Les quartiers de Fanny avoisinaient ceux d’autres grandes enseignantes sombre. Cependant, il y avait encore un peu de distance entre elles. Ses perceptions sensibles pouvaient clairement lui permettre d’entendre des voix dans le dortoir du professeur. On aurait dit que les autres professeurs de la gente féminines ne dormaient pas encore cette heure-ci.

Tous les professeurs de l’académie de Babylone étaient extraordinairement forts. Lorsque Han Shuo approchait, il dissimulait délibérément sa présence et ralentissait même son rythme cardiaque.

Juste au moment où Han Shuo arrivait devant la porte de Fanny et était sur le point de tendre la main pour frapper, la porte s’ouvrit soudainement. Fanny portait un pyjama en soie sur sa peau blanche comme la neige apparut sur sa poitrine. Elle portait le collier de rubis que Han Shuo lui avait donné, affichant davantage sa beauté.

«Bryan, qu’est-ce que vous faites ici si discrètement ?» Fanny était un peu mécontente en regardant Han Shuo.

En regardant autour de lui, Han Shuo demanda : «Eh, comment avez-vous su que j’étais ici ?»

«J’ai senti que quelqu’un me suivait ces derniers temps et je suis devenu méfiante. J’ai lancé «Reconnaissance de la Vie» devant la porte et je vous ai découvert dès votre arrivée !.»

Fanny roula des yeux vers Han Shuo et disait cela de mauvaise humeur en le voyant jeter un regard fuyant autour de la zone.

«Maître Fanny, puis-je entrer ?» Après tout, ce n’était pas très pratique de se tenir debout et de parler à la porte. Ajoutez à cela que plusieurs professeurs n’étaient pas encore endormis, ce serait une mauvaise chose s’ils étaient vus.

Qui savait que lorsque Han Shuo prononçait ces mots, les charmantes joues de Fanny rougissaient légèrement. Fanny hésita, puis tendit la tête pour regarder autour d’elle, et fit renter Han Shuo avec un visage rouge et fermant la porte à la hâte.

Han Shuo découvrit que la pièce était remplie de féminité quand il entra dans la chambre de Fanny. Des drap de lit roses, des tables et des tapis propres et soignés, ainsi que des décorations élégantes témoignaient de l’identité féminine du propriétaire de la pièce.

Une pensée le frappa soudainement, Han Shuo se souvint que dans son monde originel, les jeunes filles ordinaires ne laisseraient pas facilement les étrangers entrer dans leur chambre. La chambre de chaque fille était la fenêtre de son âme. On ne pourrait pas entrer sans son acceptation. Quand ses pensées émergèrent dans son esprit, des émotions grandirent dans le cœur de Han Shuo alors qu’il regardait Fanny avec un regard brûlant.

«Que regardez-vous ? Où étiez-vous donc passé ces derniers jours ? Il y aura un test dans quinze jours et vous devrez participer, sinon les autorités de l’école auront le pouvoir de vous expulser.» Fanny lança un regard vicieux à Han Shuo en voyant son regard chaud et gêner, puis elle sembla penser à quelque chose et tourna le dos à Han Shuo, enlevant le collier de rubis de son cou blanc comme neige.

«Je sais. Je suis venu vous trouver cette fois pour vous poser quelques questions concernant la connaissance magique. Hein ? Pourquoi avoir enlevé le collier que je vous aie offert ? Je vous trouve pourtant très belle et bouleversante quand vous portez ce collier.»

«Ce ne sont pas tes affaires. Il fait déjà nuit, j’ai enlevé le collier pour me reposer. Si tu veux te renseigner sur la connaissance magique, alors viens me trouver au labo demain dans la journée. Il fait déjà nuit, il ne sera pas prudent que quelqu’un découvre que vous êtes là.»

Fanny regarda Han Shuo, d’un mauvais œil.

Des pas retentirent à l’extérieur de la chambre à ce moment, et ils étaient déjà arrivés devant la porte de Fanny en un clin d’œil. «Maître Fanny, vous n’êtes pas encore endormie, puis-je

entrer ?»

C’était vraiment ce qui pouvait arriver. Fanny et Han Shuo se regardèrent, leurs visages immobiles. Fanny jeta alors un regard vicieux à Han Shuo et tendit la main pour faire un mouvement de silence. Elle ouvrit la bouche et dit : «Maître Camilla, un instant, je vous ouvrirai bientôt la porte !»

Après que Fanny eut parlé, elle se mit soudain à se promener dans la pièce, ses yeux patrouillant partout. On aurait dit qu’elle essayait de trouver une cachette pour Han Shuo. La chambre de Fanny n’était pas trop grande, il ne semblait pas y avoir un endroit capable de cacher le corps de Han Shuo. Dans son anxiété, Fanny vit soudain sa chambre et la pointa du doigt pour montrer a Han Shuo, son visage charmant plein de joie.

Voyant que Fanny était si anxieuse, Han Shuo haussa les épaules et suivit ses désirs, se levant du côté de la table et se dirigeant vers son lit avec les rideaux roses. Il sauta sur le lit de Fanny avec un «whoosh», une expression de grande joie apparaissant sur son visage.

Après avoir marché jusqu’à la porte, Fanny était sur le point d’ouvrir la porte quand elle fut extrêmement surprise après avoir tourné la tête. Sa bouche s’ouvrit sans bruit, sa main droite pointa frénétiquement vers le bas du lit. Il semblait qu’elle voulait que Han Shuo se cache sous le lit, mais Han Shuo avait eu une mauvaise interprétation de la demande de la jeune femme et s’était déjà posé sur lequel Fanny n’avait jamais laissé D’autres hommes se poser dessus auparavant.

«Maître Fanny, dépêchez-vous d’ouvrir la porte !» Camilla se tenait devant la porte et pouvait déjà voir de la lumière et que Fanny était à la porte. Elle ouvrit la bouche et attendit avec impatience devant la porte de Fanny.

Allongé sur le lit, un merveilleux parfum flottait autour de lui, Han Shuo ignora l’anxiété de Fanny qui donnait des indices près de la porte et sourit en défaisant les rideaux du lit, prenant les couvertures parfumées de Fanny en couvrant son corps.

Fanny grinça des dents avec colère en ce qui concernait les actions de Han Shuo, mais Camilla continuant à se dépêcher devant la porte ne laissa à Fanny d’autre choix que d’ouvrir la porte de la chambre et de faire semblant d’être calme. Elle sourit et répondit : «Maître Camilla, pourquoi êtes-vous venu me trouver si tard dans la nuit ?»

Camilla était une Mage Adepte de la branche de Magie Noir et était déjà d’âge moyen. Son apparence ne pouvait être décrite que comme ordinaire. Lorsqu’elle entra dans la chambre de Fanny, elle s’assit automatiquement à côté de la table et dit : «Votre Branche de Nécromancie a vaincu la branche de Magie de Lumière lors des épreuves de la Forêt Noire la dernière fois. Cela nous a donné beaucoup de visage. Notre Branche se rendra bientôt aux épreuves. Je suis ici pour vous demander des trucs et astuces !»

«Quels trucs et astuces ? Notre Branche de Nécromancie a seulement réussi à traquer ces créatures magiques la dernière fois simplement parce que nous avons eu de la chance. Maître Camilla, vous êtes dans la branche de Magie Noir depuis de nombreuses années et avez emmené les étudiants à de nombreuses sorties. Vous devriez être très expérimenté, je pense que vous demandez à la mauvaise personne en venant me voir». Fanny se sentait mal à l’aise avec Camilla dans la pièce, ayant peur qu’elle puisse découvrir la présence de Han Shuo.

Plus elle s’inquiétait, plus son regard se posait sur le bord de son lit. Elle continua de surveiller les mouvements de son lit, craignant que Han Shuo n’émette des bruit et n’attire l’attention de Camilla.

«Les draps de lit de Maître Fanny sont très jolis, où les avez-vous achetés ?» Camilla se leva soudainement et se dirigea vers le lit de Fanny, les yeux rivés sur les rideaux de lit de Fanny et une expression d’extrême intérêt apparut sur son visage.

Son cœur trembla alors que Fanny se rapprochait rapidement, arrivant devant Camilla et s’assit pour bloquer la ligne de vue de la jeune femme. Sa colonne vertébrale droite, elle a dit à la hâte. «Si Maître Camilla les aime, alors vous pouvez aussi les acheter. Une pièce d’or devrait suffire. Hum…».

Le lit de Fanny n’était pas très grand pour commencer, Han Shuo était déjà à plat contre le mur alors qu’il était allongé sur le côté. Dans sa hâte, Fanny s’assit brusquement sur le lit et plaça ses fesses sur le dos de la main gauche de Han Shuo. Lorsque Fanny arriva à la fin de ses explications à Camilla, son «hum» de lumière expliqua qu’elle sentait que les choses étaient inappropriées.

«Vous l’avez donc acheté à la boutique de Mier, pas étonnant que ce soit si joli. Dommage que je sois vieille et pas aussi belle que Maître Fanny. Si j’achète ces rideaux, je serai sûr d’être moqué derrière mon dos.»

Les fesses bien rondes de Maître Fanny étaient assises sur le dos de la main de Han Shuo. Han Shuo ressentait cette sensation merveilleuse alors que son cœur ressemblait à un singe et son esprit était comme un cheval au galop. Juste au moment où il appréciait la sensation, il sentit soudainement que la sensation merveilleuse sur le dos de sa main n’était plus là. La déception s’éleva du cœur de Han Shuo alors qu’il se faufilait prudemment un sommet. Il découvrit que le corps de Fanny restait toujours dans la même position, mais avait utilisé les muscles de sa taille pour soulever légèrement son magnifique derrière.

L’endroit où Fanny était assise venait de bloquer la vue de Camilla. Si Fanny bougeait son corps, il était très probable que Han Shuo soit découvert. Fanny sentait clairement qu’elle était assise dans un endroit où elle n’aurait pas dû s’asseoir, mais ne pouvait pas bouger son corps et ne pouvait que soulever ses fesses pour éviter que Han Shuo ne profite d’elle.

En regardant de dos, Han Shuo pouvait voir une rougeur se glisser sur le cou de Fanny, les épaules fines et le dos délicieux. Parce qu’elle avait resserré son corps, les courbes de Fanny étaient pleinement visibles et son derrière bien rond apparaissait complètement dans la vue de Han Shuo.

Han Shuo n’avait aucune idée de ce que Fanny et Camilla avaient dit après. Son regard lubrique parcourut avidement le corps de Fanny. En tant que mage, il était très difficile pour Fanny de maintenir sa position similaire à celle d’un cheval. Son corps se mit à trembler après un moment. Peut-être était-ce parce qu’elle ne pouvait plus tenir, ou sentait que Han Shuo aurait dû déplacer sa main de la zone de la ou elle se trouvait, le corps de Fanny se détendit et ses deux fesses tombèrent alors qu’elle s’asseyait à nouveau.

Un léger gémissement fut émis de la bouche de Fanny. Han Shuo passa du dos de sa main vers sa paume vers le haut. Ses doigts se recroquevillèrent vaguement sous la pression des fesses de Fanny, s’enroulant dans l’espace entre elles, poussant immédiatement Fanny à crier légèrement alors qu’elle ne pouvait pas supporter la sensation entre son fessier.

«Maître Fanny, vous allez bien ? Votre visage est si rouge et votre corps tremblant. Êtes-vous malade ? Laissez-moi vous regarder ?»

«Non, pas vraiment. Si vous n’avez pas d’autres questions, Maître Camilla, pourquoi ne pas partir ? Je… je suis fatigué et je voudrai me coucher tôt.»

Fanny tremblait en essayant de lever ses fesses en parlant, voulant se lever du bord du lit. Han Shuo appréciait la sensation bien ronde et glissante des fesses de Fanny. Quand il perdit ce contact, il tendit inconsciemment la main et plongea dans la zone entre les fesses de Fanny qu’elle venait de se relever un tout petit peu.

Fanny était sur le point de se lever droit quand son corps était soudainement pris de spasme à cause de son stimulus. Son corps s’assit de nouveau de manière incontrôlable, avalant la main gauche de Han Shuo.

«Qu’est-ce qui ne va pas, Maître Fanny ? Quelque chose ne va pas avec votre corps !» Dit Camilla frénétiquement, puis elle leva les draps du lit, voulant soulager Fanny de leur étreinte. Elle vit soudain le regard brûlant de Han Shuo et un cri de surprise émanant de la bouche de Camilla.

Ce cri surprit Fanny, stupéfaite. Elle reprit ses esprits et se leva à la hâte, ne prêtant aucune attention à Han Shuo.«Maître Camilla, c’est mon élève et il est venu me poser quelques questions. Je craignais que vous ne compreniez pas. C’est pourquoi je lui ai dit de se cacher.»

«Maître Fanny, vous n’avez pas à vous expliquer. C’est votre affaire ne regarde que vous. Heh heh, pas étonnant que vous ayez rejeté les avances de nombreux jeunes hommes et ignoré même Gêne. Alors voilà pourquoi. Votre relation en n’est aux point ou vous dormez ensemble, c’est vraiment surprenant. Maître Fanny Je m’excuse, je vous ai dérangé. Je vais partir maintenant !» S’exclama Camilla, stupéfaite.

Fanny était dans un état de panique et de désarroi extrême, cherchant à retenir Camilla et voulant s’expliquer. Mais peu importe comment elle expliquait, Camilla conservait une expression ambiguë et affichait une expression de «je comprends». Elle gloussa joyeusement en sortant de la chambre de Fanny.

Lorsque Camilla eut quitté la chambre de la jeune femme, Fanny, qui se tenait devant la porte, fit le tour de la table en panique et sembla se souvenir de quelque chose. Elle fit des gestes menaçants envers Han Shuo encore allongé dans son lit, criant: «Maudit Bryan, je ne vais absolument pas te laisser t’en tirer aujourd’hui.»

Fanny avait déjà sauté sur le lit quand elle eut fini de parler et commença une punition à coup poings et des pieds avec un visage plein de colère, ses petits poings atterrissant sur la poitrine de Han Shuo comme la pluie.

En tant que mage, Fanny n’avait aucun moyen d’utiliser ses poings et ses pieds pour attaquer et causer des dommages à Han Shuo, mais Han Shuo était complètement hypnotisé alors qu’il regardait Fanny très agitée bouger ses petits poings, et chancelant de ses mouvements Elle avait même dévoilé une partie de sa cuisse blanche comme la neige parce que sa jupe avait été relevée.

D’abord tendant la main pour faire semblant de l’arrêter, Han Shuo avait du mal à supporter son agitation. Dans son esprit fiévreux, il poussa Fanny sur le lit et utilisa son corps puissant pour presser complètement le corps parfait de Fanny. «Maître Fanny, calmez-vous»

Han Shuo demanda à Fanny de se calmer tout en la couvrant de son corps. Sentant la fermeté et les pointes de la poitrine de Fanny sur sa poitrine, sa poitrine collait fermement à celle de Fanny. Le frottement entre les deux corps sous les luttes de Fanny fit que Han Shuo se perdit lentement.

Fanny était à bout de souffle de colère. Il était le plus impulsif des deux et pourtant, il osait lui dire de se calmer. La douleur dans ses mains devenant de plus en plus prononcée, elle ne pouvait pas bouger, peu importe comment elle luttait. Alors qu’elle regardait Han Shuo se rapprocher de plus en plus, son cœur était extrêmement agité et elle dit continuellement, «Bon sang, arrête tout de suite ou je ne vais pas y aller gentiment avec toi !»