée était excellente.

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « Quand à la limite entre récompenser et punir, pouvez-vous développer votre point de vue ? »

Vénérable Blanc : « Par exemple, vous pouvez récompenser les meilleurs en leur donnant deux ou trois choses qu’ils apprécient. Quelques armes un cran supérieures aux leurs ? De quoi pêcher ? Des objets modernes comme une lampe de poche ? Quant aux plus nuls ou aux réfractaires, réfléchissez à une manière de les discipliner, comme les priver d’un repas. Comparé à des coups de poings, peut-être qu’être affamés effraiera plus ces indigènes. Ne les frappez pas systématiquement, sur les doigts ou ailleurs. Utiliser toujours la même méthode en réduit petit à petit l’efficacité. »

Même si je ne les ai jamais rencontré… C’est tout ce que je peux faire pour eux. J’espère que mes suggestions pourront les aider à passer cette épreuve sans trop souffrir…

Entre avoir faim et se faire cogner, la première situation est préférable, non ?

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « C’est juste, je vais essayer. Je peux en plus leur faire passer un petit test tous les trois jours, ainsi qu’un examen tous les cinq. Les plus nuls seront privés de nourriture, et les meilleurs auront une récompense. Plus tard, je pourrai même leur demander de faire des rédactions. Les plus mauvais seront cognés ! Ah ! Génial. »

Song Shuhang grimaça en imaginant une bande d’individus noirs vêtus de peaux de bêtes, assis devant une table, prêts à passer une épreuve du Cours Moyen que le cultivateur aurait trouvé sur internet. Anxieux, ils écriraient à toute vitesse un paragraphe sur le thème : “Si j’étais un oignon vert.”

Il n’aurait jamais cru que l’Aîné voudrait leur faire passer des examens. Aimait-il les voir souffrir ?

Ne me dites pas que j’ai fait une bêtise et que j’ai aggravé leur situation ?

Maître du Palais au Talisman des Sept Vies : « Je le sens bien, je vais immédiatement faire l’essai. Je vais commencer par leur faire écouter la chanson de l’alphabet pendant 10 jours d’affilée. Jeune ami Shuhang, quand il y aura des résultats visibles, pourrais-je vous recontacter ?!? »

Puis il se déconnecta.

Quelques instants plus tard, quelqu’un revint à la vie.

Cultivateur Solitaire Rivière du Nord : « 😅 De nos jours, il est impossible de mener une vie paisible et heureuse, même en étant aussi éloigné de tout. »

Fée Litchi : « En fait, la situation est plus grave encore… Avez-vous lu la lettre qu’il a envoyé la dernière fois ? Son activité de prédilection est de rédiger des talismans. Son écriture est indéchiffrable. Il m’a fallu beaucoup de temps pour comprendre ce qu’il voulait à ce moment-là. S’il veut leur apprendre à lire et qu’il écrit personnellement les caractères… Vous imaginez le traumatisme ? »

Maître Praticien : « Ils doivent passer un sale quart d’heure ! »

Roi Chanceux Dharma : « Érudit Étoile Pétée, vous devez leur trouver un bon professeur ! »

Érudit Lune Grisée : « … Étoile Pétée ? Non, c’est Lune Grisée ! Avant vous ne vous trompiez que sur un seul mot, maintenant c’est sur les deux ! »

Roi Chanceux Dharma : « Mes excuses, estimé Daoïste Lune Grisée. En fait, j’ai une idée. Pourquoi ne pas changer de nom de Dao ? Lune Droguée, c’est pas mal. Je pense que tout le monde s’en souviendra plus facilement. »

Fée Litchi : « Lune Droguée +1. »

Maître Praticien : « Lune Droguée +1. »

Véritable Monarque Mont Jaune : « Lune Droguée +1. »

L’ensemble des Aînés suivirent le mouvement.

L’Érudit Lune Grisée soupira. Il aurait voulu pouvoir les accrocher à une enclume et les jeter au beau milieu de l’océan !

❄️❄️❄️

Song Shuhang se retenait de sourire en quittant la fenêtre du logiciel.

Il soupira : « J’espère que cette manière de faire fonctionnera pour l’Aîné Sept Vies. »

À côté de lui, le Vénérable Blanc éclata de rire : « Que ça marche ou pas, ce n’est pas un problème. En fait, je suis curieux de voir comment il s’y prend pour leur apprendre le chinois. Et une île perdue est attirante également. »

Il commençait à avoir des idées dangereuses !

– « Aîné Blanc ! J’ai à l’esprit un endroit beaucoup plus intéressant. Dans deux jours… Mes amis m’ont invité à venir avec eux en voyage jusqu’à un parc sur une île en mer de Chine Orientale. Il y a même une croisière de luxe de 5 jours de prévue ! Aîné, cela vous tente ? »

Il tentait de lui trouver une nouvelle cible. Sinon, il avait peur que le Vénérable ne l’embarquât en pleine nuit pour une course d’Épée volante jusqu’à l’Aîné Sept Vies !

Il avait visé juste. En entendant parler de “parc” et de “croisière de luxe”, son attention fut captée. Tout excité, il demanda : « Si c’est le genre de parc auquel je pense, y aura-t-il des montagnes russes ? Des dizaines de manèges ? Des Turbo Drop ? Des bateaux pirates ? Des grandes roues ? Des Top Buzz ? »

Pourquoi semblait-il préférer ce qui pouvait être le plus effrayant ?

– « Oui, bien sûr ! Sans aucun doute ! » Il se frappa la poitrine, assuré. Il devait bien y avoir ce genre d’attractions là-bas.

– « Alors allons-y immédiatement ! »

– « Aîné Blanc, inutile de se presser. Nous partons dans deux jours… Entre-temps, il faut attendre le retour de Doudou et du petit moine. »

– « Leur retour ? Oh ! C’est vrai, vous m’avez dit que le pékinois s’est encore enfui. »

– « Oui… »

– « Bon, c’est d’accord. C’est parti pour deux jours d’attente, » accepta-t-il à contrecœur.

– « Super. Aîné Blanc, commençons par aller manger. Ensuite, comme nous avons du temps, je vous emmènerai à la Montagne Yuyu, qui est toute proche. C’est le moment de la récolte des baies de myrica, il y a un endroit où on peut aider tout en en mangeant à volonté. »

– « Ça marche ! » s’exclama-t-il, brusquement bien plus enthousiaste.

❄️❄️❄️

Les deux discutèrent en se rendant à la cuisine. Ils voulaient voir si Madame Song leur avait préparé quelque chose.

Là-bas, celle-ci finissait de préparer des chaussons aux pommes faits maison. En entendant leurs bruits de pas, elle se retourna.

– « Salut maman. Je vois que tu prépares de bonnes choses. »

– « Arrête, je viens juste de finir la préparation. Comme je ne savais pas à quelle heure vous alliez vous lever, je n’ai pas encore eu le temps de passer à la cuisson. Bonjour Song Bai. Vous êtes debout tôt aujourd’hui, c’est rare ! »

Le Vénérable acquiesça. « Oui, bonjour jeune fille. Vous devez être la mère du jeune ami Shuhang. Effectivement, la nuit a été courte ! »

Jeune fille ?

Comment m’a-t-il appelé ?! Confuse un bref instant, elle finit par sourire. « Shuhang, après une nuit, ton ami est transformé. Il sait vraiment parler aux femmes ! »

Son fils resta silencieux.

Quant au Vénérable, il eut l’air perplexe. Est-ce que je viens de faire une bêtise ?

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