Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 1146 : Tes compétences sont terribles
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Mu Feichi haussa les sourcils. L’homme fier baissa la tête, son beau visage se penchant sur elle en disant, « Je peux t’aider, mais donne-moi d’abord quelques baisers pour me satisfaire ! »

Yun Xi se mordit la lèvre et leva la tête. Elle lui tapota légèrement le visage. « Tu m’aiderais si je te donne quelques baisers. Jeune commandant, où sont tes inhibitions ? »

Ce type était toujours en train de réfléchir à la façon de flirter avec elle.

« Pourquoi devrais-je avoir des inhibitions devant ma propre femme ? »

Voyant qu’elle ne bougeait pas, quelqu’un s’approcha. « Bébé, je ne t’attendrai pas si tu prends trop de temps. »

Yun Xi ne savait pas si elle devait rire ou pleurer en regardant l’homme devant elle. Il la regardait avec impatience. Elle lui tint le visage et lui donna quelques baisers. « Très bien, j’ai fini. »

Même s’il avait profité d’elle, l’homme arrogant se plaignait encore d’un air contrarié. « Ce n’était pas du tout romantique. Chérie, tu as simplement accompli ta mission et tu n’as pas embrassé ton petit ami, n’est-ce pas ? »

« Alors que veux-tu que je fasse… ? »

Lorsqu’elle releva la tête, il lui lâcha brusquement les épaules et lui attrapa la taille, la dominant d’un air autoritaire. Il commença à l’embrasser.

Pris au dépourvu, il déposa un baiser brûlant sur ses lèvres froides. Elle resta stupéfaite un instant avant de reprendre ses esprits. Cette fois, elle ne se débattit pas et le laissa l’embrasser sans retenue.

Ils s’attardèrent un moment avant que Mu Feichi ne la lâche lentement. Il regarda son expression hébétée avec un regard profond et ressentit un sentiment de plaisir avant de tourner la tête pour lui mordiller l’oreille. Sa voix grave résonnait avec charme tandis qu’il lui murmurait des paroles séduisantes.

« C’est à cela que devrait ressembler un baiser entre deux personnes. Bébé, tes compétences sont terribles. Apprends-en plus ! »

« … » À ce moment, le visage de Yun Xi ressemblait à une crevette cuite. Ses joues étaient brûlantes, et elle souhaitait creuser un trou et s’y enterrer.

« Je vais informer le rédacteur en chef des médias de la Corporation Mu de suivre ton plan. Ils créeront autant d’ennuis que tu le souhaites. Ces médias dictent la direction de Jingdu et mènent la conversation. Si tu lances une torpille, elle devrait pouvoir faire exploser beaucoup de poissons. »

« Hmm, alors je vais profiter de cette occasion pour comploter à nouveau. Je suis prête à m’attaquer à la famille Han. Si le cerveau de cette fois était vraiment Han Hongbin, alors la famille Han… Je ne montrerai aucune pitié ! »

« Bien, tu peux faire ce que tu veux. Je suis derrière toi, alors tu n’as pas à t’inquiéter. Je vais mettre à profit ces prochains jours pour que la famille Jiang annule les fiançailles. Sinon, si ma relation avec toi est révélée, c’est toi qui en souffriras. Les rumeurs sont effrayantes, et je ne veux pas que quelqu’un fasse des commérages dans ton dos. Même si tu t’en fiches, je ne le permettrai pas ».

« Tu t’occupes de la procédure ? Je peux m’en charger moi-même. »

Avec les méthodes autoritaires de Mu Feichi, il n’allait certainement pas résoudre le problème avec grand-père Jiang avec tact. Elle ne voulait vraiment pas le blesser.

« Je m’occuperai de cette affaire. Il n’y a pas de place pour la négociation. Si je te laisse venir, je ne sais pas combien de temps cela prendra. Je vais devoir continuer à souffrir. »

« Mais… »

« Pas de mais. Je m’en occupe. Tu n’as pas à t’inquiéter. Je sais que Grand-père Jiang t’aime bien, alors je vais demander à mon grand-père de m’aider. Je laisserai les deux aînés en discuter entre eux. Je n’aurai pas l’air d’être impoli. »

« Grand-père Mu ? » Yun Xi se souvint de la fois où elle était allée chez la famille Mu. Grand-père Mu avait un sourire aimant et un cœur bienveillant, et, par-dessus tout, il appréciait la paix familiale. Il avait l’allure et le comportement qu’une famille noble centenaire devrait avoir.

« Tu n’as donc pas à te soucier des problèmes. Concentre-toi sur la préparation de ce que tu as à faire. »

« D’accord, j’ai compris ! »

« J’ai demandé à ce que tu prennes un congé de l’école. Tu pourras rester au manoir Mu pendant les prochains jours. Tu pourras aller en classe quand ton front ira mieux. »

« J’ai compris. Gu Baifan est-il toujours à la montagne Tianyu ? Il faut que je lui parle ! »

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