Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 364 : La vie de Si Wenxuan doit être épuisante
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Les yeux aiguisés de Mu Feichi remarquèrent les marques rouges sur le cou de Yun Xi, et il tendit la main pour les frotter. « Qu’est-il arrivé là ? »

« Ce n’est rien. » Yun Xi repoussa sa main et dit d’une voix inquiète : « Allons voir ce qui se passe avec Madame. »

Si Wenxuan leur avait jeté un coup d’œil à tous les deux. Le jeune Maréchal Mu n’avait jamais montré d’affection à une femme, mais maintenant il était si protecteur envers cette fille.

Même elle n’avait pas droit à un traitement spécial, alors de quel droit cette misérable fille sans histoire en avait-elle le droit ? Comment osait-elle ?

Cherchant à réprimer sa jalousie, elle renifla froidement, « Pétasse prétentieuse ! ».

Puis elle se serra devant Yun Xi et la poussa agressivement hors de son chemin. Elle leva les yeux vers l’homme dominateur et arrogant en face d’elle.

« Frère Chi, tu ne me laisses pas venir à la montagne Tianyu, alors maintenant que tu es venu au manoir Sijia, ne peux-tu pas rester un peu plus longtemps ? Cela fait longtemps que je ne t’ai pas vu ! Pourquoi ne restes-tu pas au manoir Sijia pour le dîner ? »

Mu Feichi était froid envers ses flirts coquets et ne voulait pas lui accorder d’attention.

Yun Xi ne supportait pas d’assister à cette scène, et elle n’avait pas pu s’empêcher de lui rappeler : « Mlle Si, ta mère est toujours aux urgences, et au lieu de t’inquiéter de l’état de santé de celle-ci en ce moment, tu te préoccupes davantage de ton repas. Quelle bonne fille ! Tu étais tellement inquiète pour ta mère quelques instants auparavant que tu as essayé de m’étrangler. C’était juste pour le spectacle ? »

Comme ça avait dû être épuisant pour elle d’avoir agi comme ça quand personne ne regardait !

« Qu’est-ce que tu veux dire ? » Si Wenxuan avait tourné la tête, et ses yeux avaient tiré des poignards sur Yun Xi.

Quelle audace de la part de cette petite garce d’oser lui faire honte devant son béguin !

« Qui a dit que je n’étais plus inquiète pour ma mère ! » De peur de donner une mauvaise impression à Mu Feichi, Si Wenxuan lui lança un regard vicieux.

Si Wenxuan s’était retournée avec un sourire crispé et avait trouvé une excuse au hasard.

« Maman n’a pas vu frère Chi depuis longtemps. Il est rare que le frère Chi vienne ici. Comme elle est soudainement tombée malade, si elle ne voit pas frère Chi à son réveil, elle sera certainement triste. »

En l’écoutant déblatérer de telles bêtises si sérieusement et en utilisant sa mère comme excuse, Yun Xi avait juste envie de rire.

Elle devait faire semblant d’être réservée devant Mu Feichi, mais elle ne pouvait pas contrôler ses désirs sauvages. La vie de cette héritière de la famille Si devait être épuisante !

Trop ennuyée pour écouter encore ses bêtises, Yun Xi fit demi-tour et s’en alla.

Traitant la coquette et obséquieuse Si Wenxuan comme si elle était invisible, Mu Feichi suivit derrière Yun Xi.

Si Wenxuan avait secrètement maudit Yun Xi, mais avait également suivi derrière eux.

Elle n’avait pas osé toucher Mu Feichi. Une fois, une héritière audacieuse lui avait pris le bras sans vergogne, puis ses mains avaient disparu.

Le jeune maréchal Mu était célèbre à Jingdu pour son abstinence et son aversion pour les contacts corporels.

Elle n’avait naturellement pas osé franchir sa ligne de fond.

Elle était l’héritière de la famille Si, elle devait donc naturellement conserver la dignité et la sophistication d’une dame.

« Frère Chi, attends-moi. Je vais t’emmener ! »

Profitant de son statut de chef de famille, Si Wenxuan avait pris les devants, laissant Yun Xi derrière elle.

En tant qu’étrangère, c’était extrêmement impudique de sa part d’être plus proactive que la famille.

À la porte de la salle d’urgence, le patriarche de la famille Si était assis sur une chaise et attendait avec impatience.

Il avait fallu un long moment pour que le Dr Carl sorte des urgences.

« Docteur Carl, comment va ma femme ? »

« Monsieur, depuis que cette fille l’a heureusement sauvée à temps, le caillot de sang a été nettoyé. Madame n’a pas de problèmes majeurs. Elle a juste besoin d’un peu de temps pour récupérer. »

Le Dr Carl avait regardé Yun Xi avec gratitude. « Jeune femme, comment as-tu su administrer les premiers soins pour une hémoptysie massive ? ».

« J’ai appris un peu de choses à ce sujet. Dr Carl, les causes d’une hémoptysie massive comprennent la tuberculose, les bronchectasies, les cardiopathies rhumatismales, la sténose mitrale, le cancer du poumon, etc. Qu’est-ce qui a provoqué cette hémoptysie chez Madame ? »

Le Dr Carl ne pouvait pas révéler les antécédents médicaux de l’épouse de la famille Si. Il avait jeté un regard gêné au patriarche de la famille Si. « Désolé, ce sont les affaires privées de Madame. »

« Quelle qu’en soit la cause, elle peut être complètement guérie. Pourquoi ne pratiquez-vous pas la chirurgie, mais un traitement conservateur à la place ? »

« Tu… comment sais-tu que nous faisons un traitement conservateur ? »

Le Dr Carl avait eu l’air surpris. Il n’avait rien dit. En fait, elle pouvait le savoir juste en examinant la situation.

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