Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 427 : Ils n’ont peut-être pas le droit, mais moi, je n’ai pas le droit ?
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Feng Rui et Qi Yuan se tenaient à la porte, pensant qu’ils avaient mal entendu les instructions de Mu Feichi. Ils se tournèrent pour regarder le patriarche de la famille Si, puis le jeune maréchal Mu, qui avait donné l’ordre. Ils ne savaient pas quoi faire alors ils n’avaient rien fait pour le moment.

Elle était la fille de la famille Si, et c’était leur maison. Et le Jeune Maréchal Mu voulait qu’ils la jettent… dehors ?

C’était vraiment caractéristique de la façon de faire du Jeune Maréchal Mu. Il pouvait agir de façon si dominatrice même si ce n’était pas son territoire. Il n’avait même pas considéré le patriarche de la famille Si.

« Qu’est-ce que vous faites ? Vous ne m’avez pas entendu ? »

« Oui. » Feng Rui et Qi Yuan se jetèrent un regard, firent un pas en avant et s’agrippèrent aux bras de Si Wenxuan.

Dès qu’ils l’avaient touchée, Si Wenxuan repoussa frénétiquement leurs mains. « Qu’est-ce que vous faites ? Comment des petits secrétaires comme vous osent-ils poser la main sur moi ? Si vous ne faites pas attention, je vous ferai souffrir. »

Confrontés, tous deux regardèrent le patriarche silencieux de la Famille Si, puis le Jeune Maréchal Mu, qui avait l’air mécontent. Cela était devenu vraiment difficile.

Ils subissaient maintenant une pression énorme des deux côtés et avaient l’impression d’être pris en sandwich au milieu de toutes ces forces.

Yun Xi jeta un coup d’œil à Mu Feichi. Il avait vraiment eu l’audace de donner un tel ordre, mais tout le monde n’était pas aussi puissant et intrépide que lui.

Voyant que personne n’osait lui faire quoi que ce soit, Si Wenxuan retrouva immédiatement son attitude supérieure de fille de la famille Si. Elle renifla froidement, puis fixa Feng Rui et Qi Yuan avec dédain.

« Pourquoi restez-vous là, hébétés ? Sortez d’ici. Ne dérangez pas le repos de ma mère. »

« Celle qui doit sortir, c’est toi. » Mu Feichi se retourna, attrapa Si Wenxuan par la nuque et la poussa hors de la salle.

À la porte de la salle, Mu Feichi regarda froidement la fille qui ne distinguait pas le bien du mal. Elle était si effrontée et arrogante qu’il semblait que le chef de la famille Si ne l’avait pas vraiment bien disciplinée.

« Ils n’ont peut-être pas le droit, mais moi, je n’ai pas le droit ? » Mu Feichi la poussa avec force plus loin dans le couloir, puis se retourna et rentra dans la pièce en claquant la porte derrière lui.

En entrant, il s’appuya paresseusement contre le mur près de la porte. Il croisa les bras et regarda la foule ahurie qui se tenait autour du lit d’hôpital et dit impassiblement : « Vous pouvez continuer avec tous les arrangements. »

Devant la porte de la chambre, Si Wenxuan, qui avait été poussée au sol, se leva d’un air penaud et essaya de déverrouiller la porte, mais Mu Feichi l’avait déjà fermée de l’intérieur.

Ne voulant pas abandonner, elle martela la porte et cria aux personnes à l’intérieur : « Frère Chi, ouvre-moi la porte. As-tu aussi été ensorcelé par cette petite renarde ? Elle a des arrière-pensées envers ma mère. Ma mère t’adore tellement, comment peux-tu être si déloyal ? Essayes-tu de la faire tuer ? »

La mère de Mu Feichi était morte prématurément. Pour Xiao Weijun, qui avait vu Mu Feichi grandir et qui n’avait pas de fils à elle, elle l’avait vraiment aimé et l’avait traité comme son fils.

Par conséquent, depuis l’enfance, Si Wenxuan et Xiao Weijun étaient les femmes qui avaient vu Mu Feichi le plus souvent.

Il était dommage qu’après avoir hérité de la société de la famille Mu, Mu Feichi ait passé la plupart de son temps à la société. Si Wenxuan ne pouvait pas le voir, même si elle l’avait voulu.

Plus tard, il reçut le titre de Jeune Maréchal Mu et se vit accorder la montagne Tianyu comme lieu de construction de sa propre résidence, le manoir Mu, et Si Wenxuan se vit interdire de monter sur la montagne. Même lorsqu’il venait au manoir de la famille Si, Mu Feichi ne venait que lorsqu’elle était en cours.

« Papa ! Tu ne peux pas mettre la vie de maman entre les mains d’une fille d’origine inconnue. N’as-tu pas peur que quelque chose puisse arriver… »

Xiao Weijun soupira légèrement, puis sourit à Yun Xi avec gentillesse.

« Yun Xi, Wenxuan est gâtée, alors ne l’écoute pas. Cette affaire concerne les adultes, donc nous sommes responsables. »

Yun Xi jeta un regard à la madame embarrassée de la famille Si et haussa les épaules avec indifférence. « Puisque la famille du patient n’est pas d’accord, cette opération ne peut pas être réalisée. S’il vous plaît, réfléchissez-y bien. »

Elle ne voulait pas faire d’elle un bouc émissaire, de peur que quelque chose ne se passe mal pendant l’opération. Si Wenxuan pourrait la faire arrêter et l’accuser de meurtre. Elle souffrirait alors beaucoup.

Si Jingting et Xiao Weijun se regardèrent et dirent franchement : « Son opinion n’est pas importante. Nous allons simplement suivre les dispositions prises par toi et le professeur Joseph. L’opération aura lieu ce dimanche. »

« Si c’est le cas, alors très bien. » Puisque le patriarche de la famille Si l’avait dit, avec autant de personnes présentes sur les lieux pour témoigner en sa faveur, elle n’avait plus peur, même si Si Wenxuan essayait de la transformer en bouc émissaire.

À l’extérieur de la porte, Si Wenxuan hurlait toujours, et elle commença à claquer la porte qu’elle n’arrivait pas à ouvrir.

Au moment où le corps de Si Wenxuan s’écrasa contre la porte, Mu Feichi tendit soudainement la main et déverrouilla la porte. Quand la porte s’ouvrit sans prévenir, Si Wenxuan ne put pas retrouver son équilibre et s’effondra sur le sol.

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