Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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L’haleine brûlante de Mu Feichi lui réchauffait le cou tandis qu’il se penchait vers elle et reniflait légèrement son visage. Comme prévu, il sentit l’odeur de la marmite chaude.

« J’ai entendu dire que Madame a envoyé des gardes du corps de la famille Si pour te demander de venir la voir ? Pourtant, tu t’es enfui ingratement à la place ? »

Yun Xi repoussa sa tête qui était trop proche d’elle. Elle voulait éviter son aura romantiquement ambiguë.

« Pourquoi ne pourrais-je pas m’enfuir si je le veux ? Je suis une personne libre, n’est-ce pas ? »

« Madame voulait te voir, mais tu as refusé et tu t’es enfuie pour manger une fondue chinoise avec Feng Yang à la place ? Hein ? »

« … » Yun Xi se figea, puis se mordit la lèvre sans rien dire.

Aux yeux de Mu Feichi, son refus de lui répondre donnait l’impression qu’elle s’en fichait complètement.

Il était déjà submergé par la jalousie, et l’expression de son visage était encore plus disgracieuse.

Il tendit rapidement la main et lui serra le menton pour tourner son visage vers lui. « Pourquoi me fais-tu cette tête ? Quand tu es sortie avec lui, tu ne t’es pas rendu compte que j’allais me fâcher ? »

Il l’avait vraiment trop gâtée. Elle ne cessait de se présenter avec des rivaux pour lui, l’un après l’autre.

Elle était encore très jeune. Dans quelques années encore, elle allait devenir encore plus frappante. Allait-il devoir faire face à un nombre infini de rivaux ?

« Hum… Je le remerciais simplement pour son aide dans l’opération contre ma mère. Pouvez-vous ne pas être si mesquin ? »

Elle leva la main pour effacer sa main de son menton, mais lorsqu’elle toucha sa main, cet homme imprévisible se rapprocha d’elle.

Yun Xi se sentit abasourdie et sans voix.

Vraiment… personne ne pouvait se permettre de provoquer cet homme.

Non, il agissait en fait comme un enfant immature.

Après de nombreux efforts de sa part, Mu Feichi relâcha sa main et regarda sa petite coquine avec des yeux sombres encore un peu en colère.

Se mordant la lèvre, Yun Xi jeta un regard furieux à l’homme jaloux en face d’elle et renifla doucement.

« Mu de trois ans, vous êtes si immature ! »

Elle ne savait pas comment s’y prendre avec cet homme qui flirtait toujours et devenait tactile à l’improviste.

« Quoi, tu essaies de me dire que Feng Yang n’est pas immature ? Ou bien tu aimes les jeunes beaux garçons comme lui ? »

Mu Feichi renifla froidement, et ses yeux étaient maussades bien que son visage soit hautain.

À court de mots, Yun Xi releva la tête et lui tapota le visage sans ménagement. « Comparé à lui, Jeune Maréchal Mu, c’est plutôt vous qui ressemblez à un jeune joli garçon. »

Feng Yang était un homme masculin et dur, tandis que Mu Feichi était un homme à la poigne de fer, résolu et dominateur.

De plus, son apparence faciale trop bénie des dieux n’était pas quelque chose à quoi quiconque pouvait se comparer.

« Arrête de faire de la coquetterie, je ne me laisserai pas faire aujourd’hui. »

Mu Feichi écarta ses petites mains douces. Il était déjà sur ses gardes, mais elle osait encore essayer de profiter de lui.

Il comprenait le sentiment de se voir arracher quelque chose qu’il avait nourri.

Mais cette fille était une force avec laquelle il fallait compter, et elle savait toujours comment appuyer sur ses boutons.

« Je te dis juste la vérité. »

« Donc, tu tournes autour du pot pour m’avouer qu’en fait tu m’aimes plus ? »

Il avait présumé avoir compris ce qu’elle avait dit et avait mal interprété son sens.

« Jeune Maréchal Mu, puisque vous êtes si beau, bien sûr que tout le monde vous aime. Que je vous apprécie ou non n’est pas important. »

« Tu sais ce que je veux dire, alors n’essaye pas de me berner avec des propos ridicules. »

« Soyez sage, et arrêtez de me causer des ennuis si tard dans la nuit. Rentrez chez vous et reposez-vous. »

Ce genre de sujet ne devrait pas être abordé lorsqu’ils étaient tous deux épuisés et pas dans des états d’esprit rationnels. Elle lui tapota le visage et l’amadoua.

L’homme arrogant boudait toujours. Avec un grognement froid, il la souleva et la jeta directement sur le lit.

« Demain soir, c’est le réveillon de Noël. Je viendrai te chercher ici. Si tu ne descends pas, alors je viendrai directement par la porte d’entrée pour t’inviter. »

La silhouette arrogante grimpa par la fenêtre, laissant derrière elle une brise glaciale.

Après avoir été jetée sur le lit, Yun Xi avait eu l’air sidéré. Elle se sentait à la fois amusée et impuissante.

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