Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 380 : Couper les options d’un ennemi sans lui donner une chance de frapper
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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« Tu as dû souffrir à cause de ce coquin obstiné, n’est-ce pas ? »

Bien qu’il ne sache pas qui avait résolu l’affaire, ils étaient en faute pour ne pas avoir été assez serviables.

« Je n’ai pas du tout souffert. Ne vous inquiétez pas, grand-père Jiang. Nous avons tourné la page, donc vous n’avez pas à forcer le Second Maître Jiang à s’excuser auprès de moi. »

Yun Xi avait souri avec désinvolture, et ses paroles magnanimes avaient souligné sa grâce en tant que dame.

En ce qui concerne cette affaire, elle n’était pas allée demander de l’aide à la famille Jiang, et elle n’avait pas non plus reproché à la famille Jiang de ne pas l’aider. Elle n’avait aucune rancune envers Jiang Henglin.

Elle semblait aussi calme et nonchalante que d’habitude, comme si elle n’avait pas du tout pris cette affaire à cœur.

Le grand-père Jiang était très satisfait de son attitude. Yun Xi savait comment gérer toutes sortes de problèmes en public et était bien plus intelligente et bien élevée que sa mère.

Cependant, pour Jiang Henglin, sa réponse ressemblait à une tentative prétentieuse de s’attirer la sympathie.

Il l’avait regardée avec encore plus de mépris dans les yeux.

D’un autre côté, Jiang Chenghuan serait heureux de les voir se brouiller, car il leur serait impossible de devenir mari et femme à l’avenir. Dans le même temps, le Jeune Maréchal Mu perdait un rival.

Une nouvelle page s’était tournée dans le scandale de détournement de fonds de Yun Yuanfeng, et Yun Xi ne voulait plus en parler dans la maison de la famille Chen. Elle était certaine que tout le monde était probablement déjà au courant de toute façon.

Puisqu’elle n’était pas allée demander de l’aide à la famille Chen, les gens de la famille Chen pensaient que soit ils avaient eu la capacité de résoudre l’affaire par eux-mêmes, soit ils avaient utilisé une autre connexion, de sorte qu’ils n’avaient pas eu besoin de leur intervention.

Lorsqu’on lui avait demandé, en présence de tant de personnes, de s’excuser auprès d’une fille qui était allée demander de l’aide aux gens, Jiang Henglin n’avait pas pu le faire. Il n’avait aucune envie de s’excuser.

« Yun Xi, j’ai quelque chose à te dire. Peux-tu venir dehors avec moi ? »

Yun Xi leva les sourcils et regarda Jiang Henglin avec un sourire en demi-teinte. « Pourquoi, le second jeune maître Jiang veut-il s’excuser auprès de moi ? Si tu veux t’excuser, alors fais-le directement. Il n’y a pas besoin de se cacher. Tous les gens ici sont tes proches. Il n’y a pas de quoi être embarrassé. »

En étant provoquée par elle, Jiang Henglin, qui n’avait pas prévu de s’excuser en premier lieu, était devenue plus maussade.

« Qui veut s’excuser auprès de toi ? Comment penses-tu avoir droit à des excuses de la part d’un jeune maître comme moi ? »

Tout se serait bien passé s’il n’avait pas ouvert la bouche, mais dès qu’il avait parlé, il était directement tombé dans le piège que Yun Xi avait creusé pour lui.

« Puisque ce ne sont pas des excuses, nous n’avons rien à dire. »

« Toi… » Jiang Henglin serra les poings et lança un regard vicieux à Yun Xi. Il était fou de rage.

« Quoi… toi ? Comment oses-tu parler à Yun Xi comme ça ? C’est déjà assez grave que tu ne veuilles pas t’excuser. C’est quoi cette attitude arrogante? »

Grand-père Jiang avait un tempérament violent. En voyant que le petit-fils qu’il avait élevé était si grossier, il avait vraiment envie de sortir un fouet.

« Grand-père Jiang, ne vous mettez pas en colère ! » Yun Xi sourit au vieil homme qui avait toujours été si affectueux envers elle. « Je n’ai pas besoin que le second jeune maître Jiang s’excuse auprès de moi. Après tout, je ne peux pas me le permettre. »

Jiang Henglin jeta un regard furieux à Yun Xi, mais il ne recula pas.

Yun Xi était trop ennuyée pour prendre la peine de lui parler plus longtemps. Elle changea rapidement de sujet et commença à discuter de la santé du Grand-père tout en traitant Jiang Henglin, qui ne pouvait pas se joindre à la conversation, comme s’il était invisible.

Assis sur la touche, Jiang Henglin voyait cette misérable Yun Xi s’entendre si amicalement avec la famille Chen, et il ne pouvait ravaler sa colère.

Comment osait-elle ne pas le prendre au sérieux, lui qui était son fiancé ?

De toute évidence, c’était la famille Yun qui n’était pas dans son élément en essayant d’établir des liens avec la famille Jiang et la famille Chen. Pourquoi avait-il l’impression que tout le monde lui faisait de la lèche maintenant ?

Tout ce qu’elle avait fait était de sauver l’Héritier aîné et la Vieille Madame ?

De quoi se vantait cette misérable fille, Yun Xi ?

Chen Yichen s’assit tranquillement en face de Jiang Henglin sans parler. Il regarda Yun Xi, puis son cousin irrité.

Comme c’est intéressant !

Seule Yun Xi avait la capacité de couper toutes les options de son ennemi sans lui laisser une chance de frapper et de l’étouffer avec la sensation d’avoir les mains liées dans le dos.

***

Après avoir quitté la maison de la famille Chen, Yun Xi se rendit avec Jiang Chenghuan dans sa villa privée.

Elle allait voir comment se déroulait l’entraînement de Zhao Yumo.

Bien qu’elle n’ait eu aucune inquiétude à l’idée de livrer son amie à ce playboy, elle était sur le point de s’attaquer à la famille Han, et devait donc s’assurer que tout se passait bien avec la famille Zhao.

Quant à Qiao Ximin, elle ne l’avait pas encore vue dans cette vie. En regardant les données fournies par Mu Feichi, elle avait prêté attention à la maison de la famille Qiao.

À cette époque, Qiao Ximin était encore en dernière année dans une école d’élite de Jingdu. Elle allait aussi bientôt passer l’examen d’entrée à l’université. Yun Xi avait hâte de la voir à l’université de Jingdu.

Elle n’était pas pressée de s’occuper d’elle.

Tant d’ennemis de sa vie précédente réunis ensemble suffiraient à créer un drame majeur.

Maintenant que la fin de l’année approchait, la première chose qu’elle allait faire était de saisir l’occasion de régler ses comptes avec sa mère.

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