Commandant impérial Sa magnifique femme est pourrie gâtée | Imperial commander His pretty wife is spoiled rotten | 帝少爆宠 娇妻霸上瘾
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Chapitre 258 : Flirter à l’improviste
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Traductrice : Moonkissed

Auteur : Gu Jiaqi

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Surprise et décontenancée, elle se retourna rapidement, le cœur battant la chamade. En faisant ce mouvement soudain, elle s’était cognée le dos contre le comptoir.

Yun Xi leva la tête et roula les yeux vers lui d’un air furieux.

« Jeune Maréchal Mu, pouvez-vous essayer de ne pas être si effrayant ? »

Mu Feichi la remarqua en train de se frotter le bas du dos et fronça les sourcils. « Que s’est-il passé ? C’est à cause de moi que tu t’es cognée contre ce comptoir ? »

Alors qu’il était sur le point de se rapprocher à nouveau, Yun Xi avait tendu la main et l’avait arrêté. « Jeune Maréchal Mu, il est plus approprié de garder une distance correcte entre les hommes et les femmes. Si vous vous approchez trop près de moi… »

Mu Feichi avait louché sur elle en riant doucement. Puis il s’était délibérément avancé et s’était rapproché d’un pas.

Profitant de sa taille, il s’était penché sur elle, avait souri de façon taquine et avait demandé : « Que feras-tu ? ».

Fronçant les sourcils sérieusement, elle lui avait lancé un coup de pied et avait dit sur un ton d’avertissement : « Je vais arrêter d’être courtoise. Cette cuisine a toutes sortes de couteaux, donc il y en a plus qu’assez pour que je puisse vous découper. »

« Pourquoi es-tu si difficile ? Vas-tu me découper et me manger ? » Mu Feichi gloussa légèrement, puis tendit rapidement la main et lui serra le poignet, le pressant contre le col de son pull.

« Laissez-moi juste partir. Je vous laisserai manger ce que vous voulez et comme vous l’aimez. Qu’est-ce que vous en dites ? »

Yun Xi lui avait tapé sur le front avec sa main.

Il se comportait comme un playboy expérimenté, venant flirter avec elle à l’improviste.

« Voulez-vous bien vous en aller. Je suis encore en train de préparer votre déjeuné. »

Elle avait tendu la main pour le repousser, mais il l’avait soulevée et l’avait assise sur la table.

« Qu’est-ce que vous faites ? » Avec ses pieds frappant sauvagement l’air, Yun Xi en avait visé un et lui avait donné un coup de pied.

Mu Feichi avait rapidement serré son pied et l’avait fixée du regard.

Yun Xi avait poussé ses mains contre sa poitrine. Cet homme se tenait bien trop près d’elle. Le regardant avec ses lèvres serrées, elle avait utilisé son pied libre pour lui donner un nouveau coup de pied.

Comme s’il s’attendait à ce qu’elle fasse un tel geste, Mu Feichi déplaça sa main derrière lui et attrapa également l’autre pied. Il avait ensuite tenu ses pieds dans ses mains, et elle avait été immédiatement neutralisée.

En termes de vitesse de réaction, elle n’était pas du tout de taille face à lui.

Avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit d’autre, Mu Feichi lui tapota soudainement le front, et un sourire malicieux apparut sur son visage saisissant.

« Tu veux toujours jouer ? » Sa voix moelleuse était pleine de taquinerie et d’hilarité.

Yun Xi avait continué à le regarder fixement. Elle s’était dit : « Qui joue « 

Elle donna un coup de pied, serra les dents et cracha rageusement : « J’ai une crampe à la jambe. Lâchez-moi ! »

Mu Feichi lâcha prise, et ses yeux sombres fixèrent le petit lion qui venait de piquer une colère. Il secoua la tête avec un sourire désinvolte. Il ne voulait pas que cela aille plus loin et s’attirer des ennuis.

Il lâcha prise, mais ne quitta pas la cuisine. Au lieu de cela, il s’était approché de sa taille et avait frotté la zone où elle s’était heurtée au comptoir.

En se retournant, elle s’était cognée contre une armoire qui se trouvait derrière eux.

« Pourrais-tu s’il te plaît arrêter de bouger aussi imprudemment. Si tu te fais vraiment mal, tu ne pourras pas aller au banquet ce soir. »

« … » En entendant cette menace, la petite coquine bruyante s’était effectivement calmée.

« Monte à l’étage. Je veux t’emmener dans le bureau pour voir quelque chose. »

« Voir quoi ? » Visiblement hésitante à aller quelque part avec lui, elle semblait déconcertée.

« Tu le découvriras quand tu y seras. »

Sur ce, sans se soucier de savoir si elle le voulait ou non, il tendit la main et la souleva de la table dans ses bras.

« Mu Feichi, reposez-moi. Je peux marcher. »

« Si tu cries encore plus fort, le majordome et tous les serviteurs vont venir ici pour regarder. »

« … » Bon sang ! Toutes ses menaces étaient si efficaces.

Elle était une fille extrêmement modeste. Elle n’était pas assez stupide pour réellement crier et convoquer tous les gens travaillant pour lui afin qu’ils assistent à ce spectacle.

Peu importe à quel point il était éhonté. Elle avait quand même eu le bon sens de protéger sa dignité.

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