Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 74 : Plus laide que toi même quand elle est une fausse
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Elle retint son souffle et son cœur se mit à battre la chamade.

Si elle pouvait épouser un tel homme à l’avenir, elle n’aurait jamais à s’inquiéter de prendre pied dans la haute société.

Non, si elle l’épousait, ils devraient tous la regarder avec admiration.

Chen Yichen avait rétréci ses yeux et s’était amusé à regarder de haut en bas cette fille qui prétendait être la sœur de Yun Xi.

« Yun Xi, c’est vraiment ta sœur ? Pourquoi ne te ressemble-t-elle pas ? »

Yun Ziling était sûre que, dans sa robe de créateur, elle paraissait bien plus charmante et de meilleur goût que Yun Xi.

Elle avait spécialement choisi une minirobe en tricot à ourlet sirène pour mettre en valeur les contours de son corps féminin et la faire apparaître plus cambrée.

Comparée à Yun Xi, dont la tenue dissimulait les lignes de son corps, elle était celle qui était correctement habillée comme une mondaine.

Lorsque Chen Yichen avait dit cela, elle avait supposé qu’il disait qu’elle était plus jolie que Yun Xi, alors elle avait baissé la tête timidement et avait rougi comme une fillette.

Après avoir vu à quel point Chen Yichen pouvait avoir la langue bien pendue, Yun Xi ne pensait naturellement pas qu’il flattait Yun Ziling.

« C’est vraiment ma sœur. »

Chen Yichen avait jeté un ou deux autres regards à Yun Ziling, encore une fois avec étonnement, et avait poursuivi : « Sa silhouette n’est pas aussi bonne que la tienne, elle n’est pas aussi jolie, et ses yeux ne sont pas aussi grands. Tu es sûre ? »

Yun Xi avait hoché la tête en essayant de ne pas rire.

Yun Ziling avait levé la tête avec une expression stupéfaite sur son visage et avait fixé l’homme qui la regardait nonchalamment de haut en bas. Sa main avait agrippé son sac si vigoureusement qu’elle l’avait coupé.

Alors qu’il fixait Yun Ziling, Chen Yichen avait semblé avoir remarqué quelque chose et s’était rapproché, les sourcils froncés.

Être observée à une telle distance par un homme aussi séduisant et masculin était écrasant pour Yun Ziling.

Son cœur battait la chamade.

C’était la première fois qu’un homme s’approchait autant d’elle.

Elle ne pouvait pas cacher la joie qu’elle ressentait à l’intérieur. Même si elle savait qu’elle n’était pas la plus jolie, comment un homme pouvait-il résister au regard coquet et pitoyable d’une demoiselle en détresse ?

Yin Ziling avait retenu son souffle et avait baissé les yeux d’une manière coquette.

Son visage de chaton semblait vide de toute l’indignation qu’elle avait ressentie quelques instants auparavant.

Puis, soudainement, Chen Yichen avait fait un geste sur sa paupière inférieure et avait rapidement arraché le ruban adhésif de ses paupières.

Yun Ziling avait crié de douleur, et ce n’est qu’en levant les yeux qu’elle avait réalisé ce qui s’était passé. Avec deux yeux de taille inégale, elle avait fixé l’homme qui tenait le ruban adhésif dans ses mains, et son visage était redevenu aussi sombre que le tonnerre.

Chen Yichen avait jeté un coup d’œil à l’apparence disgracieuse de Yun Ziling, avec ses yeux inégaux. Il avait frissonné et avait senti la chair de poule se lever en pensant à son aspect bizarre.

« Il s’avère donc que tes paupières sont fausses, et c’est quoi ces pattes de mouche effrayantes sur tes yeux ? »

Chen Yichen s’était retourné pour regarder Yun Xi et s’était dit, ouais, les paupières naturelles et les grands yeux de cette petite coquine étaient bien plus attirants.

Son visage était sans maquillage, rosé et frais, contrairement à ces filles avec des produits chimiques partout sur leur visage.

Après avoir été taquinée par lui, Yun Ziling avait immédiatement couvert son œil gauche et avait jeté un regard furieux au fils aîné avec une expression exaspérée.

« Petite Yun Xi, c’est déjà bien assez qu’elle ne soit pas aussi jolie que toi, mais elle est plus laide que toi même quand elle est fausse. »

Yun Xi réprima son rire et se contenta de cligner des yeux sans parler.

À ce moment-là, peu importe ce qu’elle disait, Yun Ziling lui en voudrait pour ça.

« Chenchen ! » Jiang Wanyun ne pouvait pas supporter de voir son fils taquiner la fille. Elle avait froncé les sourcils et secoué la tête. « Tu ne peux pas être aussi grossier. »

Yun Ziling se sentait lésée, mais elle ne voulait pas offenser le fils aîné en ce moment, alors elle avait traité ses taquineries comme une bizarrerie de sa personnalité.

« Madame, c’est bon. Le fils aîné est simplement curieux… »

« … » Yun Xi n’avait pas pu s’empêcher de lever les yeux au ciel.

Pour faire plaisir à Chen Yichen, Yun Ziling était prête à renoncer à sa fierté.

Si elle avait été à la place de Yun Ziling, elle l’aurait giflé comme il se doit.

« Fils aîné, voici la raquette Wilson que tu aimes. C’est la première fois que je viens, et je ne sais pas ce que tu aimes, alors j’espère que tu ne détesteras p… »

« Mon fils n’aime plus cette marque, reprends-la s’il te plaît ! Ma famille n’a pas besoin d’une telle chose non plus. »

« Mais… » Le visage de Yun Ziling s’était effondré. « Mais ma sœur a dit que tu aimais cette marque… »

Chen Yichen ne l’avait même pas regardée et s’était retourné avec dédain pour faire face à Yun Xi. « Petite Yun Xi, je n’ai pas encore pris mes médicaments. S’il te plaît, monte et aide-moi à les prendre. »

Sans attendre la permission de Yun Xi, Chen Yichen avait tendu la main pour attraper la nuque de Yun Xi et l’avait poussée à l’intérieur.

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