Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 269 : Proie pénétrant dans un terrain de chasse
Chapitre 268 : Humiliation sans cérémonie Menu Chapitre 270 : Un cerveau est une chose utile, et j’espère sincèrement que vous en avez un

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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Pour le banquet de ce soir, Lin Peiqi avait spécialement choisi une robe avec un col en V qui mettait en valeur sa poitrine spectaculaire, qui venait de subir une opération.

À ce moment… la moitié de sa poitrine était couverte par un verre à vin. C’était si embarrassant.

De plus, cette petite pute était très forte, et Lin Peiqi craignait que si elle bougeait trop, le silicone qui venait d’être implanté ne soit expulsé.

En serrant les dents, Lin Peiqi avait essayé de se lever, mais elle était retombée faiblement.

À côté de la fenêtre, Jiang Chenghuan regardait avec amusement Lin Peiqi, qui avait été frappée à la poitrine par un verre à vin. Il jeta un regard à la jeune fille espiègle qui en était responsable et ne put s’empêcher de frissonner.

« Tsk, tsk, même regarder cette scène est douloureux. Ce serait dégoûtant si le silicone de sa poitrine était expulsé ! »

Jiang Chenghuan ajouta de l’huile sur le feu en regardant Mu Feichi de manière significative, puis dit en plaisantant : « Il s’avère que ton petit renard a en fait des griffes. Tu risques de te retrouver avec des bleus en jouant avec elle. »

Mu Feichi lui lança un regard froid, comme pour dire qu’il la prendrait quoi qu’il arrive.

Jiang Chenghuan se toucha le nez d’un air penaud et jeta un coup d’œil au coin où les dames étaient assises. « Veux-tu aller l’aider ? »

« Tu n’as pas remarqué à quel point elle a essayé de se dissocier de moi ? Pourquoi irais-je mettre mon nez là-dedans ? »

« ….. » Jiang Chenghuan avait souri. Mu Feichi était aussi fier qu’il était possible de l’être.

Dans un coin, Lin Peiqi abandonna et cria : « Ahhhhh… »

Les invités de la salle de banquet qui trinquaient les uns avec les autres avaient tous tourné la tête avec colère en entendant ses cris.

Voyant que son objectif avait été atteint, Lin Peiqi changea soudainement d’expression, prenant un air affligé et embarrassé, et lança un regard provocateur à Yun Xi.

« Ce n’est que maintenant que tu as décidé de te trouver une aide », Yun Xi lui lança un regard méprisant et ricana un peu.

Depuis qu’elle avait osé faire ce qu’elle avait fait, elle n’avait pas peur que Lin Peiqi trouve une aide ou d’être regardée par la foule.

Elle n’avait même pas peur… de gâcher la fête pour Chen Yichen et Han Yaotian.

Lorsque Chen Yichen avait vu Yun Xi assise dans un coin, il avait, par réflexe, écarté la foule et s’était rapidement approché.

Han Yaotian avait également posé son verre et s’était approché. Quelqu’un dans la foule avait dit à M. Kang que la femme qu’il avait amenée avec lui causait des problèmes, alors M. Kang avait couru vers elle avec son ventre de bière qui dépassait.

« Yun Xi, qu’est-ce que… qu’est-ce qui se passe ? »

Chen Yichen l’avait regardée avec anxiété.

Alors qu’il confirmait si quelque chose n’allait pas, ses yeux étaient tombés sur le verre de vin dans sa main qu’elle tenait contre la poitrine de Lin Peiqi. Lorsqu’il avait vu l’expression calme de Yun Xi et l’expression humiliée de Lin Peiqi, les coins de ses yeux avaient tressailli.

Yun Xi avait levé la tête et haussé légèrement les épaules. « Comme tu peux le voir ! »

Chen Yichen avait regardé son expression innocente avec une expression de stupéfaction sur son visage.

Comment pouvait-elle paraître si innocente après avoir intimidé quelqu’un à ce point !

Han Yaotian était également stupéfait par l’ambiance intimidante de cette fille. Il n’avait jamais vu quelqu’un intimider quelqu’un d’autre aussi impitoyablement.

Il la regarda, qui ne semblait pas avoir la moindre peur ou panique sur son visage frais.

Calme et posée, pure et innocente, elle donnait l’impression que ce n’était pas elle qui avait fait quelque chose de mal, mais Lin Peiqi.

Han Yaotian se tenait à droite. De cet angle, il pouvait voir les yeux protecteurs et affectueux de Chen Yichen et il les trouvait particulièrement déroutants.

Comme les femmes, les hommes étaient intuitifs par nature.

Cette belle petite chose était comme une proie pénétrant sur un terrain de chasse.

À cet instant, Chen Yichen et lui avaient tous deux senti l’odeur de cette proie.

Quand Lin Peiqi avait vu que son sauveur, ainsi que les hôtes de la fête, étaient arrivés, son visage était devenu laid et elle avait commencé à pleurer : « M. Kang, s’il vous plaît, sauvez-moi. Cette putain de salope essaie de me tuer ! »

  1. Kang avait regardé l’état lamentable dans lequel se trouvait Lin Peiqi et avait failli ne pas la reconnaître.

Après avoir vu qui la retenait, le président Kang n’avait pas osé déverser sa colère sur Yun Xi, surtout que l’héritier aîné se tenait juste à côté d’elle.

Le fils aîné venait de se promener dans la pièce avec cette fille, donc tout le monde savait qu’elle faisait partie de son peuple.

S’il osait faire quoi que ce soit de négatif à son égard, il creuserait pratiquement sa propre tombe.

Cette idiote de Lin Peiqi aurait dû savoir avec qui elle s’embrouillait…

Comment pouvaient-ils se permettre de provoquer l’héritier aîné ?

Lin Peiqi avait foutu en l’air ses plans avant même que la collaboration ne commence. Quelle idiote !

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N’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires et laisser une réaction pour que je sache si l’histoire vous plaît.

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