Génie sans Egal | Perless Genius System | 绝世天才系统
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Chapitre 5 – La petite mendiante
Chapitre 4 – L’ex et l’actuel Menu Chapitre 6 – Une bonne personne

Alors que son pied droit frappait fermement la poitrine de Hua Haifeng, la force de l’impact déferlait vers l’extérieur à partir du point central de l’attaque.

«Ah.»

Un cri triste et glaçant sortit du corps de Hua Haifeng, qui pesait 65 kilos. Il vola immédiatement en arrière comme s’il était frappé par une locomotive et tomba durement sur le sol solide à quatre ou cinq mètres de là.

Ses dents mordaient sa langue, et le sang coula en un jaillissement fou, s’écoulant des coins de sa bouche. Ayant l’impression que ses organes internes avaient été réarrangés, Hua Haifeng était allongé sur le sol, gémissant de douleur.

Ce mouvement du pied de Xiao Luo était comme une attaque du légendaire dragon aquatique : un tourbillon complet exécuté en un seul mouvement fluide. C’était direct et efficace !

Zhao Mengqi était complètement abasourdie et restait immobile. Ses yeux s’étaient écarquillés et elle regarda Xiao Luo avec une expression incrédule alors qu’il exsudait un air meurtrier. Elle n’arrivait tout simplement pas à croire que Hua Haifeng avait été frappé à quatre ou cinq mètres de distance par Xiao Luo.

«DING, félicitations. Vous avez gagné cinquante points !» Lui notifia le système.

«Cinquante points ? Comment ai-je obtenu cinquante points ?»

Xiao Luo regarda autour d’elle, pour trouver quatre gardes de sécurité à l’entrée principale qui avaient également vu ce qui s’était passé.

Les quatre gardes de sécurité courus rapidement vers eux.

«Jeune Maître Hua !»

Tous les quatre, ainsi que Zhao Mengqi, qui avait retrouvé son sang-froid, aidaient Hua Haifeng à se lever.

Hua Haifeng était furieux. Il pointa Xiao Luo du doigt et beugla : «Frappez-le. Je veux qu’il meure. Il ne fera pas un pas hors de la Corporation Huahai !»

Les quatre agents de sécurité n’osaient pas désobéir. D’ailleurs, c’était l’occasion de se distinguer et de prouver leur valeur. Qui pouvait dire avec certitude, s’ils seraient ou non capables d’accomplir un exploit choquant tout d’un coup simplement parce qu’ils auraient donné une leçon à quelqu’un au nom de Hua Haifeng. Bien qu’ils aient été témoins de la puissance de Xiao Luo, ils sortirent quand même sorti leur matraques en fer noir accrochées à leur taille et se jetèrent sur lui.

Pourquoi Xiao Luo aurait-il peur de simples gardes de sécurité qui surveillaient l’entrée ? Sans lâcher la boîte dans ses bras, il exécutait une série de coups de pied et de coups avec ses jambes. Chaque pied atterrissait carrément sur la poitrine d’un agent de sécurité. Quatre voix criaient, les quatre agents de sécurité furent projetés en arrière comme Hua Haifeng. Même les matraques en fer dans leurs mains tombèrent au sol.

A ce moment, la colère de Hua Haifeng se vida. Il regardait Xiao Luo avec une extrême horreur, ce fut comme s’il venait de voir un fantôme en plein jour. Il frissonna lorsque le regard de Xiao Luo se fixa sur lui. Des sueurs froides se répandaient instantanément sur son corps. Il n’arrivait pas à croire que Xiao Luo pouvait avoir des compétences aussi effrayantes et terrifiantes.

Zhao Mengqi était dans le même état. Elle sentait maintenant que Xiao Luo était encore plus un étranger. Ce n’était pas le Xiao Luo qu’elle avait connu auparavant.

Quand Xiao Luo se dirigea vers Hua Haifeng, elle se plaça inconsciemment devant lui et fixa Xiao Luo nerveusement, «Xiao Luo, que… Qu’est-ce que tu veux ?»

Xiao Luo se mit à l’ignorer. Il se contenta de sourire et regarda Hua Haifeng, gravement effrayé. Il répondit d’un ton menaçant : «Jeune Maître Hua, si vous n’avez rien à faire, ne vous promenez pas en attrapant le col des autres. C’est très mal élevé de votre part. Je vous ai prévenu, mais vous n’avez pas lâcher prise. Tu ne devrais pas t’indigner de recevoir un coup de pied de ma part.» Son regard se tourna vers Zhao Mengqi, et lui disa en souriant : «Tout le monde veut porter la robe de la princesse, mais pendant combien de temps peut-on la porter ? Trois mois ou six mois ?»

Un tremblement traversa le corps de Zhao Mengqi. Les mots de Xiao Luo poignardait son inquiétude.

Oui, bien qu’elle soit devenue la petite amie de Hua Haifeng comme elle le souhaitait, Zhao Mengqi n’avait pas le moindre sentiment de sécurité et avait toujours l’impression qu’elle pouvait être abandonnée par lui à tout moment. C’était aussi la raison principale pour laquelle elle était allée chercher Xiao Luo aujourd’hui. Au fond de son cœur, elle espérait toujours l’avoir comme plan de secours, ce qui lui donnerait un sentiment de sécurité.

«Bien sûr, ce n’est que mon conseil. N’hésite pas à ne pas en tenir compte !»

Après avoir dit ça, Xiao Luo partit sans se retourner.

Zhao Mengqi semblait avoir perdu son âme tout à coup. Elle restait là, au même endroit, avec l’air d’une idiote. Elle pensait que rompre avec Xiao Luo était définitivement la bonne chose à faire. Mais lorsque l’homme se tourna réellement et partit, la seule chose qu’elle avait ressenti était un sentiment infini de perte, de tristesse et de solitude.

Chaque petit détail de ses quatre années de vie avec cet homme émergeait dans un flux ininterrompu dans son esprit. Chaque scène était normale et ordinaire, mais elle ne pouvait pas s’en détacher complètement.

Le riz frit aux œufs que préparait Xiao Luo lui manquait, ses soins méticuleux lorsqu’elle était malade, et encore plus sa poitrine étroite mais chaude….. Elle devait admettre que sa relation amoureuse de quatre ans avec lui avait été le meilleur moment de sa vie.

En regardant le dos de Xiao Luo alors qu’il partait, sa vision fut lentement brouillée par les larmes. Ses sentiments devenaient indescriptiblement compliqués, elle avait l’impression d’avoir perdu une chose cruciale !

********

En marchant dans la rue animée, Xiao Luo ressentit une légèreté qu’il n’avait jamais connue auparavant. Pendant un moment, il ne pouvait pas expliquer pourquoi il était d’une telle humeur. Peut-être était-ce parce qu’il avait vu la vraie nature de Zhao Mengqi, ou parce qu’il avait quitté la Huahai Corporation ?

Peu de temps après, il arriva à l’entrée d’un grand magasin, et son regard se posa sur un coin de la place.

Il y avait une petite fille en haillons, âgée d’environ sept ou huit ans. Elle mendiait auprès du flot de touristes.

La petite fille avait l’air négligée, ses longs cheveux noirs étaient si sales et désordonnés que dès nœuds avaient déjà commencé à se former. Ses jambes étaient courbées dans un état anormal, et les muscles de ses jambes étaient sévèrement atrophiés. Elle ne pouvait ni se lever ni marcher, elle ne pouvait compter que sur ses jeunes et tendres mains pour ramper lentement vers l’avant, comme un pauvre petit phoque qui poussait un bol ébréché.

Son long pantalon traînait sur le sol. Elles étaient couvertes de poussière et ressemblaient à deux chiffons crasseux. Au bout d’un moment, la petite mendiante rampa jusqu’à ses pieds et secoua doucement le bol ébréché. Le bruit des pièces de monnaie retentit en s’entrechoquant contre le récipient.

Xiao Luo baissa la tête et son regard se heurta à la petite fille. Bien qu’elle soit sale et qu’elle dégage même une odeur âcre, ses yeux étaient clairs comme le cristal et alertes, si brillants qu’ils ressemblaient aux étoiles du ciel.

«S’il te plaît, fais une bonne action et donne-moi quelques dollars !» Lui demanda La petite fille, pleine d’espoir.

Xiao Luo vit qu’elle était pitoyable, alors il abaissa la boîte, sortit un billet de deux dollars de sa poche et le mis dans le bol.

«Merci, monsieur. Bouddha vous bénira !» La petite fille se prosterna et joignit ses mains paume contre paume.

Les habitants de Jiangcheng croyaient au Bouddha, et il n’y avait rien de mal dans les paroles de gratitude de la petite fille.

Xiao Luo pensait qu’elle était très intelligente et vive d’esprit, il sortit donc deux billets de dix dollars et les glissa dans sa poche. «Rentre vite chez toi et demande à ta famille de t’acheter quelque chose de délicieux.»

Il pensait vraiment que la petite fille avait un air pitoyable. Elle était encore si jeune mais devait souffrir comme ça.

«Chez moi ?»

Le petit corps de la petite fille tremblait légèrement, et ses yeux brillants devenaient sans vie. Elle semblait marmonner cela à elle-même, ou peut-être racontait-elle son histoire : «Je n’ai plus de maison maintenant.»

Elle révélait une grande tristesse et une grande solitude malgré son jeune âge. Ses yeux devenaient rouges, formant deux cercles rougeâtres.

Xiao Luo fut perplexe. «Tout le monde a un foyer et des parents. Pourquoi n’as-tu pas de maison ?»

La petite fille secoua la tête, puis souria de manière catégorique, elle changea de sujet et répondit : «Vous êtes une bonne personne, merci.»

Après cela, elle déplaça son petit corps avec beaucoup de difficulté et s’éloigna en rampant.

Xiao Luo pensa que cette petite fille était extraordinaire, qu’elle avait une histoire sûrement tragique. Après y avoir réfléchi, il l’a suivi tranquillement…

Elle rampa finalement dans une ruelle lugubre, où un jeune homme au visage laid et féroce l’attendait.

En la voyant revenir, le jeune homme remis dans sa poche le couteau avec lequel il jouait et s’approcha de la fille. Il baissa les yeux sur le bol ébréché qu’elle utilisait pour mendier et entra immédiatement dans une colère noire. Il donna un coup de pied à la petite fille sur le côté, «Fille de p***e, tu t’en vas après avoir obtenu seulement ce peu d’argent ? Tu ne veux pas manger aujourd’hui, sale morveuse ?»

«Tu oses arrêter de mendier ? Je vais te donner une leçon aujourd’hui !»

Le jeune homme en colère avait une expression féroce et sinistre. Il releva ses manches et se précipita vers elle, attrapant les cheveux de la petite fille d’un seul geste en soulevant tout son corps dans les airs.

«Ça fait mal…. ça fait mal…»

Ses pieds furent soulevés du sol, et la douleur intense la fit pleurer. Elle se sentait si malheureuse.

«Pourquoi tu pleures ? Retiens-toi !»

Le jeune homme la gifla avec sa main. Il la frappa à nouveau. D’énormes gifles atterrissaient successivement sur le visage de la jeune fille, sans se soucier le moins du monde d’elle.

Elle ne pouvait que endurer la douleur, en serrant les dents pour s’empêcher de crier, mais les larmes continuaient de déborder. Son visage était gonflé et déformé.



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