Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 285 : Si je gâchais ton plaisir en cassant ton jouet…
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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« Le temps que je reçoive les nouvelles, il était trop tard. Il avait reçu deux balles, une dans la poitrine et une dans la cuisse. Huo Tingxiao et moi avons dépêché tous nos gardes du corps pour le raccompagner. Son grand-père était furieux quand il l’a appris, et bien sûr son oncle a catégoriquement nié son implication. Mais le vieil homme n’était pas stupide, et il a destitué son oncle. Sa famille est maintenant deuxième dans la ligne de succession. Et, bien que tout semble paisible en surface, il y a beaucoup de conflits internes en dessous. Jiang Chenghuan est assez ambitieux et il a établi des relations très puissantes en quelques années seulement. Il est également très rusé. »

Yun Xi avait hoché la tête. Elle était surprise. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il ait un passé aussi intéressant.

Elle avait pensé qu’il avait été soit gravement blessé, soit gravement malade. Elle n’avait aucune idée qu’un drame familial interne était impliqué.

« Il se fait passer pour un playboy superficiel pour tromper ses ennemis. Bien que ce soit une ruse efficace, jouer un tel rôle peut être assez épuisant. »

Hmm. La vie des familles importantes n’était pas aussi simple qu’elle le pensait.

Les batailles de sang qui n’étaient pas évidentes en surface étaient souvent assez brutales.

Mu Feichi avait tourné la tête et l’avait regardée. « Pouvais-tu dire tout cela simplement en l’observant ? »

« Il a agi comme un playboy idiot, mais je ne suis pas aveugle. »

Après une pause, elle semblait avoir pensé à quelque chose et elle s’était retournée pour demander : « La famille Mu est-elle la même ? Pleine de drames internes et de batailles de sang pour les héritages ? »

Mu Feichi avait baissé les yeux et avait instinctivement resserré sa prise sur le volant.

« Pourquoi, cela t’inquiète-t-il ? »

Yun Xi s’était moquée. « Il s’agit de votre famille. Ça n’a rien à voir avec moi et ça ne me regarde pas. »

Elle n’arrivait même pas à trouver comment gérer ses propres frères et sœurs et parents farfelus ! Comment pouvait-elle s’inquiéter pour les autres ?

Mu Feichi sourit et changea de sujet.

« Il y a un document que tu dois voir dans la boîte à gants. »

« Quoi ? » Yun Xi s’était figée un instant. Puis elle ouvrit la boîte à gants et en sortit un dossier noir. « Est-ce que c’est ça ? »

« Vois par toi-même ! »

Yun Xi ouvrit le document et le parcourut plusieurs fois. La première page contenait des informations sur la façon dont Han Wanling avait utilisé ses relations pour aider Liang Xinyi à être transférée dans une autre école.

Elle avait déjà découvert cela. Ensuite, il y avait des informations sur le départ de Han Wanling.

« Merde. Je pensais qu’elle allait essayer de causer plus de problèmes. Elle a été envoyée loin. Étudier à l’étranger est juste un euphémisme pour se cacher. »

« Pourquoi es-tu contrarié par son départ ? Personne ne sera là pour t’embêter. »

« Mais elle va revenir. J’espère qu’elle se souviendra d’apporter son cerveau quand elle reviendra. Se battre contre des gens sans cervelle fait baisser mon QI. »

« Après ce dernier incident, la position d’influence de Han Wanling dans la famille Han a été grandement réduite. Han Yaotian a grimpé à sa place. »

Yun Xi passa à la page suivante, qui concernait l’enquête de Han Yaotian sur elle.

« Han Yaotian enquête sur moi ? » Même si son ton avait l’air d’être surpris, elle avait déjà l’intuition qu’il s’intéressait à elle.

« C’est mal qu’il enquête sur toi ? Ce serait stupide de sa part s’il ne le faisait pas, puisque tu t’intéresses tant à lui. »

« … » Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Pouvait-elle être comparée à Han Yaotian ?

Après avoir fermé les documents, Yun Xi demanda d’un ton indifférent : « Que va faire le jeune Maréchal Mu ? ».

« Je ne vais rien faire du tout. Il est rare que tu tombes sur un jouet qui suscite ton intérêt. Manifestement, tu ne t’es pas encore assez amusé avec lui. Si je gâchais ton plaisir en cassant ton jouet avant que tu n’aies fini de t’en servir, ne ferais-tu pas une crise de colère ? ».

Bien qu’il faille admettre que lorsqu’il avait vu cette information qui se trouvait dans le document, il avait vraiment eu envie de tuer Han Yaotian.

S’il osait convoiter sa femme, il devrait se regarder longuement dans le miroir pour voir s’il avait ce qu’il fallait pour rivaliser avec lui !

« … » Jouet !

Très bien ! À ses yeux, la famille Han ne valait pas vraiment la peine d’être mentionnée. Il serait presque trop facile pour lui de ruiner Han Yaotian.

Mais il venait de décrire Han Yaotian comme son jouet…

Tsk, tsk, ce mode opératoire grossier et dominateur était en effet caractéristique de Mu Feichi.

« Alors, Jeune Maréchal Mu, vous voulez dire que vous allez me laisser m’en occuper toute seule ? »

« Si tu ne peux pas, tu peux toujours te tourner vers moi. »

« D’accord, je comprends. Puisque vous avez promis de ne pas intervenir, vous ne pouvez pas faire des bêtises dans mon dos. »

« Quand est-ce que je n’ai pas tenu mes promesses ? »

« Jeune Maréchal Mu, ne vous contredisez pas. Vous l’avez déjà fait une fois. »

Lors de la vente aux enchères, il avait dit qu’il n’interviendrait pas dans ses affaires, mais n’avait-il pas été le cerveau en coulisse ?

« Je suppose que c’est honteux que je l’ai fait. »

« … » Qu’il soit maudit !

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