Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 331 : Il y a des choses que tu ignores de moi
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Yun Xi avait fixé l’homme qui lui tapotait la tête de façon si coquette. Ils étaient assis si près l’un de l’autre, et l’ambiance était clairement romantique.

Pendant un instant, elle avait eu l’impression d’être aspirée par son regard tendre.

Cependant, elle était revenue à la réalité et avait repoussé sa main du sommet de sa tête. Puis elle sourit et demanda : « Comment le Jeune Maréchal Mu a-t-il découvert que c’était mon anniversaire aujourd’hui ? ».

« Qu’y a-t-il chez toi que je ne sache pas ? » Mu Feichi s’était assis sur le bord de son lit.

Lorsqu’il s’était assis sur son petit lit, celui-ci avait immédiatement semblé très petit en effet.

« … » Il y a des choses que tu ne sais pas sur moi, s’était dit Yun Xi en silence.

Par exemple, il ne savait pas qu’elle avait été réincarnée.

Elle avait gloussé, s’était assise sur une chaise et l’avait regardé. La lumière sur le bureau était vive, et elle avait remarqué que son teint n’était pas très beau en ce moment.

Il portait une doudoune vert militaire, un pantalon noir et des bottes. Avec son beau visage frappant, il avait l’air branché et cool.

Cependant, elle avait senti l’odeur de l’alcool médical. Même si l’odeur n’était pas très forte, elle avait été étudiante en médecine et ne connaissait que trop bien cette odeur. Elle n’avait pas pu s’empêcher de l’identifier.

Elle avait froncé les sourcils, puis, pour s’assurer que l’odeur venait bien de lui, elle s’était penchée vers lui et l’avait reniflé.

Mu Feichi regarda sa petite coquine dont le visage s’approchait de lui. Elle lui avait vraiment beaucoup manqué.

En ce moment, elle avait l’air tout à fait innocente. Son visage aux joues roses, ses yeux intelligents et son expression sérieuse mais accueillante étaient si agréables à regarder.

D’autant plus que ces deux dernières semaines, il avait passé tellement de temps à s’occuper d’affaires officielles dans le monde extérieur, entouré uniquement d’hommes.

Prenant une profonde inspiration, il leva la main et tapota la place sur le lit à côté de lui. « Ne t’inquiète pas. Assieds-toi ici. J’ai quelque chose à te dire. »

Elle était enivrante et irrésistible pour lui.

Une fois enivré, il était difficile de se passer de son goût.

Sous la faible lumière, elle avait vu que son visage était un peu pâle, et elle avait froncé les sourcils en l’observant de plus près. Sa main s’était accidentellement posée sur son épaule et Mu Feichi avait aspiré son souffle. La douleur évidente lui avait fait immédiatement bouger le bras.

« Vous êtes blessé ?! » Yun Xi avait regardé ses sourcils plissés et avait rapidement compris que quelque chose n’allait pas.

En pensant à la zone de son corps qu’elle venait de toucher, elle avait tendu la main et soulevé son manteau.

Elle avait remarqué qu’un endroit sur son épaule gauche sous son T-shirt noir était bombé, et sa main était chaude et humide quand elle l’avait touché.

Elle avait jeté un coup d’œil au sang qui maculait la paume de sa main, et son visage était devenu soudainement pâle.

Elle avait réalisé que son épaule gauche était blessée et enveloppée dans un bandage de gaze épaisse.

La gaze blanche était teintée de rouge par le sang maintenant. Elle ne savait pas si la blessure avait été ouverte lorsqu’il avait grimpé par la fenêtre ou si elle l’avait simplement blessé lorsqu’elle l’avait touché auparavant.

En regardant le sang, Yun Xi se sentait vraiment en colère !

Elle était folle de rage et avait une expression ardente dans les yeux tandis qu’elle tendait la main pour tirer son oreille avec force.

Son visage juvénile était devenu sévère et elle l’avait grondé avec une expression sérieuse, « Espèce d’imbécile ! Comment osez-vous grimper dans ma chambre alors que vous êtes blessé ? »

Alors qu’on lui tirait l’oreille, Mu Feichi sembla être stupéfait pendant un moment, puis il se mit à rire comme un enfant.

Quand il était un petit garçon, sa mère lui avait tiré les oreilles quand elle était en colère. Maintenant, quand sa petite femme le faisait, il avait l’impression que son cœur avait fondu.

En criant volontairement de façon dramatique, il avait tendu la main et avait attrapé sa petite main. « Ça fait mal, ça fait mal… bébé, sois plus douce avec moi… »

Ses tendres petites mains étaient légèrement froides lorsqu’elles se pressaient contre les paumes de ses mains, et son cœur se réchauffait à l’intérieur.

En s’ébrouant doucement, Yun Xi avait repoussé ses mains, puis s’était retournée, avait ouvert le tiroir et avait commencé à creuser à l’intérieur pour trouver la boîte à pharmacie. Elle l’avait ensuite posée sur la chaise et avait commencé à y chercher divers ingrédients médicaux pour soigner la blessure de Mu Feichi.

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