Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
A+ a-
Chapitre 263 : On se rencontre finalement !
Chapitre 262 : Pourquoi laisserait-il les autres personnes la dévisager ? Menu Chapitre 264 : Elle avait peur de succomber à l’envie de le tuer si elle s’approchait trop près

***

Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

***

La voiture s’était arrêtée sur le parking de l’hôtel. Juste avant de sortir de la voiture, Mu Feichi sortit une petite couronne de fleurs de sa poche et la plaça sur la tête de Yun Xi.

Yun Xi s’était figée un instant, et son corps s’était raidi. « Qu’est-ce qu’il y a ? »

« Ce n’est rien, sors de la voiture ! » Il avait détaché sa ceinture de sécurité, puis avait fait le tour de l’avant de la voiture, et lui avait ouvert la porte.

En sortant de la voiture, Yun Xi, avec une couronne collée sur la tête, avait regardé son reflet dans la fenêtre. Elle n’avait pas pu s’empêcher de tendre la main et de la toucher. Avant qu’elle ne puisse la toucher, Mu Feichi lui avait attrapé le poignet.

« Ne le bouge pas. Elle te va très bien. » Il l’avait entraînée vers l’ascenseur.

Yun Xi se débattait alors qu’elle essayait désespérément de trouver une excuse pour ne pas entrer avec lui. « Je… je dois aller aux toilettes. »

Mu Feichi avait immédiatement vu clair dans son jeu. « Il y en a une à l’étage. Viens, on va monter. »

Yun Xi s’était mordue la lèvre, impuissante, et l’avait suivi dans l’ascenseur, la tête basse.

Ils étaient probablement arrivés en retard, car il n’y avait pas grand monde dans l’ascenseur ou dans le passage. Mu Feichi lui avait lâché la main et Yun Xi s’était rapidement éloignée. « Jeune Maréchal Mu, allez-y. »

Respectant son choix, Mu Feichi avait sorti la carte d’invitation de sa poche et la lui avait tendue. « Ne te balade pas trop, car je ne te chercherai pas si tu te perds. »

Yun Xi avait hoché la tête, puis s’était retournée et avait couru pour trouver la salle de bain.

Mu Feichi avait souri, s’était retourné et était entré dans la salle de banquet.

Au coin de ce passage se trouvait la zone fumeur. Yun Xi venait juste de commencer à se détendre lorsqu’elle avait levé les yeux pour voir une silhouette debout près de la balustrade en train de fumer.

L’homme était appuyé sur la balustrade face à elle, et la cigarette dans sa main dégageait une bouffée de fumée.

L’homme avait levé la tête quand il avait entendu un bruit, et ses yeux sombres s’étaient posés sur Yun Xi.

À l’origine, il était venu pour fumer une cigarette, mais il ne s’attendait pas à voir débarquer une jeune fille au visage si frais.

Comme elle était extrêmement bien habillée, il devina qu’elle était probablement la fille d’une famille importante.

Cependant, en voyant l’homme qui se tenait en face de ce fumeur, Yun Xi n’avait pas pu s’empêcher d’halleter.

Ce visage, que ce soit dans sa vie précédente ou dans cette vie, était un visage qu’elle n’oublierait jamais !

Han Yaotian…

Très bien, nous rencontrons enfin !

Les souvenirs de sa dernière vie l’avaient submergée tout à coup… les souvenirs de leur douce romance, ainsi que de sa trahison et de son meurtre de sang-froid.

À ce moment-là, elle se sentait dans une agonie extrême, comme si elle était déchirée par les souvenirs de sa vie précédente.

Le vent soufflait depuis le balcon, et elle ne pouvait s’empêcher de frissonner.

Puis l’odeur de la fumée la ramena immédiatement à la réalité.

Pendant un instant, elle avait vraiment envie de se précipiter sur lui et de le tuer, comme il l’avait poussée du haut de l’immeuble dans sa vie précédente.

Mais non ! Ce n’était que le troisième étage, donc il ne mourrait peut-être pas s’il était poussé, et elle deviendrait une criminelle.

Depuis qu’elle était miraculeusement renée, même si elle voulait se venger, elle ne pouvait pas se salir les mains.

Dans cette vie, il ne la reconnaîtrait pas, et beaucoup de choses pourraient se répéter à nouveau.

Elle comprenait les ambitions et les faiblesses de Han Yaotian, elle pouvait donc en tirer profit.

Prenant une profonde inspiration, elle avait fait un pas en arrière et s’était simplement retournée. La voix légèrement rauque de Han Yaotian avait résonné derrière elle. « Attends… »

Yun Xi avait marqué une pause et, se retournant, elle avait regardé la silhouette qui marchait vers elle.

« Petite fille, de quelle famille es-tu ? Es-tu perdue ? »

S’avançant, Han Yaotian avait regardé la petite fille en face de lui. Elle avait des joues roses et des yeux clairs.

Lorsqu’elle l’avait regardé de ses immenses yeux clairs, il avait ressenti une sensation sèche et chaude dans sa gorge.

Bien qu’il ne soit pas extrêmement expérimenté, il comprenait les normes conventionnelles de beauté des hommes.

Une si belle petite créature, comme un bourgeon vert émergeant de la cime des arbres après la pluie, semblait si fraîche et pleine d’espoir qu’il ne pouvait s’empêcher de vouloir se rapprocher d’elle.

Comparée aux héritières lourdement maquillées, cette petite fille en face de lui était comme un elfe, si sublime qu’il n’osait pas la ternir.

Yun Xi l’avait regardé froidement et s’était moquée intérieurement. Son approche hypocrite lui donnait froid dans le dos et la consternait.

Elle avait levé le carton d’invitation dans sa main, puis s’était retournée et était partie sans parler.

« Es-tu l’un de mes invités aujourd’hui ? »

Han Yaotian était un peu surpris. Il avait bien lu l’invitation. C’était une invitation pour son banquet.

C’est juste qu’il n’avait aucune idée de son identité.

Mais il était certain qu’elle n’avait pas un statut ordinaire. Après tout, la simple couronne sur sa tête était incroyablement chère.

____ 

N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

____

❤️Soutenez le novel sur Tipeee https://www.patreon.com/moonkissedtrad


Rejoignez-nous et devenez correcteur de Chireads Discord []~( ̄▽ ̄)~*
Chapitre 262 : Pourquoi laisserait-il les autres personnes la dévisager ? Menu Chapitre 264 : Elle avait peur de succomber à l’envie de le tuer si elle s’approchait trop près