Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 229 : Au lieu de faire ce qu’il était censé faire, il lui a créé beaucoup d’ennuis
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Le visage de Yun Xi était extrêmement froid. En plissant les lèvres d’un air moqueur, elle affichait une certaine suffisance dans son expression distante.

« De toute évidence, je suis l’innocente ici. Les caméras de surveillance ont capturé toutes vos actions, donc peu importe les excuses que vous essayez de trouver, ça ne marchera pas. »

Liang Xinyi lui lança un regard furieux, mais Han Wanling, qui n’avait pas encore parlé, s’approcha.

Han Wanling avait regardé Yun Xi, avait ricané sarcastiquement, puis avait levé le menton et avait adopté une attitude hautaine.

« Tu dis que tu es innocente, mais qui sait si tu l’es vraiment ou non. Les caméras de surveillance ont des angles morts. Si tu te trouvais dans un angle mort des caméras de surveillance, tu n’aurais peut-être pas été capturée par ces caméras de surveillance. Peut-être que ta présidente de classe t’a suivi et que ton vol a été exposé, alors tu l’as poussée dans la salle de classe et tu t’es enfui… Tu as volé beaucoup de choses et tu as ensuite fait chanter ta cousine pour qu’elle les donne. Naturellement, on ne t’a pas vu sur les vidéos de surveillance, qui n’ont filmé que tes complices. En parlant de ça, n’es-tu pas le cerveau derrière tout ça ? »

Yun Xi n’avait rien nié et avait hoché la tête calmement. « Même si j’avais été capturé par la caméra de surveillance, ce que je viens de dire tient toujours. »

Yun Xi avait souri. Elle s’était ensuite retournée pour regarder le directeur et l’officier de police avant que finalement, son regard ne se pose sur l’arrogante Han Wanling.

« Si j’étais le cerveau en coulisse, je veux vraiment savoir, qu’est-ce que j’ai fait pour que Liang Xinyi se sacrifie pour le mot de passe ? Ne voyez-vous pas à quel point elle souhaite me tuer maintenant ? Aurait-elle été aussi obéissante ? Si je suis le cerveau derrière tout ça, où sont les preuves ? »

« Si tu veux des preuves, la police les trouvera ! Tu ne pourras probablement pas te distancer de ce qui s’est passé aujourd’hui. »

Yun Xi avait haussé les épaules et n’avait pas l’air intimidé.

À ce moment-là, le téléphone portable de l’officier Xiao Tang avait sonné. Il avait répondu au téléphone et avait raccroché après avoir entendu quelques phrases.

« Boss, le gangster a été attrapé. Il était juste en bas. »

Han Wanling avait levé les sourcils et avait regardé Yun Xi d’un air triomphant.

« Puisqu’il a été attrapé, ramenons-les tous au poste de police pour un interrogatoire. »

L’officier Xiao Tang s’était levé et avait dit avec une expression vide, « Mlle Han, la personne a été attrapée dans votre voiture. »

« Quoi ? » Le visage de Han Wanling s’était immédiatement enfoncé. « Qu’est-ce que vous voulez dire ? »

« À l’instant, nos hommes ont trouvé le voyou dans votre voiture et ont récupéré les biens volés. »

« Vous… vous voulez dire qu’il s’est introduit dans ma voiture pour voler quelque chose ? »

L’officier Xiao Tang avait légèrement gloussé, mais il n’avait pas répondu à sa question. « Nous ne saurons pas si c’est le cas ou non tant que nous ne serons pas descendus ».

Tout le monde était descendu. Alors qu’ils arrivaient au coin des escaliers, Yun Xi avait levé les yeux et avait regardé Jiang Henglin, qui marchait à la fin de la file de personnes, juste devant elle.

Il n’avait pas dit un mot du début à la fin de cet épisode.

Ce qui la surprenait encore plus, c’est qu’il n’avait pas saisi la moindre occasion de planter un clou dans son cercueil. C’était inexplicable !

Elle savait comment il était vraiment, et elle pensait vraiment qu’il l’aurait jetée sous un bus et se serait assuré qu’elle ne pourrait pas se relever.

Le silence de Jiang Henglin l’avait rendue un peu plus craintive.

S’il l’observait afin de se familiariser avec son ennemi et d’attendre un moment de faiblesse, alors elle devait vraiment rester sur ses gardes.

Comme le disait le proverbe, « Je n’ai pas peur que tu sois stupide, mais que tu sois trop intelligent ».

Sur le parking à l’extérieur du bâtiment académique, plusieurs officiers de police étaient réunis autour d’une Porsche.

Xiang Yuanjiu, qui était assis sur le siège passager, avait vu le groupe de personnes descendre et avait poussé la portière pour sortir de la voiture.

Dès qu’il était sorti, il avait été maîtrisé par la police. Il portait toujours le sac à dos qui lui avait été donné par Liang Xinyi.

« Mlle Han, j’ai tout ce que vous m’avez demandé de voler. Tout est là. »

Xiang Yuanjiu s’était libéré de la police, avait mis le sac à dos à l’avant de la voiture, et avait sorti l’un des ordinateurs portables à l’intérieur.

« Pourquoi y a-t-il autant de policiers ici ? Pourquoi êtes-vous si perfides ? Nous étions d’accord pour que je vole ces objets pour vous, et que vous m’envoyiez l’argent que vous me devez. »

« De quelles absurdités parles-tu ? » La présence de Xiang Yuanjiu dans sa voiture avait déjà déconcertée Han Wanling.

En entendant ce qu’il venait de dire, elle ne pouvait plus rester calme, et elle sentait la rage de la lave bouillir en elle.

Cet idiot savait-il ce qu’il faisait ?

Elle lui avait dit de s’enfuir dès qu’il recevrait le matériel, mais qui aurait pensé qu’il choisirait de s’enfuir dans sa voiture ? Au lieu de faire ce qu’il était censé faire, il lui avait créé beaucoup de problèmes.

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