Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 1280 : Malaise
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Pour quelqu’un comme Mu Feichi, qui avait un style de vie extraordinaire et dont les vêtements avaient toujours été taillés sur mesure pour chaque saison de l’année, des vêtements ordinaires n’étaient tout simplement pas suffisants.

Cependant, en tant que Jeune Commandant, il pouvait porter son uniforme militaire sans se plaindre, tout en conservant la même aura dominante qu’il avait toujours eue.

Il était tout à fait parfait, et personne ne pouvait lui reprocher quoi que ce soit.

Il n’était pas étonnant que tant de jeunes femmes issues de milieux aisés et de célébrités cherchent à l’approcher. C’était le genre d’homme qu’une fille pouvait perdre après l’avoir laissé sortir de chez elle.

Mu Feichi sourit et se pencha vers sa petite renarde qui le fixait d’un air hébété. Il lui mordilla l’oreille avec espièglerie.

« Bébé, si tu continues à me regarder comme si tu étais sur le point de me ravir, je ne pourrai pas me contrôler. »

Le mordillement amusant fit frissonner tout le corps de Yun Xi, et elle recula, le visage rougissant fébrilement. Cela l’avait certainement ramenée à la réalité.

Elle prit une grande inspiration et regarda l’homme en face d’elle. Elle leva fièrement le menton pour paraître moins gênée.

En la voyant faire semblant d’être coincée, Mu Feichi ne put s’empêcher de laisser échapper un petit rire. Il cessa enfin de la taquiner. Il se redressa, ajusta son col et se tourna vers elle en lui demandant : « Qu’en penses-tu ? Est-ce que ça marche comme déguisement ? »

Yun Xi prit une grande inspiration et essaya de se contenir en le regardant. Elle prit ensuite une paire de lunettes aux montures noires épaisses sur l’étagère à côté d’elle. « Ajouter une paire de lunettes devrait faire l’affaire. »

Mu Feichi pencha légèrement la tête, fixant nonchalamment la nouvelle personne dans le miroir, et gloussa légèrement. MMM ! « Pas mal du tout. »

Pour éviter d’être à nouveau harcelée par lui, Yun Xi lui tendit rapidement la main. « Pourrais-tu me donner ton portefeuille ? »

Mu Feichi fut momentanément stupéfait. Puis il la fixa à son tour, l’air un peu déconcerté. « Quoi ? Ce n’est pas ton cadeau pour moi ? »

« Je n’ai pas apporté d’argent avec moi…

– Moi non plus.

– … »

Les yeux de Yun Xi s’écarquillèrent soudainement, et elle tendit les mains pour les passer sur son corps. Après l’avoir bien tapoté, elle se rendit compte qu’il portait des vêtements neufs. Elle retourna rapidement dans la cabine d’essayage et fouilla dans les vêtements qu’il avait enlevés. C’est vrai, il n’y avait pas de portefeuille.

C’est formidable, ils étaient partis tous les deux sans argent. S’attendaient-ils tous les deux à recevoir un repas gratuit aujourd’hui ?

« Et maintenant ?! » Yun Xi regarda les vêtements qu’il portait et tourna la tête pour faire face à la vendeuse qui s’approchait d’eux. Elle regarda ensuite M. Trois Ans qui semblait incroyablement calme et essayait de cacher un sourire en disant d’un ton taquin : « Peut-être que je devrais juste te laisser ici en guise de caution… »

« Pourquoi ne pas leur demander s’ils sont prêts à me garder ici alors ? »

Le vendeur avait depuis longtemps reconnu qui était Mu Feichi, mais n’avait pas osé s’avancer. Voyant qu’ils étaient dans une telle impasse, il estima qu’il était juste de proposer son aide.

« Nous n’oserions jamais vous retenir, jeune commandant. Je suis le gérant de ce magasin. Tout ce que vous avez à faire, c’est de signer votre nom pour vos achats dans le magasin. »

Mu Feichi lui jeta un coup d’œil et hocha la tête pour le remercier. Il se tourna ensuite vers Yun Xi. « As-tu ta réponse maintenant ? »

Yun Xi répondit : « Personne au monde n’osera jamais s’opposer à toi. »

Mu Feichi gloussa légèrement. Il sortit ensuite son téléphone et appela Jiang Chenghuan. « Je suis à la Boutique M de la Tour Jingdu. Pourrais-tu m’apporter de l’argent rapidement et venir à mon secours ? »

Avant que Jiang Chenghuan ne puisse parler, il raccrocha le téléphone. Puis il entraîna Yun Xi sur le canapé dans le coin et s’assit.

« Qui as-tu appelé pour venir éteindre le feu ?

– Pour quelqu’un comme toi qui est une experte pour provoquer une scène, qui crois-tu que j’ai appelé ?

– Jiang Chenghuan ? » Yun Xi haussa les sourcils. « Alors il n’est probablement pas loin. Nous étions censés nous retrouver ici. »

Lorsque le directeur qui se tenait devant eux entendit ce qu’ils disaient, son cœur bondit. « Jeune commandant… si notre service n’a pas été à la hauteur, veuillez nous pardonner… »

« Ce n’est rien. Vous n’avez pas entendu ? Votre jeune maître vient ici de toute façon, il peut donc nous aider à régler notre facture.

– D’accord… » Le gérant sourit maladroitement, ne sachant s’il devait rire ou pleurer.

Il s’agissait d’une entreprise appartenant à la Corporation Jiang, et il voulait qu’ils collectent de l’argent auprès de son propre patron ? Comment cela pouvait-il avoir un sens ?

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