Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 740 : Il n’est pas trop tard si je t’embrasse maintenant, n’est-ce pas ?
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Yun Xi retourna à la maison de la famille Mu pour expliquer tous les détails de son traitement à la vieille dame. Mu Feichi devait se rendre au palais présidentiel et appela Jiang Chenghuan pour qu’il la raccompagne.

Dès que Mu Feichi fut parti, Mu Chenhao, qui était extrêmement curieux au sujet de Yun Xi, descendit.

« Ma fille, j’ai entendu dire que tu étais la petite amie de mon frère, n’est-ce pas ? Tu as l’air d’une mineure. »

« Qui appelles-tu ma fille ? Je suis plus âgée que toi, alors tu devrais m’appeler grande sœur. » Yun Xi tapota la tête de Mu Chenhao. Mu Feichi agissait si sévèrement devant son demi-frère, alors bien sûr, elle ne pouvait rien faire qui puisse lui faire perdre la face.

Mu Chenhao plissa les yeux et sourit. Son visage enfantin, joyeux et innocent était plein de joie. Il lui cria : « Belle-sœur ! »

« … » Yun Xi ne savait plus où donner de la tête.

Jiang Chenghuan se pencha, sourit et tapota l’épaule de Mu Chenhao. Ils avaient l’air d’être de bons amis.

« Mon frère, tu es très malin ! Laisse-moi te dire que si tu veux avoir une meilleure relation avec ton frère, tu dois d’abord embrasser ta belle-sœur. Ton frère l’écoute beaucoup. »

« Vraiment ? » Mu Chenhao jeta un coup d’œil à Jiang Chenghuan, puis regarda Yun Xi avec une admiration et une envie enfantines dans les yeux.

« Eh bien, il n’est pas trop tard pour que je t’embrasse maintenant, n’est-ce pas ? »

« Alors tu peux tout aussi bien me dire directement ce que tu attends de ton frère. Je ferai de mon mieux pour t’aider à l’obtenir. »

« Es-tu vraiment si gentille ? »

« Est-ce que j’ai l’air méchante ? »

« Eh bien, tu sembles un peu mieux que la fille du président. »

« Tu es très perspicace. » Yun Xi était amusée par ses commentaires pleins d’esprit. Ce gamin semblait simple d’esprit et innocent, tout comme Yun Haozhe. « Maintenant, crache le morceau. Tu veux me faire la bise pour que je t’aide en disant du bien de toi à ton frère ? C’est ça, ou c’est autre chose ? »

« Je veux que mon frère ait une meilleure impression de moi. Mon frère ne m’aime pas beaucoup, alors il ne me dit jamais un mot quand il rentre à la maison. »

« Ton frère… » Yun Xi se souvint de l’attitude sévère de Mu Feichi lorsqu’il donnait des instructions au majordome, et elle ne put s’empêcher de sourire en disant : « En fait, ton frère se soucie beaucoup de toi. Par exemple, ce matin, il t’a demandé de retourner dans la maison pour te changer avant de descendre. Tu ne comprends pas ses bonnes intentions ? »

« Hein ? » Mu Chenhao était un peu déconcerté par sa question. Après un moment, il se gratta la tête et demanda : « Avait-il peur que je l’embarrasse ? »

« Il n’avait pas peur que tu le mettes dans l’embarras. C’est un homme de pouvoir et le jeune maréchal de l’armée. Il a l’habitude d’être un loup solitaire. Il ne s’est jamais soucié de l’opinion des autres, mais tu es différent. Tu es son jeune frère, où que tu ailles, tu représentes la famille Mu. Il a le statut de jeune maréchal et a des mérites militaires. Les autres ne le jugeront pas négativement, mais toi, tu es différent. Tes moindres gestes et ton comportement reflètent la culture de la famille Mu. Si tu te mets dans l’embarras, tu mets aussi la famille Mu dans l’embarras. Il veut que tu te comportes bien, c’est pourquoi il est si sévère à ton égard. Cela peut le faire paraître un peu froid, mais il fait tout cela pour que tu sois plus responsable à l’avenir. Tu comprends ? »

« Je comprends… » Mu Chenhao hocha lentement la tête, tandis qu’une vague compréhension lui apparaissait.

Il n’avait jamais entendu quelqu’un lui expliquer son frère de cette façon. Lorsque les autres le réconfortaient, ils utilisaient toujours des mots flatteurs. Elle parlait de façon très directe, mais ses paroles étaient très éclairantes.

« D’accord, maintenant, réfléchis-y toi-même. Le temps presse, et je dois bientôt partir. »

Yun Xi lui tapota la tête une fois de plus. Le jeune homme était à peine plus petit qu’elle, et il avait déjà la beauté et le charme d’un jeune homme.

« Je te raccompagne ! »

Yun Xi acquiesça. Elle se retourna ensuite et s’apprêtait à aller dire au revoir au Commandant Mu et au Vieux Maître, lorsqu’elle réalisa que le Commandant Mu et Madame Mu étaient entrés dans la pièce à un moment donné et se tenaient derrière elle.

Le commandant Mu la regarda avec de l’admiration dans les yeux.

« La maladie de la vieille dame a été guérie, grâce à toi. » Le commandant Mu s’avança et lui tendit un certificat. « À partir de demain, tu pourras venir visiter la maison de la famille Mu à tout moment. N’hésite pas à nous dire si tu as besoin de quoi que ce soit. »

Yun Xi jeta un coup d’œil au laissez-passer vert et, pensant qu’elle viendrait probablement chez la famille Mu à l’avenir, elle ne le refusa pas. Elle hocha la tête poliment et le prit.

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