Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 988 : Il fera les deux
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Si Wenxuan ne voulait pas partir, mais plus elle pensait à la blessure sur son genou et à la cicatrice potentielle qu’elle pourrait laisser, plus elle s’inquiétait. Elle partit donc vers le médecin militaire sans un mot de plus.

Une fois qu’elle fut partie, Mu Feichi se sentit immédiatement soulagé.

Il avait beaucoup réfléchi à la question de la sécurité de Si Wenxuan. Non seulement elle était snob et gâtée en tant que fille aînée de la famille, mais elle avait aussi un tempérament têtu. L’université de Jingdu était un environnement vaste et complexe, avec de nombreuses personnes différentes. Il allait être difficile de s’occuper de sa sécurité.

« J’ai demandé à mes hommes de préparer une puce de suivi et de la placer dans son collier. Tant qu’elle le portera, nous pourrons la localiser. Cependant, nous devons nous assurer qu’elle ne voyage pas avec beaucoup de gardes, sinon elle attirera l’attention. J’ai trouvé des gardes du corps féminins du même grade qu’elle et je les ai engagées pour la protéger. Cela me semble pratique. L’école a également mis en place un service de sécurité, donc sa protection ne devrait pas poser de problème. »

« C’est très bien ! Je continue de penser qu’il est plus sûr de la laisser aller dans une université proche de chez elle. Elle n’aurait personne de familier autour d’elle si elle était à l’étranger, et que se passerait-il si quelque chose lui arrivait sans personne autour d’elle ? »

Son identité et son statut avaient déterminé que lui et sa famille ne pourraient pas mener une vie paisible et normale.

« Vous n’avez pas à vous inquiéter. Les forces spéciales sont suffisamment entraînées pour assurer sa protection. De plus, Yun Xi fréquente également cette école, et elle peut aider à s’occuper d’elle. »

Yun Xi… ? Si Jingting se souvint de la jeune fille qui avait sauvé la vie de sa femme et des histoires qu’il avait entendues sur ses exploits dans de nombreuses compétitions internationales et en tant que major de Jingdu dans trois matières différentes. Il était difficile de trouver un enfant aussi intelligent.

« Ses notes sont excellentes. Pourquoi n’est-elle pas partie à l’étranger ? J’ai entendu dire que de nombreuses universités étrangères lui avaient envoyé des lettres d’invitation. »

Il savait que la famille Mu n’avait pas besoin d’une famille de même statut pour se marier avec elle. Mais même ainsi, le statut d’une personne serait radicalement différent si elle revenait d’une université étrangère.

Il fut surpris d’apprendre que la jeune fille avait rejeté de nombreuses opportunités et choisi de rester dans le pays, mais en même temps il ressentit un certain soulagement.

Si des individus talentueux comme elle restaient et contribuaient au pays, ils pourraient rendre le pays plus puissant.

« Elle n’a pas besoin d’aller à l’étranger pour être à mes côtés. Avec tous ses talents et ses compétences, elle atteindra le même statut si elle étudie dans son pays d’origine. La seule différence est le temps nécessaire pour la former. En outre, bien qu’il y ait beaucoup de bonnes choses dans les pays étrangers, rien n’est comparable au fait d’être dans son pays d’origine avec sa famille. Qu’en pensez-vous, monsieur ? »

« D’accord ! Elle a aussi de bonnes aspirations. Comparée à ma fille, elle est bien plus intelligente et compréhensive. Maintenant que nous avons parlé de Yun Xi, ton père l’a beaucoup complimentée, et même Yan Shuo la considère avec beaucoup de respect. J’ai entendu dire qu’elle s’était entraînée avec Yan Shuo pendant quelques mois, alors elle a certainement le potentiel pour devenir un pilier de notre nation. »

Mu Feichi baissa la tête et sourit à la mention de sa bien-aimée. « Je ne lui souhaite pas la même chose qu’à moi. J’assumerai toutes les responsabilités de ce pays. Tout ce qu’elle aura à faire, c’est de rester à la maison et de continuer à se montrer sous son meilleur jour. »

Aucun homme ne souhaiterait que sa femme l’accompagne sur le champ de bataille. C’était une responsabilité qui incombait aux hommes et dont les femmes n’avaient pas à s’inquiéter.

Si Jingting sourit et tapota légèrement les épaules de Mu Feichi. Il soupira et répondit : « Tu as aussi des faiblesses. Il y aura un moment où tu devras apprendre à choisir de manière responsable. »

Mu Feichi baissa les yeux, mais la détermination et la volonté dans ses pupilles étaient inébranlables, et il prononça ses mots avec la même confiance et la même domination qu’à l’accoutumée.

« Seuls les faibles doivent faire un choix. Moi, je n’ai pas à le faire ! »

Entre le pays et la femme qu’il aime, il les assumerait tous les deux. Pour lui, il n’y avait jamais eu de conflit entre les deux.

C’était son devoir de soldat de porter plus de devoirs et de responsabilités que les autres, mais cela ne signifiait pas qu’il abandonnerait ses proches ou ses émotions et ses rêves.

Si Jingting le regarda en silence, tandis que le passé revenait au premier plan de ses pensées.

La décision entre l’amour et la patrie… il en avait fait l’expérience il y a 20 ans… Tout ce qu’il pouvait espérer maintenant, c’était que le monde et son pays d’origine restent en paix pour le reste de sa vie.

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